@Tcheub : il y a une nette différence entre de l’optimisme et réver éveillé !
L’Allemagne est certe plus développée que nous dans le domaine des énergies renouvellables, mais cela est plus que compensé par leurs centrales à charbons et par le fait qu’on n’estime pas du tout les conséquences à long terme des éoliennes (santé/environnement).
Les USA ne peuvent pas être résumé à la Californie et encore mois à la minorité de californiens qui ont les moyens de se payer une voiture hybride. Ils ne représent qu’une minorité non représentative de l’état d’esprit américain (croire le contraire serait d’un angélisme suicidaire).
Si on commence à changement à l’américaine (tel que vous le décrivez) cela va être le début d’une débandade générale (pas moyen d’avoir des normes environnementales identiques, idem pour les subventions, etc ...).
Ceci-dit il est plus que nécéssaire de pousser au développement des énergies renouvellables dont on maîtrise les conséquences : solaires thermiques/photovoltaïque, géothermie, courants marins (reste à démontrer l’inocuité), et de garder le nucléaire en attendant de trouver mieux (ce sera toujours un moindre mal comparé au centrale charbon/gaz)
À mon humble avis, même en esperanto l’usage de la ponctuation n’est pas facultatif ! "pour les maths, deux cas de fonctions on l’infini disons qu’une des valeur n’a pas d’existence en elle meme nexiste pas l’exponentiel et le logaritme pourtant on fait des calcules et on peut s’approcher indefiniment de l’infini sans pouvoir l’atteindre"
Désolé mais je ne parle pas "petit nègre", et là votre phrase ne veut rien dire.
De plus lorsqu’une fonction tend vers l’infini on dit qu’elle diverge.
S’approcher indéfiniment de l’infini ne veut strictement rien dire, l’infini est un concept mathématiques qui pourrait être traduit par "le plus grand et non mesurable", lorsque l’on dit "tend vers l’infini" on signifie "croît de manière permanente et sans limite".
Enfin votre délire sur les fonctions exponentielles et logarithmes est pour le moins abscon, surtout que ces fonctions sont très bien définies (mais bon pour cela il faut avoir suivi des cours de maths de Licence) !
"en physique astronomique c’est la théorie du trou noir disons que plus on s’en raproche et plus le temps ralenti ce qui fait que l’on ne peu jamais atteindre le trou noir, c’est l’effet du temps suspendu"
Bon là je vais casser un mythe, mais tout d’abord on dit astrophysique, et ensuite il s’agit d’une mauvaise interprétation de la théorie.
En effet le vaisseau qui se dirige vers le trou noir finira par l’atteindre (tout du moins sa sphère de Schwartzschild, et en miettes sûrement) en un temps fini, par contre pour l’observateur se situant loin du trou noir, le vaisseau va ralentir au fûr et à mesure de sa course et n’atteindra "jamais" le trou noir (je dis "jamais" car l’observateur sera mort bien avant un temps infini et l’image sera en même temps décalé vers les grandes longueurs d’onde et disparaitra !).
Pour le coup je vous conseille un bon Master ...
Votre concept de "tendance" m’intrigue : fr.wiktionary.org/wiki/tendance , de plus vous mélangez allégrement évolution sociale, évolution linguistique et évolution génétique dans un magma sans le moindre sens logique et sans le moindre lien explicite interne.
"donc il n’y a pas de paradoxe car une tendance indique par definition un but qui ne pourra jamais être atteint que ce but est une existence ou non physiquement ou théorique, donc le but n’est pas une fin en soi"
D’abord "que ce but ait une existence", ensuite ça ne veut rien dire, vous étes sûr d’être médecin, car là ça fait plus penser à de la pseudo-médecine parallèle ...
"j’ai reregardé ces fameux articles, il ne sont pas la traduction de uns sur des autres mais une approche differente selon la langue, donc le con il sait lire et il t’emmerde wlad l’illétré"
À l’exception de quelques néophytes, tout le monde sait que des articles de wikipédia dans différentes langues ne sont pas des traductions stricto-sensu , mais qu’ils reprennent les points de vue de chaque langue.
Et il faut vraiment être de mauvaise foi, pour insister sur le coté traduction alors qu’il n’y a pas d’article en esperanto sur les critiques de l’esperanto, si ça ce n’est pas avoir un esprit fermé !
@esperantulo : je lis bien vos commentaires alors gardez vos qualifications de benêt pour vous !
Pour rappel : fr.wikipedia.org/wiki/Limite_(mathématiques) .Soit "A l’esperanto" et "B l’internationalité", vous dites donc que "A tend vers B", sans jamais l’atteindre ce qui pourrait être traduit par "à l’infini", cependant vous ajoutez que "B n’existe pas" . Vous venez de révolutionner les mathématiques et la logique, même Gödel qui a fait beaucoup de choses avec "rien" (l’ensemble vide) n’est pas allé aussi loin !
Même si on veut être moins formel, l’internationalité est votre idéal, qui ne peut être atteint, et pourtant vous voulez continuer à vous en rapprocher ?
Les langues nationales sont par essence à l’opposé de l’internationalité, mais en même temps la majorité des gens se contrefout de l’internationalité (sinon il y en aurait bien plus parlant l’esperanto). Le paradoxe ne concerne que l’esperanto.
@esperantulo : vous vous rendez compte de ce que vous dites ? "non c’est une langue qui veut se rapprocher de l’internationalité, comme je l’ai déjà dit., l’internationalité absolue n’existe pas"
Vous dites à la suite que la limite (à l’infini) de l’esperanto est l’internationalité, mais que l’internationalité n’existe pas. L’esperanto ne converge donc vers rien selon vos propre dire !
Quand je parle de "joli paradoxe" il s’agit premièrement d’ironie, et deuxièmement de logique puisque dénonçant l’inconsistance de l’esperanto, ce que vous confirmez juste après d’ailleurs.
Pour conclure, un petit "best-of" : angalsi, gramaticale, avanture, carractere, agglutinante/aglutinante , sémentique, annalyse, dommaines, innanimité
"Et je reste sur ma position l’internationalité impossible"
Le tacle est facile, mais vous dites vous-mêmes que cette langue qui se veut international ne peut pas l’être dans son essence-même, mais juste dans son application. C’est un joli paradoxe (ce qui n’est pas foncièrement génant pour une utopie) !
Je passe sur les innombrables fautes de frappes, d’orthographe et de grammaire (pour un linguiste c’est un comble), mais il faudrait voir à moins martyriser ce pauvre clavier (et la langue française)