« Deneb », toujours : « Je n’ai pas de blog chez Google »
Éclatante preuve que vous ne savez même pas lire les commentaires sur lesquels vous intervenez. Personne ne parle là de « blog chez Google », mais du très grave flicage mie en place par cette société.
Autrement, vous êtes enfin (pour une fois) clair en revendiquant de collaborer.
Et toujours les mêmes méthodes, prêter des intentions, projeter, au lieu d’argumenter sur le fond :
« je comprends que tu sois amer à bosser dans la typographie. Ton métier evolue, et ça te rend furieux ? Le savoir faire des anciens ne sert plus à rien ? Tu es obligé de reinventer ton métier ? Bon courage. »
Vous me qualifiez d’« amer » (!) & de « furieux » (? !) parce que je ne suis pas entrain de vous lécher les semelles ? Quant au « savoir faire des anciens » (?), ça va très bien, merci pour lui. Vous montrez là que vous ignorez tout, aussi bien de la typo que de son évolution (elle est plus que positive si on n’en fait pas n’importe quoi) et de son usage, et une fois encore, vous prêtez des intentions, etc. Quelles fines méthodes.
Quand à la langue française, relisez-moi avant de « répondre », comme à votre habitude, parfaitement à côté.
Votre position, c’est un peu « si le progrès c’est le flicage, vive le flicage » Libre à vous de collaborer si ça ne vous empêche pas de dormir, mais foutez la paix aux autres et — sur ce sujet précis — au Canard, qui a parfaitement fait son boulot.
« [...] le « flicage » de l’internaute. Jusqu’ici, Google annonçait vouloir
calibrer ses pub en fonction du contenu de mon blog. De fait, quand
j’ai parlé du Salon du Livre, j’ai vu apparaître de sympathiques pub
liées au livre. Un peu auparavant, j’avais traité de la question du
Proche-Orient, ce qui avait amené une vaste pub pour "rencontrer des
femmes musulmanes" (sic, et c’est de loin la pub qui m’a été la plus
rentable : un seul clic là a fait plus de 40 centimes..., mais le
communautarisme m’a dérangé). Et dès que je parle de Quitterie, tout
clignote pour des voyages interminables et féériques à Venise, ce qui
prouve que Google n’est pas si mal conçu que ça. Or cette façon de
procéder, qui n’était pas bête, ne suffit pas à Google, vu qu’elle
donne des résultats très faibles. On m’a donc fait savoir que,
dorénavant, on allait programmer sur mon blog des pub qui tiendraient
compte du comportement antérieur des internautes qui passent chez moi.
Cette façon est déjà choquante chez Facebook, mais n’y concerne que les
info internes du mdia social. Avec Google, il s’agit d’un flicage
universel à usage commercial, c’est Big Brother à l’état brut. Et c’est
contre quoi on a créé la CNIL en 1978, soit dit en passant. Que fait
donc la CNIL ? Pourquoi n’introduit-elle pas des actions contre Google
? Pourquoi n’informe-t-elle pas au moins les internautes ? En tout cas,
me rendre complice de ce forfait ne me paraît guère acceptable. »
Si vous tenez absolument à dénigrer le Canard, alors faites-le à bon escient, quand il y a effectivemment des choses à lui reprocher, et non en collaborant avec ceux qui tiennent à faire de chacun de nous un marché captif à pattes !
Mais que ce soit « Deneb » (on mesure immédiatement la fine dose d’auto dérision dans ce pseudo. On ne se prend pas au sérieux. Mais nooon) ou son complice « Le Manu », les méthodes sont les mêmes. Aucune argumentation (je parle, moi, de faits avérés), de la projection, et un classement simpliste de l’humanité. Les bons qui pensent (euh...) comme moi, les méchants qui osent ne pas être d’accord. Et toc. Autrement, on brode et prête des intentions.
Que sait « Le Manu », par exemple de ma génération ? Où lit-il que je préférerais payer, ou que je dénie à la société en question de véhiculer de l’info ? Etc.
Mais dans ces non-raisonnements, collaborer activement à son propre flicage et être complice de celui d’autrui, cela s’appelle sans doute résister, eh ?
Quand à « Deneb », c koi « leur » écriture et « leur » culture ? Et c’est quoi, ce ton de donneur de leçons ? Et moi, je ne généralise pas. Je bosse aussi avec de (vrais) auteurs qui ne sont pas encore majeurs. Et qui ont « leur » culture et « leur » écriture. Qui sont autres que les miennes ou — heureusement — que les habituels erzatz de « chat å ou de S.M.S.
Et si je l’ouvre, ce que parce que je conçois des (vrais) livres (lisibles), que je travaille dans la typo et la lisibilité et que je bosse avec des gens qui sont sensibles à ce que sont collaboration et résistance.