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Serviteur

Serviteur

Attention à ne pas me confondre avec "serviteur" un autre intervenant qui a écrit deux commentaires que je ne partage absolument pas.

Nationalité : Française.

Pas plus de détail pour la simple raison que l'avenir est incertain et surtout parce que mon identité réelle présente bien peu d'intérêt .
Défauts :
-Une facheuse tendance à abuser des parenthèses dans mes posts.
- Pas fichu de pondre un article pour agoravox.
- Intervenir de manière épisodique en regrettant l'age d'or passé d'Agoravox.
Citations amusantes :
  • L'art de la citation est l'art de ceux qui ne savent pas réfléchir par eux-même (attribuée à Voltaire)
  • "Then take the universe and grind it down to the finest powder and sieve it through the finest sieve and then show me one atom of justice, one molecule of mercy. And yet you act, like there was some sort of rightness in the universe by which it may be judged..." in Hogfather by Terry Pratchett
  • "L'innocence n'existe pas, il n'y a que des degrés de culpabilité."
  • Tout ce qui est excessif est insignifiant. Charles-Maurice de Talleyrand
  • "Je ne suis pas un extrémiste et je tuerais tous ceux qui oseront prétendre le contraire"
  • "L'argent signale l'indigence" I.Banks
  • "My name is Ozymandias, king of kings :
    Look on my works, Ye Mighty, and despair !'
  • "An error, sir, is worse than a sin, the reason being that a sin is often a matter of opinion or viewpoint or even of timing but an error is a fact and it cries out for correction".
  • Omnes vulnerant, ultima necat.
  • "Be who you are and say what you think, because those who matter don't mind, and those who mind, don't matter !"
  • “Progress is a nice word, but change is its motivator. And change has its enemies.”
  • There is serenity in chaos, seek ye the Eye of the Hurricane.

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Derniers commentaires



  • Serviteur Serviteur 6 février 2012 14:06

    "There are two novels that can change a bookish fourteen-year old’s life :The Lord of the ring and Atlas Shrugged. One is a childish fantasy that often engenders a lifelong obsession with its unbelievable heroes, leading to an emotionally stunted, socially crippled adulthood, unable to deal with the real world. The other, of course, involves orcs« .

    Merci à wiki qui permet au fainéant que je suis de retrouver cette jolie citation d’un mec bien sous tout rapport (je vous laisserais vérifier).

    Ceci étant posé et ayant eu la chance de tomber sur une édition pirate française il y a de cela quelques années (un travail remarquable d’ailleurs) voici ma modeste contribution pas 100% précise mais ce que j’ai retenu du bouquin :

    1) les points positifs :

    - Mise en valeur de l’usage de la Raison au pays du God Bless America

    -Valorisation du scientifique et de l’artisan, du penseur et du travailleur manuel=> J. Galt est l’expression caricaturale de ces vertus puisqu’il est tout aussi bien capable d’inventer un nouveau moyen de production énergétique que de bosser comme simple cheminot et comme métalurgiste (avec la même compétence qu’un ouvrier expérimenté).

    - Valorisation de l’entrepreneur qui porte son produit et qui est en lutte face au conservatisme des autres firmes : le patron de l’usine métallurgique qui cherche à faire un meilleur produit parce que c’est ce qui l’intéresse et qu’il y croit et se retrouve en but à l’opposition d’autres firmes que le progrès dérange et cherchent a l’entraver par des moyens juridiques et bureaucratique (toutes similitudes avec des pratiques actuelles n’étant que pures coïncidence).

    - valorisation de l’artiste, du »génie incompris« qui a persévéré dans son art malgré le décalage entre ses productions et la »mode« 

    - l’égoïsme est ici compris comme faire ce qui nous plait, ce qui nous tient à cœur (fabriquer le meilleur acier, faire tourner une compagnie de chemin de fer) avec l’idée qu’in fine la société en bénéficiera (meilleur produit, trains ponctuels). Le profit, la richesse étant vu comme une conséquence logique d’un bon travail et de l’effort réalisé et non pas un but en soi.

    - le rejet d’une logique sacrificielle (ou christianisme) : elle refuse les conneries du style »tendre l’autre joue« , sacrifier ce qu’on de meilleur pour une reconnaissance post mortem, elle fait une éloge de la vie mais on peut lui faire certain reproche que nous verrons par la suite.

    - Et surtout : le fait de valoriser l’individu vs le système : »going John Galt" c’est refuser d’apporter la moindre contribution utile à un système auquel on ne croit plus, de ne pas servir d’alibi, de caution. C’est l’idée que traduit la référence du titre à Atlas et à ce qui se passerait s’il décidait que décidément trop c’est trop et démissionnait. D’ailleurs l’héroïne à un moment du bouquin décide de couper les ponts avec la société : elle s’installe dans une cabane à la campagne qu’elle retape, cultive son jardin... (ça ne vous évoque rien ce genre de rébellion pacifique ?)

    2) les points négatifs :

    - sur la forme :

    => oh que c’est verbieux, faut s’accrocher pour lire le pavé et au final on est presque trop fatigué pour apprécier le discours de Galt à sa juste valeur.

    => Caricatural et daté : écrit dans un contexte de lutte contre les coco (avec qui elle a eu quelques soucis dans son pays d’origine) elle a poussé à l’extrême la caricature de la nomenklatura et des idées socialistes. 

    -sur le fond :

    => j’ai rarement croisé des individus ayant la capacité de raisonnement détachée d’émotions des personnages présentés dans le roman et ce qui s’en rapprocherait le plus irl serait probablement un psychopathe (qui lui n’a pas d’émotions pour commencer).

    => le refus du sacrifice ne prend pas (ou peu) en compte les liens d’amour (couple ou famille) et les familles présente dans le roman sont toutes dysfonctionnelles.

    =>l’égoisme défendu s’il est poussé à l’extrême sans justement cette capacité à raisonner globalement (planète aux ressources finies par exemple) n’est qu’un individualisme stérile.

    => son texte, s’il peut être utilisé pour défendre les libertés individuelles contre un Etat de plus en plus interventionniste dans la sphère privée, peut être aussi récupéré à des fins socialement nuisible (je pense au monde de la finance dématérialisé, ce qui est amusant quand on connait l’attachement de l’auteur à l’or comme seul vraie monnaie).

    => la dérive quasi sectaire qui est pourtant en négation même de la valorisation de la raison et de l’individu présent dans le bouquin.

    Voila ce n’est pas complet, brouillon sans doute mais probablement plus objectif (lulz) sur les point positif du bouquin que ce que j’ai vu dans l’article (et dont le contresens sur le going John Galt m’a initialement fait réagir)

     



  • Serviteur Serviteur 5 septembre 2011 12:29

    Intéressant et probablement peu connu tout comme par exemple le rôle pacificateur de l’Eglise au Moyen Age (multiplication des fêtes religieuses entrainant interdiction de combattre, église refuge, canalisation de la violence féodale plus connu sous le terme croisade+ conservation de texte par les moines) .

    Tout ceci n’enlève rien à cette dramatique aliénation de la raison que représente la religion mais illustre le fait qu’avec l’humain rien n’est jamais tout blanc ou tout noir.



  • Serviteur Serviteur 11 mai 2011 11:36

    « Pourquoi, dans cette logique de »fin justifiant les moyens" ne pas regretter de n’avoir pu vendre à l’Allemagne nazie quelques ingrédients nécessaires à la fabrication du zyklon B...On n’aurait pu imaginer que ce serait pour usage agricole... C’est ce qui était officiellement déclaré au départ... "

    Le truc marrant c’est que les grandes entreprises américaines ne se sont pas gênées pour vendre armes et motorisation au régime nazi au point que les gentils gi s’étonnaient de trouver des moteurs identiques à ceux qu’ils connaissaient chez eux dans les véhicules militaires allemands capturés.

    Qui est responsable du dommage : celui qui fabrique l’outil, celui qui le vend ou celui qui l’utilise ?
     
    Le cas des armes est particulier mais après tout plutôt que de s’entretuer à l’arme blanche autant que ces peuples le fassent de manière civilisée et qui soutienne notre croissance économique.
     
    Comment ça c’est ignoble de dire ça ? Je joue selon les règles, c’est pas moi qui les ai faites...

    Changer les règles ? Ben je veux pas être pessimiste mais les gens sont trop cons.

    C’est méprisant de dire ça ? Peut être mais chaque jour le monde me donne raison.... smiley



  • Serviteur Serviteur 12 février 2011 10:43

    Alors on à la classe politique que l’on mérite... (sur un air de Sardou)

    Citoyen français : personne bien trop occupée par ses problèmes personnels pour avoir le temps de s’intéresser aux affaires de la Cité et nécessitant donc l’intervention de vendeur de « prêt a penser ». Syn : mouton de Panurge

    Mondialisation libérale : processus de nivellement vers le bas des Nations, destruction des vilaines« barrières » et entraves tenues pour responsables des deux Guerres Mondiales. Mort programmé de l’État au profit d’acteurs privés et de la « main invisible du marché » (dont l’existence a été prouvée de manière aussi crédible que celle de DIeu).

    La dictature c’est ferme ta gueule, la démocratie c’est cause toujours...



  • Serviteur Serviteur 20 septembre 2010 18:06

    Au vu de la plus part des commentaires précédents je conclus que la direction d’agoravox c’est enfin décidé à copier sur l’un des plus grand site communautaire international (4chan) et s’est inspiré de la décision désormais célèbre dans toute la sphère internet de créer une zone spéciale de non droit : le fameux /b/.

    Pour ceux qui n’aurait jamais eu l’occasion d’entendre parler de ce fameux /b/ il s’agit d’une réserve pour cet animal qui a bien le droit de vivre et de se reproduire, le célèbre troll farceur que l’on ne présente plus. Celui ci s« étant fort bien acclimaté dans l’espace qui lui a été réservé ne le quitte plus et se désigne désormais fierement sous le vocable de »btard« et épargne les autres boards en consacrant l’essentiel de ses interventions dans la susdite zone.

    Au vu de la pauvreté/ ton humoristique de l’article il faut se rendre à l’évidence il s’agit d’un appât destiné à réunir un maximum de troll afin d’éviter qu’ils ne polluent de leurs élucubrations les autres articles à vocation »sérieuse".

    Je remercie sincèrement la direction d’Agoravox pour cette excellente décision.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


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