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piquecul

Je suis un petit retraité d'un service public avec un bagage scolaire négligeable. Mon vote n'a jamais été à la droite sauf cas de force majeure mais si mon penchant est à gauche, je ne suis pas non plus satisfais de la gauche. J'adore poser des question dérangeantes. Je tente de rester les yeux grand ouvert sur mes semblables et je déteste les discours nébuleux et mensonger dont nos politiciens et responsables de tout bords, niveaux et espèces nous abreuvent. Bien entendu je ne suis pas un parangon de vertues et je me trompe aussi. La critique ne m'est pas insupportable si elle est bien argumentées et surtout courtoise et franche. En gros je suis un vieux septique qui aime gueuler quand ça lui fait mal. 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/07/2007
  • Modérateur depuis le 15/10/2020
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Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • piquecul 9 juin 2010 09:10

    Bonjour à tous.
    L’Espagne, ce pays cher à mon cœur où la plupart de ma famille vit, est hélas dans un marasme insoluble. Depuis de longue années, moi petit ouvrier, je déclarait, au grand dam des gens du cru, que cette folie de la construction serait une catastrophe.

    Profitant d’une tradition bien ancrée basée, sur l’achat de logement par les jeunes couples, les spéculateurs de tout bords on poussés dans ce sens. L’absence, quasi indécente, de logement sociaux et l’émigration intérieure vers les centres industriels à facilité cette transition. L’appât du gain, du gain facile, a embarqué avec les banques des supposés investisseurs qui n’étaient en fait que de petites gens cherchant à rentabiliser un maximum leur épargne.

    Aucune crainte pour les banques (jusqu’ici) car ces dernières n’accordaient que des prêts hypothécaires au point que des familles dans la trentaine sont endettées jusqu’à l’age de 75 ans. Cet exemple n’est pas un « on dit » cela est la réalité pour certain de ma famille.

    Aujourd’hui, le nombre impensable de panneaux « A Vendre » qui fleurissent sur quantité d’immeubles urbains est révélateur. Le pire est que ces organismes bancaires sont, en cas de saisie de bien pour non paiement, propriétaires d’un coquille vide impossible a réaliser faute d’acheteurs.

    Même certains petits propriétaires de leur maison ou appartement, se fourvoyaient en s’engageant dans un achat de logement comme placement en pariant sur une location qui paierait les crédit. Erreur funeste.

    Ce point d’appuis de l’économie à été posé depuis des décennies par l’état franquiste qui a tout d’abord insisté sur le tourisme en bétonnant systématiquement les côtes Espagnoles. La recette paraissant intéressante les politiciens de tous bords ont suivit les moutons comme ceux de Parnuge. Aucun de ces « responsables » n’a voulu regarder la vérité en face et ils se sont contentés de tirer sur la ficelle en pariant qu’ils ne seraient pas de ceux qui casseraient le fil.

    Hé voila qu’aujourd’hui la boite de Pandore est ouverte. Chacun des Espagnols sait intimement qu’il va au devant de très mauvaise années. Aussi ces petites gens font ce que tous condamné ferait, il tirent leurs dernières cartouches. De toute façon mort pour mort autant en profiter.

    J’ai pu constater de moi même depuis déjà deux ans, que si les bars sont ouverts la nuit pour des soirées « Tapas » la clientèle est plus clairsemée. Les bars ferment plus tôt et ils sont bien souvent peu remplis. Les réunion se font le plus souvent chez l’habitant alors que cela ne se pratiquait pas. 

    Les commerçants sont moroses car le chaland se fait plus exigeant et plus rare. Le commerce de bouche lui continue son activité mais les produits sont plus ordinaires. Il y a moins de produit chers qui ne vendent plus surtout par exemple dans les poissons. Un effet certainement lié par ailleurs à la crise de la pèche.

    Le plus étonnant est, par dessus tout, que nous nous croyons en tant que Français à l’abri. Je crains que le réveil soit brutal et que de grosses larmes ne coulent sur nos joues.



  • piquecul 16 avril 2010 14:44

    Le plus grand proxénète de tous, c’est encore l’état. Car si il parait combattre la prostitution pour des motifs supposés sociaux ou sanitaires, il encaisse allègrement des impôts sur le revenu de ces dames.

    Bien entendu aucune déclaration de revenu ne prévoie ce genre de « profession », mais par le biais du « train de vie » évalué par de très sérieux contrôleurs, l’état dans sont plus bel élan hypocrite, taxe sans aucune honte.

    Les aléas de mon ex profession m’ont amenés à débattre avec ces dames qui exercent le plus vieux métiers du monde. J’en ai tiré quelques enseignements très succincts.

    Bien entendu la présence du proxénète est systématiquement niée, qui d’entre nous reconnaitrait sa soumission volontaire ou pas, mais l’état d’esprit est très complexe et difficile à comprendre.

    J’y ai trouvé énormément de filles excessivement gentilles et pas nécessairement idiotes. Des personnes pragmatiques dans leur vie qui font (autant que peu se faire) la part des choses. Bien souvent très innocentes de ce qu’implique cet état et qui une fois engagée dans cette voie se déconsidèrent et se jugent bien en dessous de leur réalité.

    J’en ai gardé un souvenir bien étrange qui m’a toujours laissé un goût d’inachevé. Un contact simple et naturel avec des filles qui sont le plus au fait de l’âme masculine avec ses troubles et ses attentes inassouvies.

    Depuis, j’ai la prétention de ne pas juger trop à la légère ces personnes. Il est vrai qu’en cas de nécessite c’est un moyen bien commode de gagner sa vie. Mais je suis convaincu que l’on y perd son âme et que cette blessure est très longue à guérir.

    Le bourgeois est bourré de préjugés mais il fréquente bien volontiers ces « hétaïres » auprès desquelles il satisfait ses plus bas instincts.



  • piquecul 23 octobre 2009 08:30

    Au risque de « détonner » dans ce concert de commentaire mon avis est plus nuancé. Si en effet le « prince Jean » renonce à la présidence de l’EPAD tous n’est pas clair dans cet infâme brouet.
    Le poste le plus « rentable », le plus important, de cette entité, est justement celui d’administrateur. Le « Fistonné (dixit le canard enchainé) » est directement intronisé à un poste ou les leviers de commandes seront entre ses mains. Rappelons nous que la fameuse élection du président de l’EPAD se faisait par les administrateurs. Qui osera maintenant contrarier l’omniprésident à travers son rejeton. A n’en pas douter cette position de « repli » était envisagée de longue date et murement réfléchie. Les gesticulations de la marionnette qui sera mise à la tête de l’EPAD seront organisée par le marionnettiste avec le manipulateur présent dans cette honorable assemblée. A mon humble avis rien n’est changé si ce n’est le chapeau. Dans l’ombre et avec cautèle la main du clan Sarkozy est présente et officiera sans bruits. De là à penser que les évolutions de cette faramineuse affaire étaient planifiée d’avance et que les coups successifs de la partie d’échecs sont arrivés leur buts il n’y a qu’un pas que je franchi aisément. 



  • piquecul 8 octobre 2009 07:24

    Hélas vieux syndicaliste, toujours convaincu que seule la lutte paye, je suis au regret de joindre ma voix à ceux qui critiques les « responsables nationaux ». Je ne reconnais plus la CGT combative et indifférente aux voix pusillanimes des « on est pris en otages » et des « ce sont des nantis ». La politique du paraitre pourri l’efficacité. Il m’importe peu que la CGT ait une meilleure presse. Elle dort ! Aucun des avantages conquit par nos anciens ne l’a été dans la tiédeur des salles de réunions. Il a toujours été nécessaire de se battre avec pugnacité. Aujourd’hui dans notre société bien confortable, il est fait grand cas d’impondérables sociaux dont les chômeurs et les sans emplois n’ont cure. Réveillez vous ! Participez donc au luttes qui sont les vôtres et non celles des « représentants nationaux ». Ils ont besoin qu’on les poussent car ils sont trop souvent seul a parler dans le vide. Leurs opposants ne sont pas idiots ils disent en aparté « les syndicats combien de divisions ? » Pourquoi croyez vous que notre omniscient président peu se permettre de dire en public et sans crainte « maintenant lorsque il y a une grève en France personne ne s’en aperçoit ! » Vous , moi, tous nous lui donnons raison. Jusqu’à quand ce fantoche pourra se foutre de nous impunément ? Qu’attendons pour ouvrir la boite à gifles ? Rappelons lui que la France c’est aussi et surtout nous et qu’il est au service de la France. Autrement dit à notre service, alors au boulot et mieux que ça ! Sinon on te vire ! Il y en a plein la rue qui attendent ton poste ! Cela me rappelle certains patrons pas vous ?.



  • piquecul 15 septembre 2007 07:01

    Je n’ai pas lu le volume en question. Je ne le lirais pas ! Pourquoi ? me demandez vous. Parce que je m’insurge contre l’utilisation du vocable « con » comme une insulte. Pour ma part je considère que ce petit mot (comme l’a déjà dit un homme célèbre) désigne un endroit bien trop précieux et apprécié pour en faire un vilain usage. Nos consoeurs ont (comme beaucoup d’entre nous) des défauts, mais cet endroit n’en est pas un. Quand au qualificatif de « sale » je m’y complais bien trop pour le distinguer sous cette forme. Que diable, employons donc un autre distinctif et gardons ces trois lettres pour en faire un mot doux et tendre comme il l’est.

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