@L’enfoiré Je viens seulement de retrouver mon message et le vôtre, ce qui fait que cette réponse vous arrivera tardivement. Désolé...
Vous risquez de ne pas la voir, tant pis.
À part me reprendre, soit pour dire que vous n’êtes pas d’accord, que c’est ridicule ou que ce n’est pas pertinent ou alors que c’est évident, qu’est-ce que votre réponse apporte au débat ? De plus, vous ne faites qu’enchaîner une suite de poncifs.
Seriez-vous vérificateur, inspecteur ou correcteur de profession ?
Je vous signale, parce qu’apparemment cela vous a échappé, que mon commentaire a pour but d’informer ou de faire réfléchir. Vous ne faites ni l’un, ni l’autre.
Sur l’affirmation qu’un État est de plus en plus assimilé à une entreprise, il y a pourtant de quoi réfléchir. Affirmer par contre que la doxa libérale n’y est pour rien, cela s’appelle une contre-vérité, en d’autres termes, une ânerie...
Sur le fait d’envisager de voter pour l’UPR, il y avait de quoi piquer la curiosité. Las, vous vous contentez de dire que vous ne connaissez pas.
Eh bien, justement, si vous ne connaissez pas, allez donc voir !...
Gérer, ce n’est pas gouverner. « L’Union » €uropéenne procède de la même
façon : les pays sont administrés par des technocrates en fonction de
chiffres. D’ailleurs, je relève le passage « Un Etat est géré comme une entreprise ».
C’est exactement ce que prétend et tend à obtenir la doxa libérale.
C’est en vertu de cette idéologie que l’État est aujourd’hui contraint
d’emprunter sur les marchés financiers et a perdu son privilège régalien
de fabriquer lui-même sa monnaie, ce qui pourtant devrait être une
évidence. C’est le traité de Lisbonne dans son article 123 qui nous l’impose et c’est de là que vient notre « dette ». Dans le même temps, les tractations secrètes
en cours actuellement concernant le traquenard du futur "Grand marché
transatlantique" vont autoriser les multinationales à traîner l’État
devant les tribunaux pour entrave à leur business. On croit rêver !...
Eh
bien, pour revenir à l’article, nos dirigeants et nos braves hommes
politiques l’acceptent... Plutôt que de parler de déchéance politique,
j’aurais plutôt parlé de « politique du renoncement », de résignation, de
lâcheté et de traîtrise en politique, ce que dénonçait déjà Ch. De
Gaulle dans ses « Mémoires de guerre ». Pour rétablir une véritable démocratie, avec un gouvernement qui gouverne, un homme d’État qui dirige, il faut d’abord que la France recouvre sa souveraineté. Il faut qu’elle sorte de ce carcan mortel européen. C’est indispensable et urgent ! Et c’est exactement ce que propose l’UPR. La première étape, ce sera le 25 mai pour les prochaines élections européennes. Il suffira, ce jour là, de voter pour l’UPR. Ce sera un acte de légitime défense et de patriotisme.
Je voudrais répondre à eau-du-robinet (28 mars 10:38) et Fifi Brind_acier (28 mars 11:45) « A l’UPR nous apollons à l’abstention aux élections municipales » • L’UPR n’a pas donné de consigne de vote pour les municipales et donc n’a pas appelé à l’abstention. « L’UPR n’a pas présenté de candidats à ces élections tout simplement
parce que nous n’avons pas les moyens financiers de mener deux élections
au même moment. » • Selon l’UPR, notre adhésion à « l’Union » €uropéenne est la cause essentielle de toutes les difficultés du pays. Dans la mesure où aucun changement sérieux n’est envisageable tant qu’on est membre de l’UE, s’impliquer au niveau municipal est totalement secondaire et c’est pour cette raison que l’UPR a décidé de ne pas participer à ces élections.
C’est tout de même hallucinant, la force de la propagande !
Depuis plus de 50 ans, la construction européenne nous a été fortement suggérée (imposée) par les États-Unis, dans un but unique : s’assurer la suprématie et faire taire les pays en position de résister. Depuis la fin de la 2ème guerre mondiale, c’est le seul pays à être resté délibérément en guerre sans le dire, tandis que tous les autres se croyaient en paix, en particulier la France.
Aujourd’hui, alors que la stratégie devient évidente et que l’effondrement de notre pays en est la conséquence, plutôt que de soutenir la sortie de cette « Union » et sa disparition, les esprits chagrins continuent de pleurer et d’espérer quand même la réussite d’une construction d’une autre Europe !
« s’il avait fallu faire seulement une zone de libre échange, de simples accords commerciaux entre pays auraient suffit.... ».
C’est une zone de libre échange ! Mais non, justement, de simples accords n’auraient pas suffit, parce que les législations qui encadraient ces échanges auraient interdit toutes ces dérives auxquelles on assiste. C’est pourquoi il fallait mettre en place ce « machin » qui gouverne à la place des États et qui a démonté systématiquement toutes les législations en place et s’apprête à aller encore plus loin avec le déploiement de ce « Grand marché transatlantique ». On n’a pas fini de se « casser la gueule »...
C’est consternant ! Réveillez-vous !!...
(PS : mon commentaire arrive tard, mais j’espère quand même qu’il sera vu)