Et bien justement, notre responsabilité n’est que très limitée.
En cas de matérialisation du risque systémique, la société sera dans un tel chaos que personne ne sera à l’abri à moins d’avoir retiré toutes ses économies.
De fait, personne ne sera plus solvable et le crédit coopératif ne sera pas un îlot de résistance isolé puisque comme une banques normale, elle prête de l’argent qu’elle n’a que partiellement. Il faut voir le risque systémique comme un risque global.
Et de fait -ce que vous pronez-, un run de tous les clients des autres banques vers le crédit coopératif aurait pour propriété de matérialiser un risque systémique. Ce qui n’est pas très sympa pour le brave gars qui est resté au CA, à la SOGE pendant 30 ans sans jamais spéculer.
Le système bancaire c’est un peu « si je tombe, tu tombes ».
La définition de l’inflation n’est pas l’augmentation du coût des matières premières.
L’inflation c’est la sensation concrète par les agents économiques d’un « trop plein » de masse monétaire. Ce qui entraine une dévaluation de la monnaie.
« Et franchement c’est pas les mecs de GS qui vont s’auto-balancer. »
sans blague...
En tout cas, on voit parfaitement l’idéologie libérale à l’oeuvre. Ne plus payer d’impôt mais utiliser cet argent pour corrompre les politiciens et la justice.
Il n’y a même pas besoin de preuve. Au USA, c’est légal. C’est le fonctionnement même des partis que d’être financés légalement par des fonds privés (bien connus puisque publiés).