Globalement, l’humain essaye de bouffer ce qui n’est pas toxique pour lui. J’imagine que c’est le cas pour les racines qui synthètisent des pesticides.
Avant on faisait confiance aux anciens et à leur expérience. Maintenant on fait confiance à l’agro-industrie dont le porte parole est ’le péripate’ et qui ne font aucune expérience avant retour sur investissement.
Vachement pointilleux sur les hybride F1 et le choix des mots.
En revanche, la sélection humaine (sélection et non pas modification) de plante, c’est du Frankenstein au même titre que l’insertion de gène de poisson dans du colza.
C’est un plaisir à chaque fois renouvellé de lire successivement des posts précis et argumenté puis de la mauvaise fois en barre.