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L. D. T.

L. D. T.

J’ai grandi dans les banlieues pourries du 93 dans la désillusion grandissante avec l’âge sur les racailles qui étaient dans la même merde sociale que moi.
Je suis passé de gauche à droite au centre et aux extrêmes avant de laisser tomber tous les camps politiques aussi incapables les uns que les autres.
Passionné de psychologie, de philosophie et de sociologie depuis tout gosse, j’ai trop étudié ces trois domaines pour ne pas en faire mon métier.

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  • L. D. T. L. D. T. 19 mars 2010 18:15

    Désolé de vous décevoir matthius mais si la gauche ne dit rien, dans le cas des socialistes et des écolos c’est parce qu’ils ont obtenu leurs places par l’exacte même chemin... et oui apprenez un peu que la société ne se forme que par aristocratie, oligarchie ou monarchie...



  • L. D. T. L. D. T. 19 mars 2010 18:04

    Sauf que là vous pouvez résumer tout l’article en deux phrases : Zemmour va en prendre plein la gueule ; La cour Européenne l’autorise à parler.
    Bon, j’ai perdu mon temps.

    Mais la réaction des assoces pouilleuses est académique : toutes ont réagi en quelques jours, le temps d’appeler leurs copains à la télé et au CSA pour faire pression et de commander leurs avocats pour faire injustice. Philippe Bilger lui a répondu en quelques heures après le brouhaha, le temps d’écrire son papier, très réussi d’ailleurs. Mais une fois la grosse machine lancée contre Z, il n’y a plus que Catherine Barma pour le défendre. C’est en cela que c’est académique : la réaction des lobbys frappe directement les patrons, pas les gens concernés, dont le sort est remis dans les mains de leur directeur ou rédacteur en chef.

    C’est là que l’on peut bien voir combien le journalisme se laisse corrompre, dans cette maîtrise parfaite de la corporation journalistique qu’ont les assoces et, accessoirement, des gens comme Sarkozy : ils n’aiment pas une personne ? Ils appellent à ce qu’elle soit virée en public et demandent, dans le cas Zemmour, au CSA et à la direction de France 2 de le foutre à la porte, sans débat, sans défense et sans droit à la réponse de la part de la personne sur le même sujet : tous les journalistes d’une seule voix répètent les demandes du MRAP, de la LICRA, de SOS Racisme et de la compagnie des joyeux propagandistes, mais peut-être Fdesouche ou quelques sites un peu professionnels reprendront-ils l’éventuelle réponse de Zemmour ou analyseront-ils la réalité de ses propos sans les amalgamer.

    La corporation est envahie de messages injurieux pour ceux qui désobéissent aux lobbys et ses membres sont flattés d’obéir à ces lobbys sionistes, musulmans, antifrançais, différentialistes ou autres. Que Barma lâche Zemmour ou pas, le système est exemplarisé ici par l’action de chacun, du troufion de base qui prendra son téléphone pour s’indigner auprès d’un homme politique ou d’un journaleux X, au patron de rédaction ou de chaîne de télé qui sera incendié pour n’avoir pas déjà obéi et viré l’impénitent, chacun prend sa place dans le grand marteau qui frappera Zemmour jusqu’à ce qu’il se détache de la forteresse corporatiste journalistique.

    D’autres exemples ont été vus dans l’histoire récente d’ailleurs. Et la propagande fonctionne à deux vitesses : au public on offre une idéologie destructrice telle l’antiracisme qui sanctifie les noirs, les juifs et les arabes contre les blancs, et aux journalistes et aux politiciens, à la caste dirigeante, à l’aristocratie française, on leur offre des aides et des compliments s’ils obéissent ou on leur promet la mort s’ils défient le pouvoir des lobbys. Voyez, dans sa plus grande splendeur, l’Anglicisation et l’Américanisation de la France !

    Les soutiens monétaires ou les aides pour trouver des places que les lobbys proposent aux gens qui veulent bien leur obéir forment l’ensemble de la classe journalistique d’aujourd’hui : regardez le caricatural Renaud Revel, chien de garde de cette aristocratie française dont le premier maître à penser est BHL ! Regardez la suspicion et les poussées à la déclaration de vérité, immédiatement renommée dérapage, envers ceux qui sont connus comme n’étant pas de cette aristocratie française antifrançaise et anglophile !

    Il nous faudra un vrai français capable de ridiculiser les anglophiles partout pour vaincre ça. Non, il nous en faudra plein en fait. Mais Zemmour est pour l’instant le meilleur que l’on ait, et je doute qu’à moins d’avoir un journal français ou une chaîne d’info française ouverte à tous excepté les anglophiles de l’aristocratie, nous n’arrivions à rien.



  • L. D. T. L. D. T. 19 mars 2010 17:28

    FFI, je n’ai sans doute pas été clair : Napoléon n’avait rien à voir avec Hitler. L’empereur a défendu la France contre tous ses ennemis et les a vaincus, mais n’a pas fait cela pour le plaisir de la guerre ou pour sa gloire personnelle ! Il disait lui-même qu’on ne se souviendrait pas de lui pour ses guerres mais pour son code civil... ! Hitler croyait que le destin de l’Allemagne était de vaincre toute l’Europe afin d’assurer la supériorité de la race allemande sur les autres, mais les deux ne sont pas comparables ! Le premier a transformé l’Europe entière, le second a servi son pays en le considérant supérieur, et les deux ne se sont pas battus avec l’idée d’étendre la puissance de leur nation de la même manière ! Napoléon voulait une France qui tenait l’Italie du Nord et la rive gauche du Rhin, Hitler voulait l’Europe entière sous sa coupe !

    Représenter les deux comme des conquérants, d’accord. Mais dire qu’ils sont comparables dans leurs principes et leurs objectifs est un pur mensonge : Napoléon a essayé de faire ce que Bismarck a fait : faire de sa nation la plus puissante, mais s’est écrasé après vingt-cinq ans de guerre contre l’Europe entière, alors que Bismarck n’a combattu que nous seuls. Et Hitler voulait de toute manière le monde pour lui...

    En revanche je ne peux que m’accorder à vous quant à la place des anglosaxons dans l’ensemble du jeu européen : ils ont joué le faible contre le fort pour mieux contrôler le fort. Ils ont utilisé la Prusse contre la France sous et après Napoléon, ils ont joué Bismarck contre leur serviteur Napoléon III, puis ont changé de camp et nous ont rejoint pour vaincre la trop puissante Allemagne dans la PGM avant de jouer l’armement et l’installation d’une dictature militariste dans une Allemagne trop affaiblie pour menacer la France(la prise de la Ruhr en fut un bon exemple) afin de rejouer la carte des deux grands l’un contre l’autre pour préserver la suprématie de l’Empire britannique.

    C’est là que je pointerais un défaut dans la vision de l’Europe et de la France d’Eric Zemmour qui fait un peu l’actualité avec autre chose que sa déclaration réaliste sur les drogueurs, pour moi l’Angleterre n’est pas Carthage. Elle n’a pas son potentiel, n’a pas tant d’argent et n’est pas si puissante que cela. Son pouvoir est très relatif et sa faiblesse inhérente à la terre l’handicape terriblement, en mer ils sont invincibles, mais sur le champ de bataille ils sont toujours à la traîne, peu d’anglais ou d’américains ou même d’Israéliens si possible s’aventureront sur terre, alors que la France ou l’Allemagne ou d’autres en Europe y sont prêts. Zemmour voit l’Angleterre comme notre intouchable duelliste tricheur, qui nous arrêtera à chaque guerre.

    Moi je pense que la suprématie anglaise n’a un : plus cours depuis le début de l’aviation militaire et surtout des porte-avions et des Exocet(ils ont un bon exemple de ce que l’on peut faire pendant les Malouines), et deux : est surévaluée puisqu’on regarde toujours les anglais comme des ennemis seconds alors qu’eux-mêmes attendent qu’on désigne un ennemi premier pour attaquer dans le dos(la haine des français était plutôt dans les Alpes qu’au Rhin dans les années trente, guerre d’Ethiopie oblige).

    Tant que l’on saura voir l’empire anglosaxon pour ce qu’il est et qu’on connaîtra ses méthodes(influence, corruption, trahisons), on peut le combattre et même le vaincre, même si le vaincre ne sera pas utile tant ils sont doués pour s’autodétruire-cf. crise financière-, mais il y a toutes les chances pour que les combattre nous demande une forme d’autorité politique nationaliste anglophobe, qui sera portée au pouvoir par un roi ou un dictateur. Je préfèrerais un roi d’ailleurs...



  • L. D. T. L. D. T. 19 mars 2010 15:41

    Encore un anarchiste finalement ? Sérieusement atterrissez là, tout ce qui est sorti de la tête de Marx ou de Proudhon a raté pitoyablement. Arrêtez de nous bourrer avec vos utopies, vous ne faites qu’approfondir vos échecs. Le communisme comme l’anarchisme sont deux stupidités qui n’ont pas le quart de ce qui est nécéssaire pour tenir une société. Laissez tomber.
    Mettez-vous au monarchisme, ça ca marche, et puis la société française est faite pour la monarchie de toute façon.



  • L. D. T. L. D. T. 19 mars 2010 00:32

    Minute là...
    Vous me dites que ce ne sont pas les nazis qui ont sauvé l’Allemagne en pleine crise ? Ce serait les entreprises américaines ? Précisez un peu... Et surtout dites-moi franchement si vous pensez que les nazis n’ont été que les pions de l’étranger ! Ces nationalistes finalement impérialistes étaient sans doute racistes et voués à l’échec dans leur conquête de l’Europe et leur maîtrise du monde, mais venir me dire qu’ils auraient été les jouets des américains depuis le début...Je ne vois pas comment je pourrais y croire !

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