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Tableau de bord

  • Premier article le 26/11/2009
  • Modérateur depuis le 20/10/2011
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Derniers commentaires



  • ObjectifObjectif 27 janvier 2009 14:29

    Magnifique article !

    Cela revient à bien séparer les métiers :

    • une banque stocke et transfère la monnaie ;
    • les citoyens établissent et reçoivent les crédits, de manière égalitaire, éventuellement en proportion de la valeur ajoutée que leur travail a créé dans le pays.
    Une bonne vulgarisation de l’idée de cet article figure ici : L’ile des naufragés

    Pour aller plus loin, on peut aussi voir qu’une instabilité du système économique global provient du décalage mécanique entre :
    • ceux qui sont payés en proportion de la valeur de ce qui passe entre leur main,
    • et ceux qui sont payés au forfait horaire.
    Cela serait réglé si le capitalisme était complet, car il semble qu’il soit actuellement amputé de sa partie la plus humaine (quelle coincidence smiley :
    • dans une entreprise, ce sont les humains qui comptent le plus ;
    • pourtant, il ne sont pas évalués dans le capital, donc ils ne sont ni rétribués en proportion de la valeur ajoutée créée par l’entreprise, ni assez estimés pour participer aux prises de décisions de l’assemblée générale des actionnaires.
    Si le capital humain était pris en compte et valorisé au même titre que les autres éléments du capital, alors un salarié :
    • serait payé au forfait horaire, pour ses frais d’exploitation,
    • il serait logiquement rétribué proportionnellement à la valeur ajoutée créée, par le versement des bénéfices aux actionnaires,
    • et il pourrait participer aux décisions stratégiques.
    Le valeur en capital d’un humain est bien estimée aujourd’hui, par exemple dans les tableaux des assurances sur la vie.

    Cordialement, à tous !


  • ObjectifObjectif 8 janvier 2009 00:00

    "il faudrait convertir els milliards perdus en quelques chose de concret : par exemple en rame TGV ou en porte avaion qu’on balance à la casse direct. ça parlerait peut être plus à nos super financiers."

    Parce que vous pensez que vos "
    super financiers" ne le savent pas ? le système financier actuel n’est qu’une illusion, qui permet de concentrer le pouvoir. Et la période actuelle n’est qu’une phase de concentration de pouvoir plus aigue et visible.

    Vos
    "super financiers" préfèrent passer pour des idiots, mais garder et augmenter leur pouvoir...

    Au passage, le prix des actions cité dans l’article est un exemple très clair d’illusion : en quoi la valeur des actions d’une entreprise touche-t-elle le fonctionnement de l’entreprise ?

    L’entreprise a reçu l’argent correspondant à ses actions lors de leur émission. Mais ensuite, la valeur des actions n’a d’effet que sur les actionnaires, mais strictement aucun effet sur l’argent, la trésorerie, dont dispose l’entreprise.

    La monnaie était à la base un moyen de rendre plus pratiques les échanges. Mais elle devient rapidement une illusion, une concentration de pouvoir.

    On pourrait très bien décider que tous les ans, une nouvelle monnaie est créée et distribuée aux citoyens, et que l’ancienne perd toute valeur, un peu comme au monopoly quand on commence une nouvelle partie. Quel serait l’inconvénient dans la vie de tous les jours ? On pourrait toujours acheter à manger, de quoi se chauffer, se déplacer...

    Bien sur, le pouvoir correspondant à l’argent accumulé par certains serait perdu... et alors ?

    Cordialement à tous...



  • ObjectifObjectif 7 janvier 2009 23:35

    C’est plein de bonnes intentions, mais est-ce utile et efficace ?

    Quand il écrit : "« Je demande aux politiques de reformer la finance mondiale et je les invite plus que jamais à s’en tenir aux fondamentaux et à donner toute leur attention aux vraies valeurs ajoutées, comme le font les ingénieurs dans leurs activités quotidiennes de R&D, de conception, de construction de production et de services. »"

    Pour moi, cette conclusion montre qu’il n’a rien compris au film, qu’il continue à se décharger de sa responsabilité citoyenne sur le politique, qui a pourtant montré qu’il était incapable de faire mieux.

    Ce n’est pas une critique négative,c’est une constatation, et une invitation à la progression.

    En tant qu’ingénieur, c’est à lui d’analyser techniquement les problèmes du "système" (au sens "ensemble de mécanismes interconnectés à étudier") et de proposer des solutions.

    Cordialement à tous.



  • ObjectifObjectif 7 janvier 2009 22:27

    C’est une belle protestation, certainement un peu vaine, quand nombre d’ingénieurs se font complices des pouvoirs non démocratiques à l’oeuvre.

    N’importe quel ingénieur en mécanique a bouffé assez de calculs de RDM (Résistance Des Matériaux) pour savoir qu’une poutre verticale soumise à un effort trop grand va flancher, c’est à dire se plier. Elle ne va pas se couper spontanément en morceaux avec des coupures à 45°.

    De même, si un acier a été testé pour résister à 1200°C, ce n’est pas du kérosène brulant en atmosphère confinée qui va le faire fondre. Au pire, si une zone de la poutre est fragilisée, la poutre va flancher, retour au point précédent.

    De même, du béton fragilisé par du feu va se fracturer en blocs, certainement pas se réduire en poudre.

    Ce ne sont que 3 exemples de vérités techniques bonnes à dire, où la CNISF pourrait prendre position publiquement, à partir du savoir technique de ses sociétaires, pour confirmer que les pouvoirs et les médias nous racontent des bobards sur le 11 septembre 2001 et nous culpabilisent de ne pas les croire.

    En laissant passer ces bobards au public non scientifique, le CNISF se décrédibilise et laisse la porte ouverte à tous les excès. Il peut ensuite difficilement se plaindre des conséquences de se qu’il a avaliser, ne serait-ce que tacitement.

    Quand une partie de la population est payée au temps passé, indépendemment de la valeur de ce qu’ils produisent, alors qu’une autre partie est payée en prélevant un pourcentage croissant de la valeur de ce qui leur passe entre les mains, même s’ils n’y apportent aucune modification, on voit bien qu’il va y avoir un problème : le système ne peut pas être stable.

    Mr Noël Clavelloux doit bien savoir que si la valeur du stock de pièces d’une usine était géré comme la valeur des actions à la bourse, le gestionnaire irait directement en prison ! A la bourse, le prix d’une petite vente est appliqué à toutes les actions de l’entreprise : ca ne tient pas simplement pas debout.

    Alors bien sûr, l’argent du petit épargnant non averti va aller vers la bourse, plutôt que d’être prété à la fille de son voisin, ingénieure, qui essaye de monter des matériels de mesure (le début de HP...) ou des ordinateurs (le début de Apple...) dans son garage.

    Et Mr Noël Clavelloux doit bien savoir aussi que c’est le système financier qui permet aux grandes entreprises de déposer les brevets qui vont empécher tous les ingénieurs d’inventer et de développer librement, à une échelle artisanale, afin de pouvoir faire vivre des PME. Si l’invention gène une grosse entreprise, ils n’auront jamais les moyens de défendre leurs brevets, ou de se défendre contre les brevets de barrage déposés sans limitation de moyens par les plus gros.

    Je serais très heureux que Mr Noël Clavelloux et le CNISF réagissent à ces exemples, sans langue de bois, en vrai ingénieur, et produisent des résultats concrets accessibles à tous.

    Cordialement à tous.



  • ObjectifObjectif 21 décembre 2008 13:38

    Ne sous-estimez pas votre pouvoir personnel smiley L’essentiel est là :
    "La seule solution à la crise qui s’annonce réside dans la prise de conscience de la responsabilité et du pouvoir personnels, à l’échelle individuelle :

    Prendre conscience de ses dépendances liées aux émotions enfouies (peur, tristesse colère), pour se libérer des propagandes de masse et penser librement et objectivement :

    cf. www.thierrycros.net/ParcheminAccordsTolt eques.html et le livre d’origine.

    Le livre de Laurent Gounelle peut être une autre entrée en matière, selon les inclinations personnelles. "

    Si vous propagez l’indépendance d’esprit, les choses peuvent aller très vite.

    Imaginez que vous expliquez cela à 3 personnes de votre entourage, qui feront elles-mêmes une propagation à 3 personnes, alors les conditions pour une réaction en chaîne globale sont réunies, de manière à ce que rapidement un majorité soit consciente du théatre des émotions qui se déroule sous nos yeux...

    En outre,
    un SEL : Système d’Echange Local permet de commencer rapidement et localement les principes permettant un équilibre et une solidarité entre les humains.

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