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logan

Citoyen français, militant de la France insoumise.

Je me suis politisé en participant à l'étude du traité constitutionnel européen lors du référendum de 2005 avec Etienne Chouard. Je continue à suivre ses travaux mais je suis déçu de son évolution et de ses choix politiques.
J'ai rejoins le parti socialiste en 2006. J'ai suivi Jean-Luc Mélenchon au parti de gauche en 2007.
Je milite depuis tout ce temps pour l'organisation d'une assemblée constituante et la mise en place d'institutions permettant une souveraineté populaire et la démocratie.
Je défends la théorie monétaire moderne et l'utilisation de la création monétaire pour développer les services publics et mettre fin au chômage de masse.
Je suis altermondialiste, je défends un modèle d'échanges économiques équitables et basés sur la coopération et le développement mutuel plutôt que la concurrence et la guerre économique, et je m'oppose à toutes les sortes d'impérialismes.
Je milite pour l'égalité des droits et la justice sociale.
J'ai rejoins la France Insoumise à sa création et ait voté JLM et FI à toutes les élections.
Je me suis abstenu aux élections présidentielles aux seconds tours entre Macron et Lepen.
J'aime débattre et confronter les idées auxquelles je crois pour les améliorer.
Au niveau professionel, je travaille dans le domaine des infrastructures informatiques systèmes et réseaux dans un secteur et un environnement de recherche scientifique.

Au niveau des loisirs, je suis passioné par la pop culture, la science fiction, la fantasy, les jeux vidéos.
J'ai participé aux débuts du pro gaming, j'ai joué au haut niveau à starcraft / warcraft et counter strike.

J'ai fais des études universitaires en me spécialisant dans l'astrophysique puis l'informatique.
 
 

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  • Premier article le 19/06/2008
  • Modérateur depuis le 10/11/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • logan 25 juin 2008 14:01
    "Pour financer de nouveaux investissements dans les limites citées plus haut, nous empruntons auprès de la banque centrale, donc cela ne génère pas d’intérêts supplémentaires ..."

    Mais il reste le problème des 40 milliards de déficit, pour lesquels vous ne pouvez emprunter (sinon ce serait emprunter pour autre chose que de l’investissement).

    Comment on fait alors ? Bin c’est simple, on retire du budget de l’Etat les investissements puisque pour ceux-ci on peut emprunter.

    Mais là vous n’avez rien compris, les dépenses ne sont cloisonnées que parce qu’on veut les présenter ainsi."

    En effet, les mécanismes de dépenses, de recettes et de déficits sont plus complexes, pour des raisons comptables on n’alloue que certaines recettes fiscales à certaines dépenses, il n’y a pas 1 seul budget pour toutes les administrations publiques, mais chacune a son propre budget.

    Il n’est pas possible actuellement de payer les retraites avec les recettes de la TVA par exemple.

    Nous sommes d’accord.

    Maintenant soyez raisonnable, ne me demandez pas d’imaginer en détail la manière dont l’on procédera pour arriver à transférer le poids des "nouveaux emprunts" vers les dépenses d’investissement ... Partez du principe que ce sera notre volonté et que nous aurons le pouvoir de le faire en réformant l’organisation des différentes administrations publiques et leur financement ...

    Soyez raisonnables et acceptez que l’on parle de manière simplifiée comme je l’ai fait en expliquant que nous transfereront les déficits vers les dépenses d’investissement et que cela nous permettra de ne pas générer de nouveaux intérêts ...

    "Votre proposition suppose qu’on ait d’abord rétabli l’équilibre des finances publiques. Mais vous ne le voyez même pas ! Et si on rétabli les finances publiques .... tiens, il n’y a plus de raison de modifier le système."

    non

     

    "Barre était un abruti donc. Je suppose que c’était aussi le cas de Hayek, de Friedman, de Smith (tous ceux que vous n’aimez pas), de Keynes (zut, celui là vous vous en servez puisque vous proposez un raisonnement keynesien), de tous les autres économistes et prix nobel d’économie. Tous des abrutis."

    Barre est un homme politique d’une certaine nullité oui et d’une certaine malhonneteté aussi ... Pour les autres ce sont certes des prix nobels mais cela ne fait pas d’eux les détenteurs de toutes vérités en ce monde, leurs écrits sont idéologiques donc contestables et contestés ...

    A ce titre là s’il s’agit de se battre à coup de prix nobel, c’est Maurice Allais, prix nobel d’économie lui aussi, qui le premier a mis en avant le caractère néfaste de ce système monétaire et de la perte de la création monétaire pour l’état.

    "Mais j’attends toujours une explication complète de "comment on rembourse la dette sans emprunter 1 centime dans le nouveau système ?"

    Je n’ai jamais dit qu’il n’y aurait plus de nouveaux emprunts ...

    J’ai simplement expliqué que vous aviez mal compris quand vous avez affirmé que je voulais emprunter 1200 milliards d’euros auprès de la banque centrale ...

    "Vous n’avez pas répondu. Il vous faut trouver 40 milliards par an au moins !"

     

    J’ai déjà répondu de multiples fois mais vous avez l’air un peu perdu ...

    Nous n’avons pas à trouver 40 milliard par an ....

    La seule différence pour vraiment simplifier, c’est que les nouveaux emprunts chaque année ne génèreront plus d’intérêts supplémentaires ... Et donc à force de payer les intérêts que nous devons, nous finirons par faire disparaitre le paiement d’intérêts du budget de l’état ... Ce qui aura pour effet de le rééquilibrer ...

     

     

    ""30 ans de prospérité"

    Oui 30 ans de prospérité. 30 ans de prospérité suivant un contexte (et oui, il ne faut pas non plus oublier le contexte).

    On ajoutera dans cette prospérité, la semaine de travail de plus de 40h, les 3 semaines de congés annuels, la moindre dépendance au pétrole (moins de dérivés de pétrole utilisé à l’époque, pourtant le choc fut violent), une médecine moins complète et moins couteuse, une réglementation du travail beaucoup plus légère (on pouvait perdre son emploi en quelques jours), .........

    Mine de rien, vous venez de faire une brillante apologie des thèses de l’UMP. Je pense que ce n’était pas vraiment votre propos (puisque vous voulez avant protéger un système social QUI N’EXISTAIT PAS ENCORE A CETTE EPOQUE BENIE DE PROSPERITE)."

    Désolé mais il faut être un poil rigoureux, un certain nombre de choses n’existaient pas, mais le système social dans son ensemble était déjà bien développé ...

     

    "Et puis vous oubliez aussi un paramètre particulier des 30 glorieuses : la reconstruction d’après guerre. C’est sur que le fait de devoir reconstruire tout un pays, ca ne crée pas d’activité, donc pas de croissance. Et que ce paramètre n’est pour rien dans les trente glorieuses."

    Parceque vous croyez qu’il n’existe plus de besoins aujourd’hui à satisfaire ??? Que tout est déjà construit que nous ne manquons de rien ? Qu’il n’y a plus rien à développer ? Certes le contexte a changé mais ce dont nous parlons fait partie intégrante de ce contexte il est même central ... La politique monétaire a changé et la dette n’est qu’un de ses nombreux effet ...

    Comme je vous l’ai déjà expliqué pourquoi défendre comme si c’était la prunelle de vos yeux ce système monétaire ??? Vous pensez franchement qu’il est parfait, ultime et qu’il n’existera jamais d’autres alternatives ???

    "Vous ne comprenez même pas pourquoi l’inflation est dangereuse. Si on avait garder l’inflation de 5% du début des années 90, la baguette vaudrait 3 à 4 euros. Les salaires auraient suivis ? Sans doute (pas le choix), mais alors

    cas 1 : pas de dévalorisation de la monnaie à l’étranger. Alors les produits à l’export sont beaucoup plus cher. Mais les produits nationaux sont chers, donc on achète à l’étranger. Les entreprises sont étranglées entre des ventes à l’étranger difficiles et des ventes nationales difficiles. Je vous laisse imaginer ce qui se passe alors (regardez du côté de l’Allemagne et des méthodes utilisées pour régler ce problème)

    cas 2 : la monnaie se dévalue. Les produits se vendent à l’étranger, mais nous avons du mal à importer ce qui nous fait défaut (ca coute cher puisque notre monnaie ne vaut plus rien). L’inflation se renforce du fait de notre dépendance vis à vis des matières premières (qui sont plus chères puisque notre monnaie est faible).

     

    Vous avez l’air de penser que tout est simple. Et certains de nos dirigeants l’ont pensé à une époque. Résultat, on a laissé faire ... pour aboutir à la situation actuelle."

    Mais comme je vous l’ai plusieurs fois expliqué ... Il ne s’agit pas de faire un bète retour en arrière, je comprends tout à fait pourquoi il faut lutter contre l’inflation ... J’ai bien en tête les dérives que les différents états ont pu faire grâce à ce pouvoir de création monétaire ... Tout celal je le prends en compte dans ce que je propose ...

    Ce que je conteste c’est cet espèce d’immobilisme dont vous semblez animé qui voudrait m’interdire de vouloir remettre en cause le système actuel, m’interdire de le critiquer ... pourquoi ???

    Ce système, certes il permet de maintenir la valeur de notre monnaie et donc de limiter l’inflation issue de la création monétaire ... Mais ce système il est idéologique, il maintient un mécanisme vicieux qui favorise l’explosion de la dette publique, il ralentit la croissance économique et ajouté aux autres politiques, notament celles du gel des salaires, réduit notre pouvoir d’achat, favorise les régressions sociales, et limite très clairement les marges de manoeuvre et les possibilités d’intervention de l’état ...

    Alors ce système désolé mais il ne me satisfait pas ... Et les récentes crises financières sont des arguments de plus pour s’interesser de plus prêts à ces systèmes et les remettre en cause ...

     

     



  • logan 25 juin 2008 13:18

    domino30

    vous dites beaucoup de généralités évasives

    expliquez svp vos affirmations

     

     



  • logan 25 juin 2008 13:12

    Nous dépensons aux alentours de 60 milliards pour des investissements chaque année, nous avons contrairement à ce que vous dites tout à fait le droit de financer ces investissements par des emprunts, emprunts auprès de notre banque centrale, donc sans payer d’intérêts ( ou alors on paye des intérêts mais ils nous reviennent sous forme d’impots sur les benefices et via les dividendes vu que la banque de France est 100% publique )

    Nos recettes fiscales à côté seront suffisantes pour financer tout le reste ( dépenses de fonctionnement + intérêts de la dette )

    La différence c’est que les emprunts que nous auront fait n’auront pas généré d’intérêts supplémentaires.

    Voilà pourquoi au bout de quelques années ces intérêts disparaitront du budget de l’état qui retrouvera l’équilibre tant recherché.

     



  • logan 25 juin 2008 12:59

    pour rester aveugle et sourd en effet il ne faut pas aller chercher plus loin

    et bien désolé, moi je vais chercher plus loin, et sur quoi je tombe ?

    sur un système monétaire idéologique qui je le maintiens a 3 buts

    -lutter contre l’inflation

    -enrichir et libéraliser les banques

    -contrôler l’état, réduire l’état et limiter son intervention dans l’économie

    et tout ceci n’est pas vraiment le fait de nos politiciens mais de financiers qui savent très bien ce qu’ils font

     



  • logan 25 juin 2008 01:50

    A JPC45 ...

    Actuellement la dette publique s’agrave à cause d’un cercle vicieux : la dette de l’état génère des intérêts, les intérêts aggravent le déficit de l’état, le déficit aggrave la dette et ainsi de suite ...

    Je propose un système qui permet de briser ce cercle vicieux ...

    Avec ce nouveau système, la dette ne génèrera à terme plus d’intérêts ...

    Ce nouveau système retire aux banques privées le pouvoir de création monétaire, et le rend à la BCE ...

    L’état, lui, récupérerait le droit d’emprunter auprès de la Banque de France sans payer d’intérêts.

    Ces emprunts serviraient à financer uniquement les dépenses d’investissement ( création de logements etc ... ) mais pas les dépenses de fonctionnement ( salaires etc ... ) qui continueront elles d’être financées grâce aux recettes fiscales de l’état ...

    L’année dernière les dépenses d’investissement des administrations publiques correspondent à 61 milliards d’euros.

    Si nous transférons les recettes fiscales utilisées pour ces dépenses d’investissement vers le paiement des déficits, et inversement finançons ces investissements avec le nouveau système, les intérêts générés par ces emprunts ne génèreront pas d’intérêts supplémentaires.

    Et petit à petit, alors que nous payons des intérêts supplémentaires sans pour autant en générer de nouveaux, le montant de ces intérêts va diminuer et puis finir par disparaître, ce qui aura pour effet de rééquilibrer le budget de l’état et de nous permettre de combler la dette.

     

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