Eh ben fallait pas faire ça, ils vont apprendre (durement) que eux aussi se sont fait avoir en voulant singer les grands et miser sur la technologie du passé. Pourquoi avoir gravé un disque quand on n’en a pas les moyens ni le support des gros distributeurs ?
On est à l’heure du numérique et d’internet qui permet dans un cercle particulier de se faire reconnaître d’attirer des spectateurs payants dans une représentation et probablement finalement d’avoir une revenu net supérieur, qu’ils se renseignent, il y a plein d’idées qui circulent sur internet.
Eux-même probablement s’alimentent largement sur internet, en copiant ceux qu’ils veulent imiter. Les pôvres eux-aussi auront besoin de vaseline.
Oups, geo63 vous avez été plus rapide que moi et bien plus précis, je partage totalement votre point de vue, et je continue à penser que les montants alloués à la recherche militaire sont un véritable gâchis même s’ils ont des résultats dans divers domaines par rapport au même investissement dans la recherche civile. Nos universités ne seraient pas dans la misère et obligées de se vendre en morceaux au privé.
De toutes les inventions suivantes du vingtième siècle, aucune n’est d’origine civile :
Le radar, l’ordinateur, le laser, Internet, la cryptographie
(moderne), les télécoms modernes (développées par Shannon pendant la
deuxième guerre mondiale), l’électronique, etc. Pour votre information,
même les antibiotiques, redécouverts par Flemming avaient été déjà
découverts par un médecin militaire français du dix-neuvième siècle.
En êtes vous si sûr, pour l’ordinateur, le laser et le radar j’ai un grand doute, un simple coup d’oeil de vérification à Wikipedia montre que ces inventions remontent bien avant les gros budgets de recherche militaire américains ; pour internet oui pour le protocole IP, non pour tout le reste (navigation par URL par exemple).
Votre exemple du militaire français est peu convainquant, il n’était probablement pas financé sur un fond de recherche militaire, mais il faisait simplement son travail en n’ayant pas éteint sa curiosité comme Flemming d’ailleurs.
Bien d’accord, ceux qui me fatiguent ce sont « les imbéciles qui sont nés quelque part » comme le chantait Georges Brassens.
Cependant je remarque qu’au Québec on « subit » souvent ces anglicismes (ne pas oublier qu’il y a 50 ans on pouvait au travail se faire dire speak white par le foreman -contremaitre- qui ne parlait qu’anglais) alors qu’en France on a tendance à les rechercher par simple snobisme.
Si l’on utilise un brake à bras c’est à cause de l’isolement du Québec par rapport à la France, lequel n’a pas été voulu par le Québec. À bras c’est du « vieux » français et brake était le mot de la classe économique et dominante.
Oui mais quand même ces cousins font les chose de manière mesurée, ils prononcent ces mots importés à la française ce qui les rend incompréhensibles pour les québécois et ils vont même jusqu’à mettre les adjectifs dans l’ordre du français.
Par exemple, quand un français de France (je vis au Québec depuis plus de 30 ans) m’a parlé de guide line je ne l’ai pas compris sans effort et voir le mot écrit !
En ce qui concerne les pneus, effectivement je ne comprends plus cet usage des chaînes, et sachez qu’un pneu à neige est aussi surtout à glace, en dessous de zéro degré il devient nécessaire pour s’arrêter sur la glace (ou simplement le givre).
Ceci dit comprendre ce qu’est un brake à bras, peser sur la clutch, fesser dans hood, ou simplement peser sur le piton, au Québec pour un français de France demande aussi un petit effort. Mais bon c’est la pression de l’environnement direct.
(Ah oui j’oubliais la traduction : frein à main, debrayer, taper sur le capot avant, appuyer sur le bouton).