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Raymond SAMUEL

Raymond SAMUEL

Education :
Je suis attérré par l'importance des mensonges qui ont été répandus depuis cinquante ans, généralement par de soi-disant spécialistes de l'enfance qui servaient en réalité des idéologies (féminisme radical) ou des lobbyes (professionnels), et trahissaient les enfants. Jai écrit un essai : "D'ABORD NE PAS NUIRE", pour aider les parents à se débarrasser de ces idées reçues.
L'apparente impossibilité d'arrêter la machine économico/financière (et donc la surconsommation) m'angoisse par ailleurs énormément parce que, en conséquence, nous avons à faire un choix cruel entre la survie de la planète et celle des homo sapiens, et ça me gêne...
Il y a aussi l'abus de pouvoir que je n'aime pas du tout.

Tableau de bord

  • Premier article le 13/01/2010
  • Modérateur depuis le 17/12/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Raymond SAMUEL paconform 5 mars 2010 14:21

    Bonjour,

    QUOI ? attendre après SARKOZY !

    On peut attendre longtemps.



  • Raymond SAMUEL paconform 5 mars 2010 12:14

    Bonjour,

    Les labos se comportent comme les autres industries : ils percutent le marché pour vendre le plus possible de marchandise, y compris en utilisant ceux qui tiennent des manettes.
    Le problème le plus important c’est l’orientation des mentalités du public qui commence seulement à se modifier un peu. Auparavant les médicaments avaient bonne presse et petit à petit tout le monde a éprouvé le besoin de « se soigner ». Un marché ultra perméable !
    Moyennant quoi tout le monde devient effectivement malade....
    Dans mon gros village il y avait, quand j’étais enfant, un pharmacien qui passait la plus grande partie de son temps calé contre sa porte à se distraire en regardant les allées et venue sur la place. Maintenant, avec une population moindre il y a deux pharmacies qui comptent chacune une dizaine de personnes ! Il y en a une autre dans les villages plus petits d’alentour qui n’en avaient pas.

    Les quantités de résidus de médicaments déversés dans la nappe phréatique a bien augmenté...et le trou de la sécu est devenu un abîme insondable.
    Mais c’est intouchable.



  • Raymond SAMUEL paconform 4 mars 2010 15:06

    Hep !

    Pour contribuer à l’honnêteté générale de la discussion, je voudrais ajouter quelque chose :

    Quelque chose qu’on oublie facilement :

    Et NOTRE responsabilité de CONSOMMATEURS ?

    Je me souviens très bien de l’époque où la grande distribution a engagé les opérations pour s’emparer du marché (quarante ans ?).
    A ce moment là il s’est dit (je l’ai entendu dire et je l’ai dit) que quand les grandes surfaces auraient éliminé tous les petits commerces ils augmenteraient leurs prix.
    On l’a dit mais on a vite oublié et on s’est jetés sur les caddies, avec délices.

    Et on est tous, malgré des différences de degrés, DEVENUS CONSUMERISTES.

    En plus de la démarche quantitative il y a eu la promotion des prix, ou comment vendre tout plus cher (emballages luxueux, portions à l’unité, cuisine industrielle etc.) avec la complicité (ou pire) de l’Etat qui émarge plein pot à l’augmentation des prix.
    On est arrivé à une vie chère obtenue de façon délibérée.
    Dans les faits, on n’a pas assez de revenus. Mais en réalité ce n’est pas vrai. Au contraire, beaucoup de revenus (y compris des salaires) sont trop élevés.

    Nous connaissons le prix des loyers, et le prix des abonnements etc...50 % des revenus mensuels sont prélevés, en moyenne, chaque fin de mois. J’ai de jeunes adultes comme petits enfants. Ils n’ont pas toujours de quoi manger.

    Pour le système capitaliste il faut vendre toujours plus toujours plus cher.

    Mais c’est à nous de ne pas obéir !
    Qu’on se soit laissé prendre, je le comprends mais il aurait fallu réagir beaucoup plus tôt.
    A la campagne c’est plus facile, il faut en effet que des bénévoles fassent des coop de vente directe (une occupation pour les chômeurs), et cultiver un grand jardin chaque fois qu’il est possible d’avoir de la terre, comme on le faisait « avant ».
    Cette attitude ne concerne pas que la grande distribution, il faut aussi cesser d’emprunter aux banques, par exemple, et à terme, cesser tout commerce avec la finance.

    Bon courage à tous.



  • Raymond SAMUEL paconform 4 mars 2010 12:06

    Bonjour les jeunes parents,
    A mon avis, même si la vocation d’AV est l’actualité, ce serait très bien que plus d’articles sur la naissance soient publiés.
    C’est tout de même ce qu’il y a de plus important, pour l’humanité comme pour toutes les espèces vivantes. Si l’on ne se reproduit pas, plus rien d’autre n’existe !
    Ces moments peuvent dans certains cas se passer très simplement, très naturellement, mais la culture étant ce qu’elle est bien des difficultés surgissent souvent. S’attacher à les résoudre au mieux ou, plus encore, savoir en réduire le nombre serait une bonne chose.
    « N’oublions pas qu’un Papa morfle sacrément à la naissance d’un enfant » ?
    Comprends pas... j’ai pourtant été Papa cinq fois. J’ai pas « morflé ».
    Je n’en ai pas connu non plus qui aient avoué avoir morflé. Certains participent peu, ils sont d’ailleurs peu sollicités, mais la plupart sont sacrément heureux et pouponnent sans hésiter.
    La Maman, morfle elle, oui, elle prête son corps, elle subit la marée des hormones, la remontée de ses souffrances d’enfant (et même de fœtus), qui déferle sur elle, elle se sent démunie, en manque de compétence et en surcharge d’inquiétude, bébé tête mal, elle a des crevasses. Son corps souffre de déchirement et de fatigue, ses nuits ne sont plus des nuits, elle cherche de l’aide sans la trouver, ne sachant quel conseil accepter parmi les recommandations contradictoires.
    Et puis, comme le dit l’auteur, elle doit cesser d’allaiter de force.
    Dur pour la Maman et dur pour le bébé, qui en plus sera réveillé et trimballé alors qu’il ne faudrait jamais réveiller un bébé ou jeune enfant ni lui infliger ruptures et stress.
    Mais c’est là une autre histoire (qui demande un autre article).

    Bonne route. J’espère que vous échapperez le plus possible aux frustrations dans votre statut de parents.



  • Raymond SAMUEL paconform 4 mars 2010 10:26

    Bonsoir,

    Mon voisin est agriculteur, il trait quarante montbéliardes.
    De temps à autre un camion vient déverser devant l’étable douze tonnes de pommes de terre qu’il paye à un prix dérisoire (des « retraits ? ») ces patates semblent de qualité normale.

    On répand des pesticides et on occupe des terres, de la M.O., du fioul, du matériel agricole, le tout subventionné, pour produire du lait (subventionné).
    Grâce aux patates les vaches produisent un peu plus de lait. Mais, plus les quarante montbéliardes produisent de lait, plus on prélève d’impôts sur la collectivité (pour payer les subventions). En même temps, les coûts de production s’élèvent avec le coût général de la vie (organisé par le système économique) et avec les besoins mécaniques et autres, comme la construction d’une immense étable et une maison d’habitation (les générations ne cohabitent plus) pour mon voisin. Les exploitations doivent aussi grandir pour produire plus. Le désert d’habitants s’installe (un exploitant en 2010 contre 9 en 1960). Les gens qui ne vivent plus ici sont maintenant chômeurs ou futurs chômeurs en ville.
    Ces pommes de terre payée à un prix qui ne couvre peut-être même pas le coût du transport semblent prouver que nous vivons toujours dans l’abondance, et « qu’on n’a pas besoins de cultiver son jardin (la terre est basse) parce que y en a chez leclerc ».
    En réalité c’est un désastre en raison du coût social. Nous creusons à toute allure une immense trou, un abîme, et nous tournoyons volontairement dedans (mais sans nous en rendre compte), le fond descendant toujours plus bas,

    jusqu’où ?

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