L’argent est la valeur symbolique placée à la mesure de toute chose. Elle est présente sur presque tout ce que nous voyons, nous entendons, nous sentons, nous touchons, nous goutons, nous consommons et que nous jetons. Elle n’a de valeur que celle qu’on lui concède dans nos pratiques quotidiennes. Or selon les anciens (lesquels ?) la religion c’est plus une question de pratiques que de dogmes.
Ce qu’elle est (création destruction et gestion) demeure dans l’obscurantisme digne de la secte la plus puissance que l’histoire connaisse, la secte des finances. Je l’ai constaté en posant la question autour de moi, à mon échelle.
Ainsi j’estime que trop peu sont conscients de l’entreprise à laquelle ils se livrent de la maternelle à la grande personne morale, mais aussi de la petite cuillère en argent aux ors du palais alors qu’un arbre ne vend pas ses fruits.
Mais voilà où je veux en venir.
L’argent, qu’il soit en papier, en pièces sonnantes et trébuchantes, sous formes de données informatiques (écrits scripturaux), ça ne se mange pas plus que l’or.
L’or n’a de valeur que celle qu’on lui concède (à part pour ses qualités physiques et chimiques), tout comme pour la monnaie fiduciaire.
N’est pas une mystification, au fond, de faire d’une valeur humaine telle que la confiance un moyen d’échange ? Ou disons plus exactement d’en faire LE moyen d’échange, tel que le troc en est marginalisé, et le don oublié comme principe d’échange (c’est gratifiant de donner, et ce qui est donné à l’un, l’autre vous le rend, la nature est ainsi faite, lorsqu’elle n’est pas trop pervertie par nos systèmes).
Nous avons perdu la souveraineté alimentaire (qui appartient aux personnes morales qui n’ont de morale que le profit à tout prix), nous sommes tenus par la peau des nouilles et des douilles aux frontières étatiques de l’acceptable par le salaire de la peur de le perdre, alors qu’il n’y a rien de plus nomade que l’administration dans un monde presque plus peuplé que par des propriétaires et ceux qui désirent le devenir, y compris l’administration de peurs et de croyances.
La vérité qui fait peur, c’est que nous participons comme peuple de la marchandise (et j’en suis) au totalitarisme marchand qui se veut global. Le mensonge qui rassure et que nous sommes en démocratie. C’est le véritable fond de commerce des politiques qui bénéficient aux grosses personnes amorales (oligarchies industrielles et financières).
Alors au lieu de parler d’or, je voudrais vous inviter à méditer sur une valeur humaine qui devient nécessaire de vivre et partager, car d’elle dépend la lucidité et la sagesse que demande l’avenir. C’est de plus la valeur la plus écologique qui soit. C’est celle qui permet de garder mesure en toute chose au lieu d’y placer cette autre valeur symbolique qui permet au chiffre de commander, à l’argent d’être roi, à l’or de régner en maître absolu et unique. Cette valeur humaine est celle de SOBRIÉTÉ. Je suis sûr que vous pouvez vous référer à son expérience dans vos propres vies, même en vacances. J’avoue que c’est une valeur que j’ai chèrement acquise, car elle est à l’inverse, à l’opposée, elle est contraire à celles produites par notre société de consommation et de celles diffusées par les médias appartenant aux oligarchies.
Si vous croyez qu’il faille sacrifier la nature, y compris humaine, pour de l’argent, c’est que vous êtes déjà maudits ! Mais ce n’est qu’une question de croyances. Alors faîtes confiance en vos expériences. Les besoins essentiels sont ceux d’avoir une alimentation saine, des activités saines, de quoi être en bonne santé, et aimer.
Cependant l’amour demande du respect, de la confiance née de ce respect, et de le partager avec vigilance. Il n’est attaché à personne. Il est impersonnel, relatif.
Alors ne vous attachez pas à de l’or, c’est trop lourd pour véhiculer le bonheur d’être simplement là.
Je suis choqué que les grands médias continuent d’utiliser les mêmes méthodes que pour Cotillard et Bigard pour discréditer dernièrement Mathieu Kassovitz.
Ce que je trouve dangereux ; c’est la question qui est posée en réaction : doit-on tout laisser dire dans les médias, et ce afin de protéger un auditoire « fragile »( ex. Morandi sur Europe1).
Messieurs des médias, si vous considérez votre responsabilité sur le pouvoir de manipuler l’opinion du public, nous sommes en droit de vous demander vers qui, ou vers quoi, va votre allégeance.
Dans le cas où vous êtes, et c’est compréhensible, tournés vers vos patrons, responsables, et finalement actionnaires, vous devez néanmoins reconnaître que les questions à propos des évènements du 11 septembre 2001 sont légitimes, et qu’il n’y a pas là de questionnement plus dangereux que d’autres.
Dans le cas où il n’y a pas de réponses convaincantes et encore moins de preuves, alors c’est la porte ouverte aux thèses les plus variées, qui bien entendu peuvent véhiculer des idéologies ou doctrines dangereuses. Cependant, à moins que ré-ouvrir une enquête en vu d’un procès soit contraire à vos intérêts, je ne comprends pas cette réaction.
Dans le cas où c’est votre conviction qu’il n’y ai pas de questions à se poser à propos de cette journée tragique, et des conséquences que nous connaissons, alors pourquoi discréditer ainsi ceux qui le font, au lieu d’apporter les réponses qui convaincront logiquement ceux qui s’en posent, à défaut d’en donner la preuve (la commission d’enquête NIST présente la version officielle, en aucun cas des preuves valides devant un tribunal).
A moins que nous ne soyons plus en démocratie, ni même citoyens libres d’une société de consommation, mais déjà dans une dictature, ouvrons une nouvelle enquête qui aura à charge de présenter des preuves.
— La nature de l’esprit est profonde pour notre conscience, et vaste par nature.
Je suis choqué que les grands médias continuent d’utiliser les mêmes méthodes que pour Cotillard et Bigard pour discréditer dernièrement Mathieu Kassovitz.
Ce que je trouve dangereux ; c’est la question qui est posée en réaction : doit-on tout laisser dire dans les médias, et ce afin de protéger un auditoire « fragile ».
Messieurs des médias, si vous considérez votre responsabilité sur le pouvoir de manipuler l’opinion du public, nous sommes en droit de vous demander vers qui, ou vers quoi, va votre allégeance.
Dans le cas où vous êtes, et c’est compréhensible, tournés vers vos patrons, responsables, et finalement actionnaires, vous devez néanmoins reconnaître que les questions à propos des évènements du 11 septembre 2001 sont légitimes, il qu’il n’y a pas là de questionnement plus dangereux que d’autres.
Dans le cas où il n’y a pas de réponses convaincantes et encore moins de preuves, alors c’est la porte ouverte aux thèses les plus variées, qui bien entendu peuvent véhiculer des idéologies ou doctrines dangereuses. Cependant, à moins que ré-ouvrir une enquête en vu d’un procès soit contraire à vos intérêts, je ne comprend pas cette réaction.
Dans le cas où c’est votre conviction qu’il n’y ai pas de questions à se poser à propos de cette journée tragique, et des conséquences que nous connaissons, alors pourquoi discréditer ainsi ceux qui le font, au lieu d’apporter les réponses qui convaincront logiquement ceux qui s’en posent, à défaut d’en donner la preuve.
A moins que nous ne soyons plus en démocratie, ni même citoyens libres d’une société de consommation, mais déjà dans une dictature, ouvrons une nouvelle enquête qui aura à charge de présenter des preuves.
— La nature de l’esprit est profonde pour notre conscience, et vaste par nature.
Je suis choqué que les
grands médias continuent d’utiliser les mêmes méthodes que pour
Cotillard et Bigard pour discréditer dernièrement Mathieu Kassovitz.
Ce
que je trouve dangereux ; c’est la question qui est posée en réaction :
doit-on tout laisser dire dans les médias, et ce afin de protéger un
auditoire « fragile » (ex Europe1 Morandini).
Messieurs des
médias, si vous considérez votre responsabilité sur le pouvoir de
manipuler l’opinion du public, nous sommes en droit de vous demander
vers qui, ou vers quoi, va votre allégeance ?
Dans le cas où vous
êtes, et c’est compréhensible, tournés vers vos patrons, responsables,
et finalement actionnaires, vous devez néanmoins reconnaître que les
questions à propos des évènements du 11 septembre 2001 sont légitimes,
il qu’il n’y a pas là de questionnement plus dangereux que d’autres.
Dans le cas où il n’y a pas de réponses convaincantes et encore moins
de preuves, alors c’est la porte ouverte aux thèses les plus variées,
qui bien entendu peuvent véhiculer des idéologies ou doctrines
dangereuses. A moins que réouvrir une enquête en vu d’un procès soit
contraire à vos intérêts, je ne comprend pas cette réaction.
Dans
le cas où c’est votre conviction qu’il n’y ai pas de questions à se
poser à propos de cette journée tragique, et des conséquences que nous
connaissons, alors pourquoi discréditer ainsi ceux qui le font, au lieu
d’apporter les réponses qui convaincront logiquement ceux qui s’en
posent, à défaut d’en donner la preuve.
A moins que nous ne
soyons plus en démocratie, ni même citoyens libres d’une société de
consommation, mais déjà dans une dictature, ouvrons une nouvelle
enquête qui aura à charge de présenter des preuves
Je suis choqué que les grands médias continuent d’utiliser les mêmes
méthodes que pour Cotillard et Bigard pour discréditer dernièrement
Mathieu Kassovitz.
Ce que je trouve dangereux ; c’est la question qui est posée en
réaction : doit-on tout laisser dire dans les médias, et ce afin de
protéger un auditoire « fragile » (ex Europe1 Morandini).
Messieurs des médias, si vous considérez votre responsabilité sur
le pouvoir de manipuler l’opinion du public, nous sommes en droit de
vous demander vers qui, ou vers quoi, va votre allégeance ?
Dans le cas où vous êtes, et c’est compréhensible, tournés vers
vos patrons, responsables, et finalement actionnaires, vous devez
néanmoins reconnaître que les questions à propos des évènements du 11
septembre 2001 sont légitimes, il qu’il n’y a pas là de questionnement
plus dangereux que d’autres. Dans le cas où il n’y a pas de réponses
convaincantes et encore moins de preuves, alors c’est la porte ouverte
aux thèses les plus variées, qui bien entendu peuvent véhiculer des
idéologies ou doctrines dangereuses. A moins que réouvrir une enquête
en vu d’un procès soit contraire à vos intérêts, je ne comprend pas
cette réaction.
Dans le cas où c’est votre conviction qu’il n’y ai pas de
questions à se poser à propos de cette journée tragique, et des
conséquences que nous connaissons, alors pourquoi discréditer ainsi
ceux qui le font, au lieu d’apporter les réponses qui convaincront
logiquement ceux qui s’en posent, à défaut d’en donner la preuve.
A moins que nous ne soyons plus en démocratie, ni même citoyens
libres d’une société de consommation, mais déjà dans une dictature,
ouvrons une nouvelle enquête qui aura à charge de présenter des
preuves.