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LilianeBaie

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Tableau de bord

  • Premier article le 28/12/2007
  • Modérateur depuis le 12/06/2008
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Derniers commentaires



  • LilianeBourdin 21 juillet 2008 11:12

    Bien que ce ne soit pas le thème de mon article (thème qui serait plutôt l’emprise sociale par la culpabilisation), oui, je persiste dans ce que je dis là. Je n’énonce pas que les enfants de la bourgeoisie étaient mieux élevés. Je dis qu’on leur administrait ce que l’on appelait une "bonne éducation", avec des règles strictes, beaucoup de frustrations à surmonter pour obtenir un résultat secondaire et, surtout, le spectre de la faute, tout cela par l’intermédiaire de nurses, de pensionnats, de répétiteurs. Ces principes éducatifs rigides étaient généralisés (cf "C’est pour ton bien" d’Alice Miller) et la violence éducative traversait les couches sociales, mais les adultes de milieux moins aisés n’avaient pas ces instruments à leur portée, l’éducation revenant au groupe, formé d’adultes très pris par leurs activités, activités que partageaient alors leurs enfants.
    En tout cas, si la psychanalyse a mis en évidence le complexe d’oedipe et le sentiment de culpabilité, c’était à partir de la bourgeoisie viennoise dont elle est issue, et qui consultait le Dr Freud essentiellement pour des névroses. Depuis, les tableaux cliniques ont évolué et l’on rencontre beaucoup plus de ce que l’on nomme "états-limites", moins centrés sur le sentiment de culpabilité, et davantage sur une fragilité de la construction de la personnalité.
    Mais, je le répète, ce n’est pas le sujet de l’article, juste une introduction à ma thèse sur le pouvoir que l’on peut avoir sur un groupe en le culpabilisant.



  • LilianeBourdin 9 juillet 2008 18:36

    Merci pour cet article et cette information. Il y a de quoi avoir peur, en effet. Pour plusieurs raisons.
    Il a été souligné le danger d’un tel fichier, regroupant des informations en croisant des fichiers différents, s’il est aux mains d’un gouvernement de type dictatorial, de quelque bord qu’il puisse être.
    En arriver à ces extrêmes est possible, car la démocratie est chose fragile et doit être protégée de ceux qui obtiendraient le pouvoir pour en abuser, par des lois garantes des libertés individuelles et de justice sociale . Pouvoir-contre-pouvoir législatif, c’est le minimum pour que vive une démocratie.
    L’utilisation de ces informations pourrait servir à intimider tout opposant éventuel, et faciliterait grandement les arrestations si l’on en arrive à ce niveau-là. Cela s’est vu, et il n’y a pas si longtemps que cela...
    Mais, avant ce stade, l’existence-même du fichier est atteinte à la liberté. Parce que cela contribue à une mise en situation de danger. Lorsque les citoyens du Bloc de l’Est, devaient rendre des comptes très régulièrement de leurs faits et gestes, de leurs rencontres, de leurs discussions, cela n’avait pas pour seul but de tout savoir sur chacun, mais surtout de penser que l’on savait tout. De crainte que les informations truquées que l’on donnait apparaissent fausses parce que le tissu social était infiltré, on ne faisait plus. On ne disait plus.
    Nous n’en sommes pas là. Mais il suffit de pas grand-chose pour que naisse la peur. Une peur inconsciente, que l’on nie mais qui conduit à faire le gros-dos. Cela donne "Ne dramatisons pas", mais l’on va hésiter un peu plus avant de signer une pétition : "Et si ça m’empêchait d’avoir ce poste à la mairie ?".
    La peur est l’instrument de l’abus de pouvoir. Un pouvoir fort rassure quand on est angoissé. Et l’on n’ose pas se mettre en avant si l’on se sent en danger.



  • LilianeBourdin 17 juin 2008 23:30

    "Je suis tout simplement d’accord avec ce que vous dites" : cette remarque concerne le texte de Surya ci-dessous.



  • LilianeBourdin 17 juin 2008 23:25

    Je suis tout simplement d’accord avec ce que vous dites.



  • LilianeBourdin 17 juin 2008 23:23

    Mais si votre enfant s’ennuie mortellement, pourquoi ne pas lui faire sauter une classe ? Il devrait moins s’ennuyer. Cependant, si vous trouver une école ouverte à cette question, c’est bien aussi.

    Les groupes de parents où on s’échange des tuyaux permettent de partager les expériences, et en particulier, sur les lieux à fuir, et les établissements où les enfants s’épanouissent.

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