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Oliver Trets

Oliver Trets

Dessinateur projeteur dans une PME d'ingénierie pour de multiple industries.
Marié, 2 enfants.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/01/2007
  • Modérateur depuis le 29/08/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique








Derniers commentaires



  • Oliver Trets Oliver Trets 27 juillet 2007 08:51

    Quand un suicide se produit aprés une rupture amoureuse, quand c’est une adolescente qui se défenestre, etc, les causes sont simples. Par contre, quand c’est sur le lieu de travail, comme par enchantement, les causes sont plus complexes : on se demande pourquoi.

    Tout d’abord, se suicider sur son lieu de travail, ça garde quand même une forte signification et dans ces circonstances, je n’ai qu’une certititude : les conditions dans lesquels est exercée l’activité professionelle de celui qui s’y suicide ne peuvent pas être totalement étrangère à cet acte. En tout cas, il va falloir faire preuve d’une puissante réthorique pour me faire croire le contraire et le complot dénoncé par cet article n’y parvient pas.

    Ensuite, le problème que pointe du doigt cet article, c’est la crainte d’une mise en cause d’une cerataine stabilité sociale : quand un opérateur se suicide, on s’en fout, par contre, si c’est un cadre (ce qui est le cas en l’occurence), ça commence à sentir le roussi. Si les « cadres sup » dont les autres employés envie la position « supérieure » commencent à se donner la mort au même titre qu’une autre tâche de travail, le « travailler plus pour mourir plus » reprend tout son sens.

    La pression hiérarchique (du résultat à tout prix) et sociale (de l’ambition adulée) sont des causes comme d’autres de suicide : le nier, c’est prendre le risque de moins bien le voir venir la prochaine fois.



  • Oliver Trets Oliver Trets 23 juillet 2007 12:54

    « Oui, mais ces gens la ne sont pas important.. »

    Il n’y a pas de sot métiers, il n’y a pas d’echelle de valeur pour une vie (je veux dire un confort de vie).

    On verra le jour où il n’y aura plus d’éboueurs dans votre ville si vous pensez encore que « ces gens la ne sont pas important. »



  • Oliver Trets Oliver Trets 23 juillet 2007 12:51

    « On ne peut évidement pas supprimer les parachute dorés »

    L’auteur de l’article ci-dessus souligne qu’il est paradoxale de filer un parachute dorrée à un PDG qui sort avec de mauvais résultats : il ne propose nullement de les supprimer.

    A force d’être borné contre les commentaires qui ne sont pas de votre bord, vous ne les lisez plus et vous répondez à coté de la plaque tout en dénigrant vos interlocuteurs : c’est pas avec ça que le débat va avancer...



  • Oliver Trets Oliver Trets 19 juillet 2007 22:57

    « Votre commentaire prouve une fois de plus combien il est difficile à un auteur de remettre en cause des idées reçues. »

    ==> Ca, c’est le passage le plus drôle : donc, j’ai ris smiley

    Nom d’un chien, le commentaire que j’écris n’a strictement aucun interêt, mais je me sent l’obligation de préciser un fait extrémement rare : je suis parfaitement d’accord avec West, Demian West. smiley

    DW, courage : il en faut pour avoir la patience de répondre à ce .... « truc »



  • Oliver Trets Oliver Trets 11 juillet 2007 08:36

    Sur le fond : plutôt que de faciliter le licenciement pour faciliter l’embauche (sic) j’ai beaucoup mieux pour faire diminuer le chomage —> passez donc le SMIC à 50€ /mois et dans 6 mois, il n’y a plus de chômage. Résultats garantis !! Est-on vraiment autorisé à se donner les moyens de faire n’importe quoi pour faire diminuer le chômage ? C’est quoi le but de la diminution du chômage ? —> faire baisser les charges sociales des entreprises ou rendre la vie des exclus du travail meilleure ? En fonction du but réel rechercher, on n’emploiera pas les même moyens.

    Sur la forme : la thèse de l’auteur de l’article consiste à dire ceci : « si vous n’êtes pas un économiste et au moins un chef d’entreprise qui lui s’y connait mieux que quiconque en économie, vous n’êtes pas en mesure de dire ce qui est bon ou pas pour l’économie du pays, la santé de ses entreprises et par extrapolation, le bonheur de ses citoyens ».

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