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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

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  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 5 janvier 17:35

    @pemile

    copié-collé : « M’enfin, combien de temps encore tu vas ânonner en boucle les mêmes conneries, nos échanges précédents ont prouvé que tu n’avais aucune connaissance du sujet, tu n’auras jamais conscience du ridicule de vouloir insister à te poser en expert ???! »

    J’aimerais voir ces « preuves » dont vous parlez ??? Vous radotez. Parce que ce n’est pas avec deux lignes comportant des grossièretés que l’on façonne des arguments. Vous êtes un amuseur public. Vous ne faites bien rire.

    Il faudrait apporter la démonstration que ce que j’ai écrit est faux. Pas vrai pemile ? Ce n’est pas en répétant à l’envie que ce que j’écris sont des conneries, que cela devient une vérité. Non, ce que j’ai écrit reflète très exactement le processus utilisé par le MET. Ne vous en déplaise. Et je comprends que cela vous mette mal à l’aise. Alors, afin que vous veniez avec force arguments prouver que ce que j’ai écrit sont des « conneries », je le poste à nouveau ! Merci de votre aide à rétablir la vérité. 

    ... Jamais pemile, jamais. D’ailleurs ,aucun virus n’a jamais été découvert. Il a « seulement » été découvert des fragments d’ARN ou d’ADN, qui ont permis, grâce à des processus informatiques, d’assembler ces fragments en un génome entier. Ce sont des algorithmes qui reconstruisent le génome supposé du virus à partir des fragments obtenus. Et cela repose sur des hypothèses, notamment la comparaison avec des séquences de génomes viraux « déjà connus ».

    Les images obtenues par MET montrent bien des particules, mais ces particules sont interprétées comme des virus sur la base de leur apparence et de leur taille, sans preuve directe que ces particules contiennent un génome complet et fonctionnel. 
    Les particules visibles sur l’image sont donc des objets physiques réels, mais l’identification de ces objets repose sur l’interprétation humaine.

    Cette interprétation morphologique ne garantit pas que la particule soit réellement un virus. Deux grandes incertitudes demeurent : le MET ne permet pas de savoir si la particule contient un génome complet. La MET ne prouve pas que la particule observée est infectieuse.

    Les exosomes sont de petites vésicules extracellulaires, généralement de 30 à 150 nm de diamètre, libérées par presque toutes les cellules. Ils ont une membrane lipidique bicouche et peuvent contenir divers types de matériel, comme de l’ARN, des protéines et des lipides.

    Le MET permet de distinguer les particules « que par leur taille et leur forme », deux critères qui ne suffisent pas à différencier un exosome d’un virus enveloppé.

    Le monde émouvant de pemile : des photographies de virus ! Les licornes sont aussi très belles en photo ! 



  • Legestr glaz Legestr glaz 5 janvier 16:13

    @pemile

    Jamais pemile, jamais. D’ailleurs ,aucun virus n’a jamais été découvert. Il a « seulement » été découvert des fragments d’ARN ou d’ADN, qui ont permis, grâce à des processus informatiques, d’assembler ces fragments en un génome entier. Ce sont des algorithmes qui reconstruisent le génome supposé du virus à partir des fragments obtenus. Et cela repose sur des hypothèses, notamment la comparaison avec des séquences de génomes viraux « déjà connus ».

    Les images obtenues par MET montrent bien des particules, mais ces particules sont interprétées comme des virus sur la base de leur apparence et de leur taille, sans preuve directe que ces particules contiennent un génome complet et fonctionnel. 
    Les particules visibles sur l’image sont donc des objets physiques réels, mais l’identification de ces objets repose sur l’interprétation humaine.

    Cette interprétation morphologique ne garantit pas que la particule soit réellement un virus. Deux grandes incertitudes demeurent : le MET ne permet pas de savoir si la particule contient un génome complet. La MET ne prouve pas que la particule observée est infectieuse.

    Les exosomes sont de petites vésicules extracellulaires, généralement de 30 à 150 nm de diamètre, libérées par presque toutes les cellules. Ils ont une membrane lipidique bicouche et peuvent contenir divers types de matériel, comme de l’ARN, des protéines et des lipides.

    Le MET permet de distinguer les particules « que par leur taille et leur forme », deux critères qui ne suffisent pas à différencier un exosome d’un virus enveloppé.

    Le monde émouvant de pemile : des photographies de virus ! Les licornes sont aussi très belles en photo ! 



  • Legestr glaz Legestr glaz 5 janvier 09:49

    @Julian Dalrimple-sikes

    La souffrance psychologique fonctionne aussi avec un tas de molécules signalisatrices. Nous avons des hormones et des co-facteurs qui activent les centres du plaisir. Nous avons un système qui répond aux opioïdes, puisque l’organisme produit des « peptides opioïdes ». Nous avons un système qui répond aux endocannabinoïdes. Et l’ocytocine, que nous produisons à certains moments de notre vie, et tous les autres neurotransmetteurs.
    Il se trouve que des « phyto-molécules » sont aussi susceptibles d’activer ces récepteurs aux opioïdes endogènes et aux endocannabinoïdes ou de faire concurrence aux neurotransmetteurs.

    La souffrance psychologique pourrait être le fait de phyto-molécules qui pourraient perturber le contrôle des réponses émotionnelles par une perturbation des neurotransmetteurs. Ainsi, par exemple, nous savons que les peptides opioïdes contenus dans les céréales et la caséine laitière peuvent avoir des effets considérables sur la santé de personnes fragiles provoquant, par exemple, dépression et schizophrénie. Nos choix alimentaires peuvent être une réponse à certaines de ces pathologies. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 5 janvier 08:18

    @Julian Dalrimple-sikes

    Concernant « l’inflammation » en réponse à cette question : « l’inflammation est t’ elle en apparence seulement aberrante ou partie intégrante du processus, ? genre le reste n’a pas marché, le processus de régulation globale se dit, bon allons y pour une inflammation !!

    Face à une agression, quelle qu’elle soit, l’organisme va réagir pour proposer soit une réparation soit un retour à l’état physiologique (maintien des constantes physiologiques). Les cellules agressées (où objet d’une lésion) vont émettre des molécules de »signalisation« pour alerter et faire venir sur le site de l’agression, ou de la lésion, des agents réparateurs. Ces molécules sont des »chimiokines« et des »cytokines« . C’est la mise en circulation de ces molécules qui provoque l’inflammation. C’est la manière que l’organisme utilise pour rassembler ses forces à un quelconque endroit du corps, en cas de lésion ou d’agression. Ces »chimiokines« et ces »cytokines« ont un rôle déterminant dans la gestion d’une agression ou de lésion. Les cellules immunitaires »accourent" de cette façon vers le situe perturbé. Lors d’une plaie, par exemple, de nombreuses molécules vont être mises en action, dont des molécules inflammatoires et, en toute fin, des molécules anti-inflammatoires et puis encore des molécules antioxydantes, comme le glutathion. 

    ... Au cours des évènements les plus précoces intervenant après l’infection d’un tissu ou une lésion se mettent en place le recrutement séquentiel de neutrophiles et des macrophages, associés aux quatre signes cardinaux de l’inflammation : tumeur (œdème), chaleur, rougeur (vasodilatation) et douleur, avec pour conséquence la perte de fonction du tissu lésé. Mais ces évènements se prolongent avec la mise en place de processus anti-inflammatoires qui réduisent l’infiltration des cellules immunitaires, diminuant puis supprimant la libération des cytokines pro-inflammatoires en même temps qu’augmentant la libération des cytokines anti-inflammatoires...

    Un mécanisme de réparation expliqué ci-après.
    https://mhemo.fr/les-pathologies/physiologie-de-lhemostase/



  • Legestr glaz Legestr glaz 5 janvier 07:51

    @Legestr glaz
     Bonjour Julian

    Oui, nous sommes très loin de connaitre le fonctionnement de l’être humain. Je pense que nous connaissons quelques bribes mais qu’une majorité des actions et des enchaînements nous échappe.

    L’organisme est obligé de composer avec les propriétés fondamentales de la matière, qui, elle, est en perpétuel mouvement. Les atomes, les molécules, échangent en permanence des électrons et des protons. Des molécules se créent et d’autres se défont. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (citation attribuée à Antoine Lavoisier, chimiste français, guillotiné en 1794).
    la quantité de matière avant et après une transformation chimique demeure la même, l’état final n’est qu’une recombinaison de l’état initial.
    Ou encore : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau » (Anaxagore, 500 av. JC)

    Dans un tel monde, l’organisme humain cherche à maintenir ses grandes constantes physiologiques : température, pression sanguine, équilibre acido-basique, glycémie, équilibre redox. L’organisme n’est jamais stabilisé, il est en permanence à la recherche de ces constantes physiologiques. C’est ainsi que notre environnement et notre alimentation peuvent perturber ces constantes qu’il faut ramener, coûte que coûte, à l’état physiologique. 

    Lors des maladies cardia-respiratoires en automne-hiver, c’est l’équilibre redox qui est rompu et que amène les détresses respiratoires aiguës, et ensuite les pneumonies et les problèmes cardiaques. Et « l’inflammation ».

    Et, puisque l’on parle « inflammation » :

    ... "La pollution de l’air présente un risque environnemental majeur pour la santé. L’exposition extérieure aux particules fines (particules ayant un diamètre aérodynamique < 2,5 μm) est le cinquième facteur de risque de décès dans le monde, représentant 4,2 millions de décès et plus de 103 millions d’années de vie perdues corrigées de l’incapacité selon le fardeau mondial de la maladie. Rapport. L’Organisation mondiale de la santé attribue 3,8 millions de décès supplémentaires à la pollution de l’air intérieur. La pollution de l’air peut être grave, se manifestant généralement par des symptômes respiratoires ou cardiaques, mais aussi chronique, affectant potentiellement tous les organes du corps. Cela peut provoquer, compliquer ou exacerber de nombreux problèmes de santé. Les lésions tissulaires peuvent résulter directement de la toxicité des polluants, car les particules fines et ultrafines peuvent accéder aux organes, ou indirectement par le biais de processus inflammatoires systémiques. La susceptibilité est en partie sous régulation génétique et épigénétique. Bien que la pollution de l’air touche des personnes de toutes régions, de tous âges et de tous groupes sociaux, elle est susceptible de provoquer des maladies plus graves chez les personnes fortement exposées et plus susceptibles. Les personnes sont plus vulnérables à la pollution de l’air si elles souffrent d’autres maladies ou si elles disposent de moins de soutien social. Des effets nocifs se produisent sur un continuum de dosage et même à des niveaux inférieurs aux normes de qualité de l’air auparavant considérées comme sûres.
    ... La pollution de l’air est définie comme toute substance présente dans l’air qui peut nuire aux humains, aux animaux, à la végétation ou aux matériaux. Les polluants proviennent de diverses sources et chacun peut avoir des caractéristiques différentes selon la composition, la source et les conditions dans lesquelles ils ont été produits. Les gaz courants comprennent les oxydes de soufre (principalement le dioxyde de soufre [SO 2]), les oxydes d’azote (principalement l’oxyde nitrique et le dioxyde d’azote [NO 2]), les hydrocarbures réactifs (souvent appelés composés organiques volatils) et le monoxyde de carbone (CO). Ils sont rejetés directement dans l’atmosphère, généralement à partir de sources industrielles ou de transport, et sont appelés « polluants primaires ». Des polluants gazeux et particulaires peuvent également se former dans l’atmosphère, en grande partie à partir des polluants primaires et sont appelés « polluants secondaires »
    ... 
    En plus d’empiéter sur un organe et de causer des dommages directs, l’exposition à des polluants, notamment des métaux toxiques, des composés organiques et des gaz, peut provoquer une inflammation ayant des effets systémiques. L’inflammation, généralement au niveau des poumons, provoque un stress oxydatif. Le stress oxydatif entraîne une peroxydation lipidique, une diminution des antioxydants et l’activation de la signalisation pro-inflammatoire.
    ... La signalisation pro-inflammatoire déclenche une cascade d’événements pouvant affecter des organes distants. Plus la surface des particules ultrafines est grande, plus la capacité à produire un stress oxydatif est grande.
    L’augmentation de l’exposition aux particules est associée à une augmentation de la protéine C-réactive, du fibrinogène, des leucocytes et plaquettes sanguins circulants et de la viscosité du plasma. Les leucocytes, les protéines d’adhésion, les protéines de coagulation et un ensemble de cytokines et de médiateurs inflammatoires taxent l’endothélium, qui peut perdre sa fonction de modulation.
    ... Les agressions répétées de la pollution peuvent contribuer à des affections vasculaires, telles que l’athérosclérose, et peuvent avoir de nombreux effets sur le métabolisme. Les particules ultrafines qui pénètrent directement dans différents organes peuvent également être responsables d’une inflammation de cet organe.

    ... Les poumons sont confrontés aux effets néfastes du filtrage des particules et de l’accumulation de « suie » dans les poumons si les mécanismes d’évacuation ne peuvent pas supporter la charge. Le simple volume de particules peut submerger la fonction des macrophages et du système lymphatique, laissant des dépôts de matière centrés autour des bronchioles terminales et des bronchioles respiratoires de première génération. La charge particulaire peut conduire à une inflammation focale chronique et à une fibrose, et pourrait prédisposer au carcinome pulmonaire « cicatriciel ». L’efficacité de l’élimination des particules est un facteur déterminant dans la manière dont la pollution affecte l’organisme. Les réponses immunitaires et inflammatoires aux polluants atmosphériques peuvent être génétiquement régulées.

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