salamalekoum

Plaignons-les, c’est mieux que de les insulter…

« Certains parviennent à contrôler ces « envies insensées » mais combien en vérité le peuvent ? »

Ce qui le peuvent vraiment finiront tôt ou tard par le faire. Justement parce que ces comportements leurs sont nuisibles.

"Parce que les gens refusent d’admettre qu’en étant vraiment honnête on ne peut devenir aussi riche qu’un Bloomberg ou qu’un George Soros.« 

L’honneteté et la richesse sont très probablement corélées ; ceci dit, je doute qu’il y ait un lien de cause à effet.

 »Seul un profond changement de la mentalité des humains pourrait changer les choses."

Oui. De plus en plus de gens s’en rendent compte et changent à leur échelle, en faisant fi des critiques d’autrui. Si vous pensez effectivement que c’est une bonne chose, faîtes le : il y a des chances que vous ne soyez pas seul à aller dans cette direction 

Les choses ne pourront pas rester en l’état bien longtemps.

Bon courage.

5km, ça fait qu’une petite heure à pieds. Une poignée de minutes en vélo.

Je veux bien payer quelques dizaines d’€ en plus un canapé qui en coûte quelques centaines pour qu’il arrive en bas de chez moi.

Quant-au côté, « tout est fait pour faire chier les automobilistes » ça me paraît un peu maigre comme projet politique.

Vous devriez essayer de ne pas utiliser votre voiture pendant quelques temps, je suis prêt à parier que bien vite vous penserez que « tout est fait pour faire chier les gens qui n’ont pas de voiture », et sur des points un peu plus fondamentaux, genre trouver un boulot, un logement, faire ses courses, etc. (encore que, comme dit, quand on veut vraiment on peut trouver des solutions)

Ouaip, y’a un côté cercle vicieux.

Je doute que les « pétroliers » n’aient pas investis dans des solutions de secours avec tout l’argent qu’ils se font. Au moins pour assurer l’avenir de leur entreprise.

Non. Vous interprétez de façon éronnée. Je ne rejette pas la faute sur qui que ce soit, voire, je ne cherche même pas de coupable. Quelle est donc cette habitude de toujours chercher quelqu’un sur qui tapper en cas de problème ? Pourquoi ne pas dépenser son énergie à résoudre le problème à la place… Enfin bref.

J’explicite quelques mécanismes simples qui régissent notre système. Si vous pensez qu’ils sont inexacts, merci de m’aider à les corriger : nous y gagnerons tout deux en compréhension. Soyons honnête.

Si nous avons des automobiles à essence, c’était parce que ça convenait aux industries automobiles & pétro-chimiques.

« Publicité » & « relations publiques » sont des noms choisis par les publicitaires pour pallier à la consonnance négative du mot « propagande ». Notre société fonctionne ainsi. C’est la vie. Libre à vous de vouloir garder vos œillères ; ça ne changera pas fondamentalement les choses.

Les conflits d’interêts entre politiques et industriels sont choses fréquentes : « tu me rends service là, je t’aide sur ça ». C’est particulièrement naïf de penser que ça marche autrement : un politicien qui décide de faire autrement va avoir du mal à trouver des fonds pour sa campagne. Petite campagne : faible chance d’être élu ; grosse campagne : forte chance d’être élu.

Pour rappel, pendant la révolution française, le peuple a été armé par des nouveaux venus, les « industriels », désireux d’un changement de système politique, afin de pouvoir étendre leur sphère d’influence. Les mêmes armes ont étés rachetés (par les industriels) à la fin de la révolution, pour éviter que le peuple ait l’idée de tourner les fusils contre les nouveaux dirigeants.

Non seulement c’est chose courante, mais ça ne date pas d’hier.

Nous sommes effectivement responsable de ce que nous faisons, dans une certaine mesure, et à échelle (très) « locale ». L’influence qu’un individu a sur la masse est nulle.

À moins que cet individu active des leviers qui sont : puissants & inconnus à pas mal de monde sur terre. Et si tant est que cela existe, limité par notre ignorance de ces leviers, nous n’en verrions pas grand chose.

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« Ils ont le cerveau bien propre : les racines coupées, la raison embrumée, l’imagination rouillée, les pulsions libérées. »