"J’imagine la petite fille, voulant être toujours avec
papa - mais surtout sans maman ! -, ce papa qu’elle aime tant et qu’elle
voudrait si caressant."
« Donc, qu’en pensez-vous au final ? »
Vous pouvez imaginer tout ce que vous voulez.... et plaquer des clichés. C’est vous qui le dites.
J’aime pas Freud. Mais en revanche, je sais reconnaitre des troubles psychotiques derrière la « père-version ».
Ps : dans votre recopiage de mon post de 18h et quelques, vous avez
mis une majuscule au mot Maman, ce que je n’avais pas fait, et écrit
papa en minuscules, kesako, Julie ?
Rien inventé, rien déformé. Ensuite, l’interprétation vous appartient. Un psychanalyste Lacanien serait bien meilleur que moi... pour vous renvoyer vos propres mots. Mais un psychiatre aurait une vue globale de vos troubles.
Ici : la majuscule sur votre « maman ». Et la minuscule sur « papa ».
Si je vous entends bien, la bonne éducation, c’est l’adoration de
papa et la haine sinon le mépris de Maman et vous appelez ça la
sainteté.
J’imagine la petite fille, voulant être toujours avec papa - mais
surtout sans maman ! -, ce papa qu’elle aime tant et qu’elle voudrait si
caressant.
Vous voyez, moi aussi, je peux jouer à docteur maboule, c’est fastoche.
Ps : ce soir, n’oubliez pas, un smartie et au lit !"
... Vous avez cité « MERE. Et vous avez oublié »PERE« . Vous détestez le patriarcat.
Je n’invente rien... Je lis bien »PERE ABSENT".
Car nous sommes bien trimballés dans un monde imaginaire, mythique, (jusqu’aux Amazones....) pour éviter d’entendre parler des interdits fondamentaux. Un monde merveilleux sans interdits....
Au bout d’un certain temps, OUI, il faudrait quitter les jupons de maman et accepter la loi et les règles : ca s’appelle grandir.