• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

seanus

seanus

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 14 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • seanus seanus 14 juillet 2007 09:48

    « Et l’on ne devient pas fier de soi qu’on était avant, mais de cette connaissance qui donne une belle vision et large de l’histoire, du temps et de l’espace. »

    Pour la syntaxe, j’ai sans doute à apprendre, mais sûrement pas de vous.

    Je ne mets pas en cause votre savoir et tout autre savoir car je fait mes délices de entre autres de Panofsky, Schama, mais la façon dont vous l’utilisez. Je pense que le plus Stalinien des deux n’est pas celui que l’on croit. Vous ne savez décidément pas lire. Je n’ai pas mis en cause les contraintes matérielles dont vous parlez. Mais la nuance vous a sans doute échappée.

    Je ne dis pas que Gombrich est simple mais qu’il s’exprime simplement sans envolée lyrique.

    Je n’ai aucun désir de transgression et l’exemple musical que vous donnez tombe fort mal a propos. Exemple parmi bien d’autres : Charlie Christian. Ce nom vous est sans doute inconnu mais tout amateur de jazz un peu curieux ne peut l’ignorer. De plus, les musiciens que vous citez dans votre profil ne sont certainement pas tous passés par les conservatoires (Hendrix...). Il est vrai que si je suis votre démarche, vous êtes aussi aveugle que moi, puisque vous ignorez le « génie » de Bach et Beethoven (Voir votre profil).

    Vous ne répondez d’ailleurs pas aux exemples que je donne ; On peut encore citer par exemple Tintoret forçant la main des vénitiens, Lorenzo Lotto toujours surprenant, l’incroyable Vierge de Fouquet du musée d’Anvers. Mais cette liberté formelle vous a sans doute échappée puisque n’a d’intérêt pour vous que le sens. Et c’est sans doute, entre autre, cette liberté formelle qui fait que ces peintres ont traversé les siècles.



  • seanus seanus 13 juillet 2007 21:28

    Bonjour môssieur West

    Soyons aimable, et civilisé, comme le préconise la charte de ce blog. Certes, j’ai fait des fautes d’orthographe, et je m’en excuse bien humblement auprès des lecteurs, mais je ne brandis pas l’anathème et l’injure. Je ne promène pas entouré des trompettes de la renommée que je force à me suivre en brandissant l’oriflamme de mon DEA. Vous me faites l’effet du pauvre petit a qui l’on a cassé son joujou en mettant en cause le « génie » de son cher Dürer.

    Je ne vous avais pas mal lu. J’avais bien vu ce mot « librement ». Mais ce n’est pas en critiquant la bouteille que l’on juge le vin. La seule réponse que vous faites est encore de m’insulter. Mais c’est donc que vous ne m’avez pas bien lu.

    L’absence de liberté de Michel Ange dans le choix des ses thèmes, je ne la nie pas. Je réfute simplement l’idée que ce soit une contrainte pour cet homme d’exception (et tant d’autres). Je ne vous apprendrais pas que Michel Ange a toujours caché ses fresques, même à ses commanditaires, jusqu’à leur achèvement. Et dites moi quel a été l’absence liberté de M.A lors de la sculpture du David, si ce n’est la choix du sujet. Et croyez vous que Rubens ai été forcé de peindre ces nus féminins de cette façon dans « L’arrivée de Marie de Médicis à Marseille ». Il y aurait bien d’autres exemples.

    Je pense que vous n’aimez pas la contradiction.

    Je vous avouerai que les textes que je préfère sur la peinture n’ont pas été écrits par des spécialistes « surdiplomés » de la peinture. Tout au moins ceux qui m’ont fait réfléchir (Citons au moins le « Vélasquez et Goya » de Ortega) . Je ne dis pas que vous ne m’apprenez rien. Je n’ai pas vôtre « Deascience », mais chez vous, il faut vraiment faire le tri. Il y a des choses qui ne s’apprennent pas. L’humilité, la convivialité, le respect de l’autre, l’acceptation de la contradiction, la réfutation argumenté, la clarté et la simplicité du discours (par exemple Gombrich). Les hommes de grande culture m’ont toujours étonné justement parce qu’il n’en faisait pas étalage (Exemple : Aldous Huxley, un véritable amateur de peinture celui la, et qui en cause bien mieux que certains ...).

    Quand a Dürer, qu’il soit un « génie » ou pas, peu importe. Les grandes envolées lyriques de West ne change rien au statut de cet homme si on le replace dans son contexte comme l’a fait Pie. Point n’est besoin de faire des sauts de plusieurs siècles pour l’apprécier.

    Mais vous avez l’air de tellement tenir à votre DEA et à ce que vous avez emmagasiné comme un magnétophone que la moindre faille dans cet édifice a l’air de vous épouvanter.



  • seanus seanus 12 juillet 2007 23:16

    Je ne vois pas ce que « librement » ajoute. De quelle liberté parle t’on. Allez y, critiquer mes fautes de frappe ou de syntaxe ,je ne suis pas un virtuose du clavier et sans doute m’arrive t’il de trébucher, mais vous, vous trébuchez de toute évidence autant que moi (un certain Pie vous l’a déjà fait remarquer). Mais je reviens au sujet (ce dont vous avez une nette tendance a vous écarter lorsque l’on fait la mondre remarque sur le contenu de vos textes)

    Entre autres :

    Je ne vois pas quelles sont les contraintes imposées a Rembrandt dans ses autportraits. Michel Ange a été le plus libre que l’on puisse imaginer.

    L’imposition d’un thème n’a jamais été une contrainte pour l’intelligence. C’est le traitement du sujet qui révèle le degré de liberté. Rembrandt peignant une compagnie (« Banning Cocq ») a bien surpris face aux banalités peintes par ses contemporains.

    Quelle plus grande liberté que celle de Michel ange dans la Sixtine. Croire que le choix libre du sujet est une preuve d’indépendance est un tarte a la crème.

    Vélasquez malgré ses obligations de peintre officiel a traiter les sujets comme il l’a voulu, j’entend formellement et c’est l’essentiel. (« Ménines », « Arachne », « La rédition de Breda » en sont de beaux exemples). C’est bien pour cette raison que nous continuons a les regarder et absolument pas pour le thème.

    Mais sans doute ne s’agit il pas de cette liberté dont vous parlez. Alors a quoi faites vous allusion ?



  • seanus seanus 11 juillet 2007 23:13

    En fait, quand je vous lis, je n’apprends rien sur le plaisir que peut apporter un tableau. Tout votre charabia est sans doute bien intéressant pour meubler les soirées ennuyeuses, mais ne propose aucune critique sur la peinture. J’entends par critique des remarques judicieuse sur la chose peinte. Et non pas sur ce que, hypothétiquement, le peintre a voulu dire. Car cela dans le fond, vous n’en saurez jamais rien, ou si peu, ce ne sont que conjectures. Ne pensez pas par la que ces discussions me semblent sans intérêt mais je préfère me tourner vers Panovsky, Gombrich, Antal et quelques autres qui restent clairs et ne répètent pas comme un dictaphone ce qu’ils ont appris.

    « Alors que le génie romantique est tout contenu dans son nom, annoncé par le monogramme prophétique A.D. Albrecht Dürer. ». Qu’est ce que cela peut bien vouloir dire. Je cherche encore ce qu’a de prophétique A.D. Il semble que vous saouliez de votre verbiage.

    J’ai vu dans un autre de vos textes « C’est pourquoi, récemment, on comprit que Michel-Ange ne fut pas seulement un artiste de la Renaissance, mais aussi le premier des maniéristes. » Il ne faut vraiment pas avoir vu les quelques toiles peintes par M.A pour écrire cela, en particulier la mise au tombeau de la National Gallery. M.A, et Pontormo, a vous entendre ne se connaissaient sans doute pas !

    Vu le nombre impressionnant de Blog que vous tenez et le temps que vous devez y passer, il semble raisonnable de penser que Pie vise juste quand il remarque que c’est une obsession de vous faire une réputation sur le Net.

    Mes admirations sont ailleurs que chez Dürer, et si je suis votre démarche, je me dis que vous êtes bien a plaindre puisque vous n’avez pas remarqué le génie de Bach ni celui de Beethoven (Voir votre profil).



  • seanus seanus 9 juillet 2007 21:17

    Je ne ferais pas de remarque sur cet article, connaissant mal l’époque et cézanne en particulier. Ja constate simplement que Demian sort son couteau a la moindre critique. Il ne supporte pas la contradiction.

    Mais... Petite remarque :

    « nul ne pouvait plus ignorer que Picasso était le premier artiste librement reconnu de son vivant, si jeune et universellement » : faux, archi faux. Le peintre méconnu !!! C’est un myhte qui a la peau dure, mais cela donne toujours de l’importance a celui qui est censé brisé le mythe.

    Rembrandt : Reconnu et adulé de son vivant et même jeune. Titien : honoré par toutes les cours d’Europe. Giorgone : Les toiles son recherché par les cours italiennes dés sa mort précoce. Rubens : Croule sous les contrats qu’il a du mal a respecter. Michel ange : Dés sa première oeuvre (une supercherie), reconnu. Raphael, Masaccio, Pierro, Giotto, Véronèse, Van Eyck, Vinci, Lorenzetti, Duccio, Van der goes, Caravage (malgré sa mauvaise réputation) et bien d’autres n’ont pas attendu leur disparition pour etre porté au pinacle des peintres, et Dürer aussi si ça vous fait plaisir.


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv