" La prohibition de l’inceste n’a aucune vérité (c’est une croyance), sa
justification est d’ordre religieux, mythique. Nous sommes dans un Etat
laïque ; dans la loi le terme incestueux est employé au sens
topographique si je puis dire (= dans le cercle familial). Mais en
utilisant ce terme, on court justement le risque de faire croire à
l’esprit public que la prohibition de l’inceste est naturelle,
universelle, etc. Bien sûr, certains militants dont l’action est
entièrement dictée par l’émotionnel peuvent s’en réjouir mais à long
terme ce ne peut qu’être catastrophique. Vous noterez tout de même que
quand bien même l’esprit public ait sur la question cette opinion
(l’inceste, c’est mal), ca n’empêche en aucune façon que 35% des
affaires d’atteintes sexuelles sur un mineur ont lieu dans le cadre
familial."
Il en est de même du terme ’tabou’ qui ’désigne, dans la littérature
ethnologique, une prohibition à caractère sacré dont la transgression est susceptible d’entraîner un châtiment surnaturel’.
Un vrai délire !
Selon le DSM-IV-TR, les critères diagnostiques des troubles mégalomaniaques, incluent les croyances exagérées :
« J’ai une question Vergnes. Avez vous déjà fait une analyse ? »
Votre question interroge...
Car, nous arrivons au commentaire dans la centaine....pour enfin avoir droit à votre opinion personnelle sur l’inceste.
Opinion qui se défend. Classe d’âges. Mettons.
Mais alors, après avoir fait dévié le débat... dans les tous les sens. Jusqu’à le rendre déviant. Et même toxique.
On a enfin droit à votre opinion personnelle quand on fait un petit rappel du Droit, histoire de remettre de l’ordre dans les idées. Et après insistance de M. Vergnes pour avoir la votre d’opinion.
Quand vous dites ’le sexuel n’est certainement pas le coeur du conflit’. et bien bravo ! Le débat avance presque... !
Mais tout est décousu... initelligible, puisque c’est dans une disgression. Presque hors sujet, tout étant dans le sujet. A la fois dedans, et en même temps en dehors...
Un discours paradoxal...Un monologue, qui ne tient pas compte de votre interlocuteur. Vous ne dites pas JE. Il faut vous supplier.
Didier Anzieu, c’est « le Moi Peau ».
Je pense qu’un psychanalyste lacanien vous répondrai en miroir :
Je pense que quoi qu’il arrive, l’adulte est responsable. Et pas l’enfant mineur. Un mineur qui aurait 4 ou 5 ans de plus...peut être responsable d’une transgression sur un autre mineur... .Mais ce mineur agresseur peut être,parfois, voire souvent, être la victime d’un adulte.
Il faut en discuter avec les spécialistes. Je n’en fais pas partie. Je ne peux pas en débattre. Plus loin
Je sais simplement que lorsque le dialogue est bloqué. Le Code Pénal, c’est mieux que rien !