phiconvers

Bravo Catherine, vous faites oeuvre utile. La vigueur des réactions le démontre. Continuez !

Espérons simplement que cela ira assez vite pour qu’ils en chient autant que leurs enfants, à qui appartient la solution, douloureuse et nécessaire pour les leurs.

Vous êtes bien léger sur l’apport de l’immigration arabe et sub-saharienne à l’insécurité en France...

Oui, l’échec de Sarkozy est patent mais d’une part il n’a pas de politique de sécurité et, d’autre part, le sort des premières victimes de la violence ethnique croissante, les classes moyennes basses françaises, l’indiffère au plus haut point.

Et franchement, je ne crois absolument pas en Bayrou pour faire la nécessaire révolution culturelle nécessaire au rétablissement de la concorde nationale. C’est un faible, qui n’a même pas les rares et vains éclats de lucidité langagière de Sarko.

Il va falloir trouver autre chose que les trois « partis de gouvernement » qui ont squatté le pouvoir pendant trente ans pour amener la France au bord du gouffre.

Merci Fergus de votre courtoisie.
L’Etat dépense des millions d’euros pour promouvoir la contraception, qui est d’ailleurs en général en vente libre.
La vraie question est celle de l’éducation au respect de l’autre et de la sexualité. Il faut lutter contre la promiscuité et la promtion d’une sexualité non assise sur la maturité et l’amour. Et les campagnes en faveur de la contraception et de l’avortement font tout le contraire, malheureusement.

Fergus, ne dites pas, s’il vous plaît, « indiscutablement » puisque ce sujet est éminemment discutable. Les arguments religieux ne sont pas les seuls en cause, sauf à considérer que la République laïque ne se préoccupe ni d’éthique, ni de démogaphie, ni de protection de l’enfance, dont rien ne prouve qu’elle ne commence pas in utero.

Vous ne répondez pas non plus sur le caractère très troublant de la « non baisse » du nombre d’avortements malgré la généralisation de la contraception. Pour information, les avortements consécutifs à des viols ne représentent que quelques centaines de cas chaque année et même ceux-ci ne me semblent pas dépourvus de problèmes, dans la mesure où c’est un tiers, l’enfant à naître, qui fait les frais du crime du violeur.