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  • Ruoma Ruoma 13 octobre 2014 12:41

    Voilà un beau pavé, merci à l’auteur !
    Tout le monde est à peu près d’accord là dessus : les causes, elles, sont maintenant bien connues...
    Par contre, la solution, ce serait : soutenez-moi à l’élection présidentielle pour que je devienne président de la république, avec un programme socialiste de lutte contre la finance, les cartels, la corruption, les médias, etc...
    C’est oublier un peu vite que le président de la république n’a pratiquement plus aucun pouvoir.
    Tout se décide à Bruxelles et en conformité avec les traités en vigueur (merci Sarko).
    Le problème N’EST PAS de faire une 6ème république, d’élire un président socialiste, de dénoncer la finance et les banques.
    Le problème, c’est d’obtenir que la France restaure sa souveraineté, que l’État retrouve son autonomie, D’ABORD. Et de décider du programme de reconstruction, ensuite.
    Et la seule et unique façon LÉGALE pour l’État de reprendre les commandes, c’est de demander la sortie de la France de « l’Union » €uropéenne en application de l’article 50 du TUE.
    C’est également la seule et unique façon d’abandonner l’euro, pour pouvoir rétablir sa propre monnaie.
    Et c’est la condition préalable pour pouvoir quitter l’OTAN, pour retrouver son indépendance et cesser de participer aux guerres des autres.
    Pour l’espace Schengen, je suppose que le processus est le même. On ne peut le quitter qu’en n’étant plus membre de l’UE.
    Cet étape est incontournable et le préalable à n’importe quelle hypothèse de changement.
    Il est donc essentiel de se mettre d’accord et se rassembler dans cet objectif.
    ET IL Y A URGENCE !!
    Le seul parti politique qui le propose est l’UPR.
    Les autres partis se limitent aux dénonciations indignées et aux promesses. Ils surfent sur la colère, l’indignation et l’exaspération justifiées de la population. Ils cherchent avant tout des voix et des postes. C’est le fonctionnement type des professionnels de la politique, de ceux qui passent dans les médias...
    Tout le reste n’est que bavardage stérile.



  • Ruoma Ruoma 12 mai 2014 16:41

    Très bon rappel, CQFD, merci BA ! smiley



  • Ruoma Ruoma 11 mai 2014 00:00

    @Kookaburra à 16:24
    Cette phrase me fait réagir : « Par contre, je trouve la dictature de Brussels inacceptable, et je serais en faveur de se libérer de ses contraintes  pour refonder une autre Europe »
    Voilà le poids de la propagande incessante depuis des décennies pour nous convaincre que « l’Union » €uropéenne est nécessaire, indispensable, vitale, incontournable.
    Dès qu’on envisage la sortie de l’UE, aussitôt le réflexe pavlovien impose avec soulagement l’idée d’une autre Europe.
    C’est pourquoi à l’UPR, ils militent pour la sortie définitive de l’UE, légalement, seule condition pour rétablir la souveraineté de la France et commencer un rétablissement réel de la démocratie dans notre pays.
    Et la sortie de l’euro ne sera pas la catastrophe qu’on nous prédit.
    Je dirais même que, vu l’état de délabrement dans lequel se trouve notre pays, il serait difficile de faire pire, mais si on continue, on sait ce qui nous attend...
    C’est pourquoi, le 25 mai, je voterai UPR avec détermination.
    Même si je sais que l’élection de plusieurs députés européens UPR le 25 mai ne résoudra pas le problème comme par magie, nous auront au parlement des personnes qui pourront nous informer, nous alerter et porter haut la voix de la majorité silencieuse qui ne veut plus « d’Union ».



  • Ruoma Ruoma 9 mai 2014 22:56

    On continue avec les arguments à deux Francs, à inquiéter le bon peuple pour le faire rester docilement dans cette situation lamentable et renoncer par peur à tout changement.
    Alors qu’il suffit de se renseigner !

    Et ici : l’avis d’un ex-économiste de la BCE, spécialiste de l’euro.



  • Ruoma Ruoma 7 mai 2014 16:35

    L"abstention active, l’abstention massive, l’abstention révolutionnaire, l’abstention résistante.
    Bon...
    Une fois qu’on a enlevé les belles formules, que reste-t-il ?
    L’abstention, c’est affirmer qu’on n’en a rien à faire. En gros, c’est être d’accord avec le choix majoritaire. Vous proposez de s’exprimer en se taisant. Curieux paradoxe.
    Quand bien même l’abstention serait à un niveau record, ce seront les mêmes qui proposeront leurs solutions pour résoudre ce petit problème... On n’est pas arrivés.
    D’autant que, l’expérience l’a amplement démontré, nos parlementaires européens n’en ont rien à faire de l’abstention. J’irai même jusqu’à dire qu’elle les arrange : « Laissez-nous faire, on s’occupe de tout !... »
    Faudra peut-être, à un moment ou à un autre, ne plus les laisser faire.

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