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l'Omnivore Sobriquet

l’Omnivore Sobriquet

46 ans célibataire mâle, "poëte amateur", vu ?
Ex étudiant en science ex sous-prolétaire ex musicien. Actuellement je colle des affiches sympas dans la rue et des commentaires utiles sur le ouaibe.
J'aime la poësie française, la messe bien chantée, la politique nationale, la musique populaire anglosaxonne des années 50 à 80, l'aviation, les filles bien élevées, la bière au comptoir.
Je n'aime pas la cathophobie 'de gouvernement', les irresponsables sans frontières, les occultistes en réseaux ferreux, les chats, l'Art Contemporain, les judéolâtres et les antisémites, Ségolène Royal comme Philippe de Villiers.
J'aime bien la police, parfois. Enfin de temps en temps quoi...Et l'Agoravox aussi

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  • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 14:10

    @ nioreb Je ne suis pas Tarzan mais j’essaie d’écrire vraiment lisiblement... N’oubliez pas que ’les mots juxtaposés sans aucun sens pour faire joli’, c’est exactement ce que je dénonce : je l’emploie pour le décrire : la Ségocratie rotogouvernante spirovisqueuse de l’impression sarkocitoyenne de bien-être, harmonies bruxelloises sans soucis et autres Envies d’eurovigilance monchouchou total respect des plantes vertes et rouges jeunes pieds proavortements droit au régîme. Je m’en voudrais d’oublier l’éducation par le football, le sarkoverbe télévisé, l’issue de l’immigration, de Villiers une Chance Pour la France et le progrès gay et lesbien ’de gouvernement.’

    C’est pour marier le sens et le son quoi, ça m’parait explicite....



  • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 13:52

    Boaf, Tout bien relu ça colle ça va. Zêtes un peu trop scolaire, et prisonnier du thèse-antithèse-conclusion, qui n’est qu’un shéma parmi d’autres, binaire. C’est bien sympotmatique ça, opposer deux contraires, alors qu’on peut faire des combinaisons à trois, belle comme les champs. Le chiffre deux c’est bon pour trancher, choisir le dos au mur. Avec le trois ça va tout de suite beucoup mieux, on peut vivre avec on peut respirer.

    D’ailleurs je n’aime guère ce mode de scrutin présidentiel actuel (sans parler de la muflerie des ’500 signatures’, dont j’espère vous percevez les méfaits. C’est bizarre, personne n’en parle dans l’Agorabox, à ce qui me semble...) ; moi j’intercalerais un tour de scrutin intermédiaire entre les deux : le premier tour sélectionnerait non pas DEUX mais TROIS candidats, ce qui serait infiniment plus drôle, au niveau des propositions politiques de l’entre deux tour suivant, et des simples possibilités politiques... (au lieu d’une course à l’entonoir, au binaire bleus contre rouges, méchants contre gentils etc.) comme d’ailleurs seraient améliorées les propositions politiciennes d’avant le premier tour. (quand on lit toutes ces simulations ces projections, ’à deux tours’, alors qu’avec mon système les plus mesquines les plus idiotes ou contre nature seraient de fait impossibles : voyez le trot actuel au Parti Socialiste, à trois justement (mais le choix final est obligatoire à partir de ces trois, il n’y a pas de possibilité ultime de choix entre les deux meilleurs : c’est direct de trois à un, et non de trois à deux puis à un comme je le propose ici : ce n’est pas tt à fait le même cas) : personne n’écrit ces flatulences classiques : « si Fabius est présent ’au second tour’ (classique) il sera le meilleur candidat contre Ségolène.. », types de considérations qui polluent pourtant toutes nos campagnes présidentielles ’actuelles’ (d’avant que je sois président donc,) ni autres « puisqu’il faudra de toutes manières trancher entre DSK et Ségolène... » ni autres Guy Luxeries déposées avec force poncifs et rictus ’de gouvernement’, toujours toujours accompagnées de ce papier hygiénique qu’est la fameuse « phrase de Churchill » (sur le ’moins pire’ des gouvernements) comme si la messe était dite, alors que, justement elle n’est pas dite. C’est nous qui choize.) Donc le premier tour aboutirait à trois et non pas deux candidats, puis on aurait un vote, où la majorité absolue serait une possibilité très réelle, qui si personne ne fait 50% réduirait le choix final à deux candidats, les deux ’meilleurs’. Puis on aurait enfin cet idiot et américain ’deuxième tour’ (en troisième dans ce cas), où le chiffre deux montre sa réelle vertu : trancher. Ca fait trois votes, espacés de deux semaines chacun, le pied, le panard électoral, une fois tous les sept ans si possible (autre débat, déjà évoqué qque part et aussi à l’avenir ailleurs qu’en cul de parenthèse.) Le chiffre deux, qui tranche décision uniquement, ’to strike a decision’ comme ils disent, une fois l’échec consommé, c’est à dire le choix politique positif non obtenu, et donc hélàs le choix réduit à deux. (alors qu’avec trois candidats, la possibilité d’une victoire directe à la majorité d’un des trois, à la majorité absolue, ’par acclamation’ en quelque sorte, en tout cas par victoire ’positive’, est très réelle... un ’danger’ pour les états-majors... mais je rêve, hein , je délire. Y zy ont pas pensé en Allemagne y l’ont pas fait au Danemark ni à athènes alors ’je délire’, bien sûr...)

    Mais où en néteige que dizois-je ? Ah oui, que le texte ci-dessus que vous espérez imcompréhensible va en fait très bien, l’est fonctionnel, je viens de vérifier à froid à l’instant : logique clair, presque concis. Jamais vraiment parfait mais ce n’est pas un rendu, c’est une remarque sensée qui en appelle d’autres, heureusement. Quelques agoraidillons, sur des points en marge justement, mais sur le sujet j’ai plutôt l’impression de répêter marteler consciencieusement.

    Enfin, certes, bon des fois il manque un mot ça ne facilite guère... mais pas dans ce texte-ci, sauf -uniquement - sur la phrase « Sans parler de l’impression sidéterminante croyez vous. », où c’est vrai c’est vrai ce n’est pas clair du tout, mal écrit s’cusez : j’aurais dû mettre « Sans parler de l’impression sidéterminante, croyez vous. » (ça causait ’vos certitudes éronnées quant à nos conditionnements étoile mauve et tâche blanche.’) A part ça je peux le recoller ce texte, à peu près inchangé, encore une fois ci dessous si vouvoulez, tout me va : ça cause, ça palpe, ça explique au gens, bien, il suffit de lire pour de vrai. Ce n’est pas parce que c’est surprenant que ça ne veut rien dire osscour.



  • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 05:18

    AAhhh, mais c’est qu’il insiste le bougre !! Mercredi 25, que je lui expliquais déjà, je recolle, amélioré au-passage. La comprenette !!! La comprenette ! bigre ! bougre ! la secousse le compreno gigotgigot ! ///////////////////////////////////////////////////////

    « .. de populisme, donc de démagogie, qui .. »

    Nan !!

    La démagogie n’est pas une conséquence du populisme.

    La démagogie, c’est « La fin justifie les moyens. » (Dont on connait l’emploi si funeste.)

    Le populisme, c’est « Nos moyens. »

    Le populisme ce n’est pas « Vive l’agora des moyens du monde », c’est NOS moyens ; c’est à dire de moyens avec la capacité de les utiliser, ou au minimum de les faire agir (à défaut d’être rigoureusement ’utilitaire’, mais plus ’entier’ quand même... plein), eux, ces moyens-ci, parce que notres. (les frontières créent cette capacité.) Et de plus, ce sont nos MOYENS, car ’le peuple’, célébré par le populisme, est puissant, à défaut d’être ultraraffiné, à défault d’être certainement utilitaire. Au ’populiste’ de veiller à ce qu’il y ait intéligence et utilité. (n.b., je ne fais pas l’éloge d’un ’nouveau type de gouvernement’,du tout, malgré ce ’isme’ faux, j’explique aux gens une manière d’être politique, et non un système de pensée politique, une manière d’être un politique, la ’populiste’, qui est incomprise et crachée dessus par tant et par tous, alors qu’elle est simplement non-inféodée à vos bastilles. Tant de bêtise politique m’insupporte.)

    Voir la différence entre ’populaire’ et ’vulgaire’. Certains comprennent.

    On peut très bien faire appel aux ressorts fondamentaux des gens, aux valeurs qui n’existent que chez la foule , ou plutôt chez ’le peuple’, sans les abaisser, sans que ce soit un abaissement. Le populisme, c’est simplement faire appel aux ressorts populaires. Ils sont épais, ils sont puissants : ils ne sont pas « donc » simplistes, ils sont épais ce n’est pas pareil, ils sont puissants et non pas « donc » avilissants.

    Etre démagogue c’est une hypocrisie et c’est un abaissement. Le populisme lui est franc, d’une intelligence profonde du groupe (qui va jusqu’à percevoir ses limites, et les dire...quelle différence d’avec la démagogie !), et vise haut.

    Croire que faire vivre la fibre populaire, mieux que simplement la faire ’vibrer’, (éphémère action du ’musicien’ gnostique...) soit un abaissement, est symptomatique de l’erreur au pouvoir depuis 30 ans, voire depuis 220 ici. L’hostilité à la réalité à la fois dure (’matérielle’) et insondable, inprenable. La mode de l’anti-populisme primaire qui sévit chez les usurpeux du crachoir actuels est lamentable, vaine agitation mentale destinée à un effacement mental : la tactique de la tâche blanche, - effacez-moi cette idée, là : ’populiste’, hop un coup de peinture ’démago’ hop ! -, sensée marcher automatiquement vu notre formation scolaire d’envies ’télécran’ cervelle-droites. (faciès, mimique, impression, visuelle ou autre, musique, ’reconnaissance spontanée’ etc. ) Nan ! Perdu ! Marche pas !

    J’ajoute que si le populisme n’est pas l’alpha et l’omega de l’action politique, évidement, l’incapacité à être populiste discalifie le candidat. Il s’agit de comprendre, de connaitre le bateau. Pas de le mépriser (de le ’méprendre’, tromper et se tromper), fût-ce en voulant lui adapter de force un moteur ford à étoiles, contre nature, caprice qui en fait ’méconnait’ (je reste gentil.)

    Incapable de différentier populisme et démagogie, Sarkolène Ségozy est l’archétype du candidat discalifié. Son cabinet directeur est l’archétype du discalifié à gouverner, Europe 1 est discalifié. Les Guignols sont discalifiés, Libé est discalifié, Ruquier est discalifié (c’est son rôle, j’en ai peur : bouc émissaire dans un esprit reignant de ’bouc-émissairisme’, faute de catholicité.) « Together 2007 » discalifié (clicquez donc là si vous voulez VOIR l’état de la démagogie, ’impression de gouvernance’ actuelle : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2006/10/2007_les_50_ans.html ) se discalifie chaque jours davantage, ’diable sympa’ s’est discalifié ces derniers temps, « C’est l’élève qui construit sa stratégie d’apprenance » est très discalifié, le racolage téléphonique, que vous appelez encore ’secteur tertiaire choisi comme Chance Pour la croissance Française" est discalifié chez moi, l’agroalimantaire français, sans aucune réserve ni locale ni nationale, va se discalifier spectaculairement quand le mot ’pénurie’ va apparaître sur les journeaux, imprévu, ou à défaut sur les lêvres (un remake involontaire de coup de 1789 ?) là où un populisme aurait fait marcher les groupes de jeunesse en nombre planter dans les chants et les découvertes des haricots et ramasser fraises et patatates... Et vous (votre école, soyons larges) qui n’y voyez que de la démagogie, un ’abaissement’ du discours alors que ce n’est que clairvoyance face aux éternels fondamentaux, amour des ressorts, ce n’est que service et espoir dans ces fondamntaux mystérieux et intîmes qui doivent croître et se multiplier, que vous méprisez c’est bien là l’erreur.

    Non seulement confondre les deux, populisme et démagogie, est une épaisse imbécilité, mais croire que le premier engendre le second est une forfaiture, une muflerie. Une tentative de détournement de l’intelligence. Sans parler de l’impression sidéterminante croyez vous.

    L’art et la beauté ne sont pas décadente préciosité ; et l’art et la beauté n’engendrent pas décadante préciosité. Pas Pareil. Pas automatique, jamais.

    « .. de populisme, donc de démagogie, qui .. » Vous mettez une tringle logique, une bièle là où il n’en faut surtout pas.

    Et les combats MONDIAUX de 2005 à 2012 sont exactement à cet endroit, si français : faire triompher les populismes, intelligents et ’neufs’, dans des frontières c’est à dire des responsabilités retrouvées. Faces aux démagogismes renouvelés de l’empire qui se sait discalifié.

    Grâce à qui ? gràce à , par exemple, lui, un sous-fifre, un peu charismatique : http://www.lefigaro.fr/debats/20061024.FIG000000088_il_faut_rendre_au_peupl e_sa_justice.html

    Il suffit de ne pas se méprendre.



  • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 03:47

    « Quand on comprendra tout du fonctionnement de l’Univers, il n’y aura plus rien à découvrir » >>> et la recette de la mayonnaise de la mère Michu mais avec du sel de Guérande ?? Qui peut la prévoir malgré toute la chimie du monde ? Avec une goutte de ma sueur dedans ce sera une autre nouveauté encore !

    J’veux dire, connaitre les lois (fonctionnement) ne veux pas dire connaitre l’état (l’univers).

    Et, on peut connaitre toutes les lois et toutes les positions (’positions’ allright) des choses (’atomes’) de l’univers, avec une seule bulle d’incertitude qque part, l’incertitude après quelques intéractions remplit tout l’univers (théorie du chaos.) Alors, « plus rien à découvrir »... Une fois inventée, la brouette du docteur tressoto change l’état de l’univers. (je suis sérieux) (sauf pour les noms propres !)



  • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 02:12

    Il y a aussi les volants d’inertie, plus anecdotiques il me semble (disais-je) : les ’flywheel’ comme ils nous le glishent, très amusants pour stocker de l’énergie. Dire que j’ai passé 7 ans sur un scooter à délirer avec une idée dans l’genre : http://www.activepower.com/

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