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Lisbeth Ker Carradec

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  • Premier article le 12/11/2010
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Derniers commentaires



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 3 mai 2011 11:27

    Le plus choquant restant tout d’meme que le chef du gouvernement d’un Etat ayant aboli la peine de mort depuis 30 ans, considère une exécution comme étant la justice.....y’a comme qui dirait un chouille de contradiction dans le discours....



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 27 avril 2011 10:04

    L’auteur.....
    Vous vous insurgez contre la critique, en défendant votre article parti d’un bon sentiment général et d’une envie de partager les bons tuyaux....
    Ce que vous ne semblez pas comprendre, c’est la différence entre faire l’économie de 240€ pour les claquer allegrement en loisirs et autres voyages en Thailande, ce qui revient à économiser de l’argent qui servira à s’offrir un luxe inédit et rare, et faire l’économie de 240€ pour les dépenser dans de l’essentiel incontournable.
    Lorsqu’une population qui travaille en arrive à rabioter difficilement 2 malheureuses centaines d’euros sur une année de labeur et de bas de laine, en rusant perpétuellement les prestataires et donc en y consacrant du temps et de l’énergie, tout ça pas pour forcement s’offrir une semaine de ski en février, mais plutot pour se payer le luxe d’aller faire ses courses chez Carrouf plutot que chez Liddl, c’est, je le maintiens, qu’il y a une couille dans le potage.....



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 26 avril 2011 12:36

    Tiens, ouais, wahouu, trop super mega pas con comme raisonnement !
    Et si, effectivement, lorsque le cout général de la vie connait une courbe de croissance exponentielle et inversement proportionnelle à la courbe des salaires, la seule solution consistait à apprendre comment mieux se serrer la ceinture..... ?

    .....faire jouer la concurrence, c’est bien, mais faut pas non plus avoir le QI d’un surdoué pour y penser....etre obligé d’avoir recours aux Discounters de maniere systematique lorsque l’on est salarié pour l’unique raison que ce fameux salaire ne nous permet pas de vivre et ce , sans parler de vivre dans l’opulence, là, c’est qu’il y a comme une couille à pépé dans l’assiette à mémé.....



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 28 mars 2011 11:04

    Il y a à peine trente ans on parlait encore couramment de cadences infernales et la souffrance au travail relevait surtout de la pénibilité physique. Mais à l’époque les salariés ne se suicidaient pas pour raisons professionnelles, ils n’avaient pas à retourner l’agressivité contre eux.

    Ils n’avaient surtout pas de pression incommensurable leur rappelant que s’ils venaient à perdre leur boulot, ils avaient 9 malheureuses chances sur 10 de ne pas en retrouver.

    Et pourtant, non ! Le surstress au travail et ses conséquences parfois dramatiques ne sont pas une fatalité mais le fruit d’une volonté politique ultralibérale, appuyée sur une petite demi-douzaine de façons de faire managériales : la religion de la mobilité ; la fabrique à stress ; la réingénierie ; l’empowerment et la rémunération variable.

    Ce discours d’une démagogie insupportable visant à traiter l’adulte salarié et responsable comme un bon petit soldat technicien et obeissant, n’a d’autre but que de l’aider à supporter le pire....il ne prend absolument pas en compte l’éventualité de changer un systeme opprimant et déstabilisant, mais force plutot l’individu à apprendre à gérer l’oppression et la destabilisation....
    Perso, je vous ai lu, et j’ai vomi.



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 24 mars 2011 16:16

    ...euh....y’a quand meme comme une sorte de difference entre défendre un enfant (quand il est victime d’une agression donc, d’où le terme défendre), et opprimer de maniere injuste et disproportionnée un individu maladroit qui n’a, finalement, agressé personne....cet enfant là n’avait pas à être « défendu » puisque, au final, personne ne lui voulait de mal....

    Si l’avenir d’un peuple se lit dans la façon dont les adultes traitent les enfants, il se lit également dans la façon dont son systeme de justice, par abus de précaution, traite les individus....

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