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rastapopulo

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« FAUT-IL SCINDER LES BANQUES ? Oui, pour les sauver ! Comment ? En séparant épargne et spéculation », peut-on lire à la une de l’hebdomadaire financier belge Trends-Tendances du 22 septembre 2011
= retour à la tradition belge d’avoir scinder les banques dès 1934

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Derniers commentaires



  • rastapopulo rastapopulo 24 décembre 2012 14:53

    Je vous laisse délirer sur le Cas4 où le photovoltahic se substituerait à des centrales non-nucléaire (gaz ou charbon) pour avoir un bilan carbone positif. Vous vivez en France que je sache ! Enfin cela prouvera si il le faut le sérieux du scientifique... Résultat sans appel, en France, le bilan carbone du photovoltahic est 15x supérieur à celui du nucléaire. Cela est dû à sa fabrication (c’est marquer texto si ce n’était pas évident par la nature même de cette source d’énergie). Pour les vrais antinuk, vous me calculerez la radioactivité largué dans l’air par le charbon pour purifier le silicium du prohtovoltaHIC au lieu de nier les masses de matières transformés/Kwh.

    http://www.bco2.fr/en._photovoltaique_059.htm

    • Cas 1 : l’installation photovoltaïque isolée

    Le cas traité ici est celui d’une « ferme photovoltaïque » de 1 000 m2 de panneaux solaires polycristallins de 140 Wc / m2 nominal, disposés à 35° plein sud sur des ossatures support en aluminium fixées sur un ensemble de toitures terrasses existantes, en France métropolitaine. Ses émissions de construction sont de l’ordre de (source Erik Alsema & al., complétée) :


    Le total est d’environ 400 tonnes équ. CO2, le poste majoritaire étant la fabrication des panneaux, et notamment de leurs cellules.

    La localisation permet de recevoir une irradiation incidente de 1 400 kW.h / m2 / an, pendant une durée de vie supposée de 30 ans (compris un changement complet des onduleurs). En prenant en compte une estimation cumulée des multiples petites sources d’écart entre la production réelle et le potentiel maximal théorique à neuf (indice de performance + dégradation dans le temps), le bilan carbone® est alors de l’ordre de l’ordre de 100 g CO2e / kW.h.


    http://www.bco2.fr/en._nucleaire_199.htm

    • Résumé

    Du point de vue des strictes émissions de gaz à effet de serre, la technologie de fission nucléaire est très peu émettrice. Certes les ouvrages colossaux mis en chantier et à démanteler en fin de vie constituent en soi de très lourdes émissions, mais une fois divisé par la quantité tout aussi énorme de kW.h produits, il convient de constater leur relative faiblesse. Il en est de même pour les traitements successifs de préparation de retraitement du combustible. (spéciale dédicace aux neuneus)

     

    Les données suivantes (source ADEME et PSI Zurich) correspondent à un cas représentatif français, dont les émissions relatives à la préparation du combustible bénéficient d’une électricité nationale faiblement carbonée. Les valeurs de certains postes de traitement utilisant de l’électricité peuvent être multipliés en proportion relative du contenu carbone de l’électricité moyenne du pays considéré.


    • Synthèse

    Le Bilan Carbone® d’une centrale nucléaire française est de l’ordre du suivant (en g CO2e / kW.h)


    Le total est d’environ 6 g CO2e / kW.h, les 2/3 étant lié au fonctionnement, 1/3 à la construction des infrastructures. A l’international, cette valeur peut être portée à plusieurs dizaines de grammes de CO2e / kW.h en fonction de la nature de l’approvisionnement en uranium, de son enrichissement, de la consommation de la centrale en minerai, de sa technologie, et de sa durée de vie (source B. K. Sovacool 2008).



  • rastapopulo rastapopulo 24 décembre 2012 14:45

    Je vous laisse délirer sur le Cas4 où le photovolatique se substituerais à des centrales non-nucléaire (gaz ou charbon) pour avoir un bilan carbone positif, vous vivez en France que je sache !

    http://www.bco2.fr/en._photovoltaique_059.htm

    • Cas 1 : l’installation photovoltaïque isolée

    Le cas traité ici est celui d’une « ferme photovoltaïque » de 1 000 m2 de panneaux solaires polycristallins de 140 Wc / m2 nominal, disposés à 35° plein sud sur des ossatures support en aluminium fixées sur un ensemble de toitures terrasses existantes, en France métropolitaine. Ses émissions de construction sont de l’ordre de (source Erik Alsema & al., complétée) :


    Le total est d’environ 400 tonnes équ. CO2, le poste majoritaire étant la fabrication des panneaux, et notamment de leurs cellules.

    La localisation permet de recevoir une irradiation incidente de 1 400 kW.h / m2 / an, pendant une durée de vie supposée de 30 ans (compris un changement complet des onduleurs). En prenant en compte une estimation cumulée des multiples petites sources d’écart entre la production réelle et le potentiel maximal théorique à neuf (indice de performance + dégradation dans le temps), le bilan carbone® est alors de l’ordre de l’ordre de 100 g CO2e / kW.h.


    http://www.bco2.fr/en._nucleaire_199.htm

    • Résumé

    Du point de vue des strictes émissions de gaz à effet de serre, la technologie de fission nucléaire est très peu émettrice. Certes les ouvrages colossaux mis en chantier et à démanteler en fin de vie constituent en soi de très lourdes émissions, mais une fois divisé par la quantité tout aussi énorme de kW.h produits, il convient de constater leur relative faiblesse. Il en est de même pour les traitements successifs de préparation de retraitement du combustible.

     

    Les données suivantes (source ADEME et PSI Zurich) correspondent à un cas représentatif français, dont les émissions relatives à la préparation du combustible bénéficient d’une électricité nationale faiblement carbonée. Les valeurs de certains postes de traitement utilisant de l’électricité peuvent être multipliés en proportion relative du contenu carbone de l’électricité moyenne du pays considéré.


    • Synthèse

    Le Bilan Carbone® d’une centrale nucléaire française est de l’ordre du suivant (en g CO2e / kW.h)


    Le total est d’environ 6 g CO2e / kW.h, les 2/3 étant lié au fonctionnement, 1/3 à la construction des infrastructures. A l’international, cette valeur peut être portée à plusieurs dizaines de grammes de CO2e / kW.h en fonction de la nature de l’approvisionnement en uranium, de son enrichissement, de la consommation de la centrale en minerai, de sa technologie, et de sa durée de vie (source B. K. Sovacool 2008).



  • rastapopulo rastapopulo 24 décembre 2012 14:15

    Comme je sais que les déserts actuelles ont commencé à apparaitre il y a 5000 ans, l’effet de serre... Je l’avais pourtant bien mentionné, le bilan carbonne donne l’occasion aux paresseux d’évaluer la masse de matière nécessaire à la fabrication d’une source d’énergie (surtout dans le cas des pseudorenouvelables où la production de CO2 ne peut venir que de la fabrication !!). Alors si vous êtes pas capable de comprendre ça, je vois pas pourquoi vous seriez un bon juge sur le coté propagande ou non d’une info. 



  • rastapopulo rastapopulo 24 décembre 2012 14:12

    Vous délirez totalement. La moindre recherche google vous donnera le bilan carbone du photohic et du nucléaire. Et comem de par hasard, cela veut justement dire qu’une centrale nucléaire produit beaucoup plus d’électricité/matière nécessaire à sa fabrication que le photohic. C’est mathématique et les bilan carbone sont là pour en attester. Alors le coup du montrer vos sources alors toutes les sources le montre me dont bien rire. Montrez moi des sources qui ne serait pas favorable au bilan carbone du nucléaire puisque c’est la méthode pour ne pas répondre sur l’origine du bilan carbon désatreuyx du photoHic. Et après c’est moi qui fait de la propagande évidement, la paille et la poutre.



  • rastapopulo rastapopulo 21 décembre 2012 01:32

    J’ai jamais prétendu que le silicium ou le quartz était par leur seule quantité révélateur de la pollution mais au contraire j’ai bien insisté en 1° sur la qualité (quand au délire de ne pas comparer la pollution du nucléaire à la quantité gigantesque d’életricité produite par la suite, c’est bon t’as gagné, comparer une centrale d’1 Tw à une installe privé de phtoHIC est tout à fait honnête). Non. Ce que je dis c’est « expliquer moi le bilan CO2 désastreux du CO2 autrement que par une purification sidérurgique poussé du sillicium ». Allez y dites moi d’où vient tous les bilans CO2 officiels du phtovoltaHIC puisque c’est du silicium bas de gamme.  
     
    Au passage vous me donnerez les rendements du photoHIC avec du sillicium bas de gamme que je me marre.

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