Pierre de Vienne

A We got the Funk

Ni accointance négative ni plaisir de descendre un auteur, simplement la colère de quelqu’un qui connait tous les renoncements, et les difficultés que suppose l’élaboration d’une oeuvre. Il faut ne pas connaitre cela pour comme ici, donner en pature à des gogos éblouis par un semblant de connaissances, une lecon d’esthetique.

Hélas,

Non seulement il nous faut subir votre prose de Trés Grande Victime de l’ Administration, je découvre avec stupefaction vos "talents" de critique de l’actualité artistique.

Tout dans cet article est d’une consternante démagogie, l’utilisation éculée de la petite fille comme principe de vérité, la non figuration comme une supercherie.

Ne faites pas passer votre manque de sensibilité pour une marque d’intelligence, vous ressemblez tellement aux cuistres que vous voulez denoncer.

Fulgurante médiocrité...

Formidable, votre article,

Un seul regret, que les pirates n’aient que des membres d’équipage a se mettre sous la dent, je rêve par exemple à un voyage d’étude de l’UIMN ( sujet : les techniques de blanchiment) sur un beau voilier blanc....

Mieux vaut en rire, en espérant comme vous que la solution négociée ( celle des marchands) soit la plus efficace. Les militaires, les politiques, ils ne rêvent qu’à essayer leurs nouvelles stratégies, redorer des médailles, des réputations.

Donc vous parlez d’un article écrit par un journaliste du Midi libre, critique d’un livre que vous avez écrit ?

"Un" livre, "un" professeur, "une" victime, curieux anonymat, mais je ne suis pas suffisament au fait des lois pour comprendre cette prise de distance avec votre propre affaire. Syndrome d’Alain Delon ?

Le fait que vous êtes victime de l’administration est indéniable, cette journaliste ne l’a pas assez souligné, mais sa liberté c’est aussi de dire ce qu’elle a ressentit à la lecture de votre livre.

Merci pour ces reflexions, n’oublions pas que les promoteurs des "réformes urgentes" sont bientôt depuis dix années au pouvoir. La mauvaise gestion, la dette, l’imprévoyance écologique c’est eux !