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Romain Baudry

Adulescent de 28 ans, sciences-potiron, esclave en droit international et européen, écrivain imaginaire, girouette chronique, apérivore, voyageur statique, angéliste sceptique, asianisant, dilettante diversifié, photodépendant mais vespéral, quelque peu gynocentrique, partageant de nombreux traits de caractère avec le requin-baleine. De façon générale, complètement inutile.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/10/2006
  • Modérateur depuis le 14/11/2007
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Derniers commentaires



  • Romain Baudry 17 avril 2007 15:57

    Des études sur le sujet suggèrent qu’un nombre important d’abstentionnistes ne participent pas aux élections parce qu’ils rejettent en bloc le système politique existant et n’attendent rien des partis au pouvoir. Ces abstentionnistes-là, s’il leur prenait l’envie de voter, le ferait probablement en faveur des extrêmes.



  • Romain Baudry 17 avril 2007 01:28

    Sauf que les instituts de sondage ne transmettent pas l’information brute. Ils appliquent leurs fameux coefficients de redressement, qui sont parfois considérables.



  • Romain Baudry 17 avril 2007 01:15

    Ca dépendra des résultats, BG. Mais le problème, ce ne sera pas le ressentiment que provoquera le résultat de l’élection. Le soir du second tour, la majorité des gens penseront « on a gagné » ou « on a perdu » (une minorité non négligeable se désintéressera du résultat parce qu’elle n’en espérait rien). Les tensions de la campagne auront trouvé leur terme, certains se réjouiront, d’autres s’inquiéteront, mais la tradition démocratique est suffisamment bien implantée dans notre pays pour que le résultat n’aboutisse pas à une crise (tout comme elle est suffisamment bien implantée pour que Le Pen ne soit jamais président).

    Le problème viendra plus tard, lorsque le nouveau Président commencera à appliquer son programme. Sarkozy est plus susceptible de susciter des manifestations que ses rivaux, mais ça ne se finira pas en guerre civile, ni en assassinat. Les conflits d’opinion sont un phénomène politique normal. On peut être viscéralement opposé à la politique d’un gouvernement pourtant démocratique, voire même détester sa façon d’agir, mais ça ne conduit pas l’individu sain d’esprit à faire n’importe quoi pour autant.

    Alors ayez la bonté de m’épargner vos insinuations à la gomme. Le dernier à avoir tenté d’assassiner un président en fonction, c’est ce plouc de Maxime Brunerie et il venait de l’extrême-droite. Je n’accuse pas pour autant « vos rangs » d’être une masse de comploteurs anti-démocratiques prêts à recourir au meurtre par dépit vis-à-vis du résultat des urnes.



  • Romain Baudry 17 avril 2007 00:35

    C’est vrai. Je suppose que ses électeurs avaient bon espoir qu’il soit au second tour et que c’est encore beaucoup plus vrai cette fois-ci.

    Mais les électeurs de gauche classique (qui ne sont pas exclusivement des bobos, ou alors c’est qu’il y en a vraiment beaucoup dans ce pays) ont désormais conscience du risque. L’idée d’un second tour Sarkozy-Le Pen leur fait froid dans le dos (rien que d’y penser, tiens, je songe à m’exiler à Guernesey). Cette perspective va peser énormément au premier tour, notamment vis-à-vis des indécis de gauche. Royal va phagocyter Voynet et Buffet et sans doute mordre un peu sur l’électorat d’extrême-gauche. Un certain nombre de ceux qui flirtent avec l’idée de voter Bayrou décideront en fin de compte qu’il est plus sûr de voter Royal. Bref, il est invraisemblable qu’elle fasse moins de 20 %... un score que Le Pen est objectivement incapable d’atteindre (d’autant que le Neuneu va bien lui pomper quelques voix).



  • Romain Baudry 16 avril 2007 23:31

    Il est extrêmement improbable que Le Pen arrive de nouveau au second tour. Il n’y est parvenu en 2002 que parce que personne ne s’y attendait, sans quoi les voix de gauche se seraient moins éparpillées. Je ne nie pas que Le Pen a fait, et fera sans doute encore, un score élevé. Mais le nombre d’électeurs de la gauche modérée reste nettement supérieur au sien.

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