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Paradisial

Paradisial

De loin, l’air hautain, en m’approchant, on découvre un être très altruiste. D’apparence infantile, ma jovialité est plutôt angélique. Mon coeur large m’invite à sourire au monde entier. Chevaleresque, j’ai également l’esprit du sacrifice. Scrupuleux, ma conscience m’est une amie fidèle. Exigeant envers moi-même, je le suis également envers les gens. Fin sans quelconque hypocrisie, ma galanterie est spontanée envers le monde entier. Seule exception : les arrogants me sont des êtres translucides, je ne les calcule jamais. Très sensible à la sensibilité des autres, je deviens impassible quand on veut trop abuser de la mienne. Calme, je ne permets pas à la bêtise humaine de me faire déchaîner. Mon majeur défaut est celui d’être perfectionniste.

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  • Paradisial Paradisial 3 septembre 2010 03:24

    @ L’Auteur,

    Avec votre esprit littéraliste, ce n’est pas demain que vous saurez lire, analyser et décrypter le Coran (du moins, ce qu’il tombe entre vos mains comme tentatives de traduction).

    Dans le Coran il existe deux châtiments à l’adultère :

    • la flagellation,
      et
    • la réclusion à vie (et non l’enfermement jusqu’à la mort, comme vous l’énonciez dans votre texte).
    Dans l’ordre de révélation du Coran, c’était la réclusion à vie qui était initialement énoncée. Il s’agissait de réclusion à vie dans le domicile conjugal, en tournant simplement à clefs la serrure de la maisonnée. Donc, plus de sorties au-delà du seuil « conjugal ».

    Le verset parlant de ce châtiment évoqua en même temps qu’il fallait être en l’attente d’un autre à venir, le qualifiant même de délivrance (alternative), qui un jour sera révélée.

    Ultérieurement, vint alors le verset instituant la FLAGELLATION POUR LES DEUX ADULTÉRINS, abrogeant de fait l’ancien châtiment (et délivrant - sans nouvelle sentence - celles qui y étaient jadis seules condamnées).

    La flagellation en question n’est pas mortel, car figurez-vous en, le Coran affirme qu’UNE ADULTÉRINE NE PEUT ÊTRE ÉPOUSÉE QUE PAR UN ADULTÉRIN. Tiens ! Tiens ! Voilà des coupables qui survivent à la flagellation, et qui même se marient !!!!

    En fait, ce verset insinue qu’en cas d’adultère d’une femme ou d’un homme mariés, ceux-ci après avoir subit le châtiment de flagellation doivent être séparés de leurs conjoints respectifs. Ledit verset interdit donc aux musulmans vertueux de rester mariés à un adultérin ou à une adultérine (sans qu’il n’impose forcément que les deux adultérins se fassent marier après coup).

    Egalement, il convient de signaler que le cas d’adultère ne peut être constatable que strictement par la présence de quatre témoins oculaires, et qu’ils aient assisté de visu à un COÏT en plein déroulement. Ce qui rend la constatation du cas d’adultère presque du rang de l’impossible ; à part si les deux adultérins feraient cela en pleine rue, ou devant et au sus du voisinage.

    La morale de l’histoire : l’Islam tient à responsabiliser les gens quant à leurs devoirs sociaux, en amenant tout un chacun à jouir des libertés individuelles selon des limites qui viennent préserver l’ordre social et collectif, autrement la société serait vouée à la désagrégation en chutant - au passant - dans un monde bien bestial.

    Le second soucis c’est la préservation de la bonne identification des lignées.

    Un autre soucis a également une très haute importance : le droit pour l’enfant à venir de connaître ses parents légaux au lieu d’être condamné à être bâtard ou à finir dans les ordures vivant ou tué par sa mère, les rats ou un chien, sans que l’on lui ait demandé son avis.

    En légiférant de la sorte le Coran se souciait énormément de protéger l’ENFANCE en lui accordant tous ses DROITS.




  • Paradisial Paradisial 3 septembre 2010 02:52

    Longue vie à la vaillante nation iranienne.

    J’aime pas le sionistan.

    Khazaria c’est dans la poubelle de l’histoire qu’elle reviendra.



  • Paradisial Paradisial 3 septembre 2010 02:50

    En parlant de pharisiens, en on retrouve par ici de dignes cracheurs du site Feuj de Souche. smiley



  • Paradisial Paradisial 3 septembre 2010 02:48

    Aucun pharisien n’avait osé lever un cailloux, si quelqu’un l’aurait fait il aurait été illico dénoncé par ses autres compères, par jalousie, car ils s’en seraient sentis tous insultés par son mensonge. Alors, ils se défilèrent tous, la honte accrochée aux talents de leurs souliers. 

    Mais encore : après cette initiale révélation qui les entachaient tous, en sachant au fond d’eux-mêmes qu’il était véritablement face à un prophète, ils craignirent que Jésus ne révèle davantage des plus pires secrets cachés par tout un chacun / ils durent littéralement s’enfuirsmiley

    Si quelque pharisien se serait enhardi à lever une pierre, il risquait de voir Jésus déballer touuuus ses secrets, des plus ténébreux. Les tentateurs de Jésus (après sa petite démonstration / résumée dans un seul et court défi) smiley furent effrayés à cette idée. smiley

    Aujourd’hui, ce sont encore les pharisiens (de l’intérieur et de l’extérieur) qui tentent cette fois-ci de s’attaquer à l’IRAN.



  • Paradisial Paradisial 3 septembre 2010 02:45

    Dans leurs textes respectifs, le Coran abrogea la lapidation, contrairement à « l’Evangile » qui ne le fit JAMAIS

    La prévenue avait participé à l’assassinat de son mari en compagnie de deux complices avec lesquels d’ailleurs elle avait couché. En ordre de priorité, lequel des deux forfaits serait-il le pire ?!! Le meurtre évidement. Et aux médias occidentaux de nous parler d’une Sakinah condamnée à la lapidation pour adultère. Allez comprendre ! smiley

    Parlons-en de lapidation.

    Le Christianisme n’avait jamais, dans ses textes sacrés, abrogé la lapidation pratiquée par les juifs, l’Islam, par contre, via le Coran, l’avait fait.

    Les ignorants vont me crier que des musulmans (n’exagérons pas, une partie infime des musulmans) la pratiquent, et qu’il existe en sus deux ou trois hadiths qui parleraient de sa pratique, et que dès lors je ne pourrais être qu’un menteur.

    A ces mêmes ignorants je répondrais : l’Islam est totalement innocent de ces gens là et de ces prétendus hadith, et ce pour la simple raison que le Coran a effectivement abrogé la lapidation énoncée dans la Torah, lui substituant la flagellation, qui elle n’est pas mortelle, pour les deux adultérins et non seulement pour la femme adultère.

    A ces ignorants là je lance un défi : nulle part dans le Coran vous ne trouverez la lapidation comme sentence ; le Coran l’a effectivement abrogée. Quant aux supposés 2 ou 3 hadiths qui en parlent, ils ne pourraient être que faux, car aucun hadith ne pourrait abroger un verset coranique ; que l’on nous rapporterait même un milliard de hadiths défendant la lapidation et s’opposant avec le verset parlant de flagellation ils ne pourraient être que FAUX.

    Ceci dit, revenons à l’Evangile et à l’affaire des pharisiens, de Jésus et de la prostituée.

    En fait, Jésus (que le Salut de Dieu soit sur lui) n’avait jamais interdit la lapidation.

    Oui, mais on me répondra que lorsque les pharisiens lui ramenèrent la prostituée et lui demandèrent son avis pour la lapider il leur répondit : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre.

    Qui donc pourrait voire dans une telle phrase une condamnation franche et réelle de la lapidation ?!!!!!!

    Objectivement : ce n’en est pas une.

    Il faudrait contextualiser tout le scénario pour se rendre en toute objectivité que Jésus n’avait point condamné la lapidation.

    Je m’explique.

    En fait, chez les juifs l’adultère a lieu uniquement quand un homme (marié ou non) couche avec la femme d’un autre, et donc quand une femme mariée couche avec cet homme là.

    Si un homme couche avec une femme non mariée ou avec une prostituée (et vice versa), il n’y a pas d’adultère pour aucune des deux parties homme et femme.

    Or que firent les pharisiens ?!!!!

    Ils voulaient se jouer de la tête de Jésus et le mettre en ridicule, et lui ramenèrent à cette fin une prostituée (seule) pour la faire juger par lui sous l’accusation d’adultère afin de le tenter (alors que déjà dans une relation adultérine il y a deux parties).

    Conscient de leur subterfuge juridique (et de la non constitution selon leurs propres règles d’un cas d’adultère) que leur répondit Jésus ?!!

    Il leur rétorqua : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre !

    Qu’entendait-il par le fait de « ne jamais pêcher » ?!!

    En fait, Jésus leur insinua ironiquement : que celui qui n’est jamais allé aux putes parmi vous jette à cette « innocente » prostituée la première pierre

    Ils se rétractèrent tous, insultés, trainant leur propre culpabilité derrière eux. 

    Fin mot de l’histoire :
    Les salauds, c’étaient tous des religieux et tous fréquentaient unanimement les maisons de débauche.

    Il n’y avait aucun saint parmi eux.

    Les pharisiens (prétendument religieux) qui voulaient faire assassiner une péripatéticienne fréquentaient eux-mêmes les péripatéticiennes. smiley

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