On lit partout que c’est notre Xavier Niel national le grand spécialiste mondial des questions sexe sur Internet (il a débuté avec le Minitel rose). Il est vrai que le Français a une réputation à défendre en la matière. Vos arguments à propos de Telegram me posent problème : pourquoi, si c’est aussi quelconque ce Telegram (qui fait gagner des milliards à ses inventeurs), ce n’est pas un Français qui l’a inventé ? C’est comme si vous expliquiez qu’Amazon, c’est rien de plus que la Redoute ou la manufacture de St Etienne. Malheureusement, c’est Amazon qui aligne les milliards et notre illustre Manufrance a hélas disparu. Vos arguments sont sympathiques mais très éloignés du monde réel. Quelque chose qui cloche chez vous : un bourdon ?
@Luniterre Les « réactions à chaud » sur des sujets déjà brûlants ne font le plus souvent que mettre de l’huile sur le feu sans pour autant apporter un éclairage supplémentaire
A chaud ou à froid, on (je)
n’y comprend(s) pas grand-chose.
Entre Dourov, ami de l’Etat profond de l’Occident collectif quand il fuit la Russie (les services secrets coopèrent étroitement, même si pour certains (GB-US) c’est
plus étroit que pour d’autres) et le Dourov coffré à Paris, donc devenu l’ennemi (en apparence) de l’Occident collectif, que s’est-il passé ?
Quand Dourov dit à un flic qui l’arrête qu’il a rendez-vous
avec Macron, peut-on envisager que Macron ait tendu un vrai piège à Dourov (et si c’est
vrai, ce serait presque amusant : on serait dans un vrai polar au sommet avec méthodes de voyou).
Est-ce une mise en scène Macron-Dourov complices contre la
Russie dans la guerre en Ukraine où Telegram serait très actif des deux côtés, l’Occident collectif cherchant à avoir accès aux infos russes (et ukrainiennes) ?
Quand l’UE cherche à s’éloigner de cette sombre affaire,
est-ce à dire qu’il s’agirait d’un deal entre Macron et Washington dont l’UE
aurait été tenue éloignée. On a déjà eu l’affaire Breton-Musk où la Commission
a curieusement désavoué. Un triangle Macron-UE-Washington qui cafouille ?
Une sombre histoire en tout cas, et j’ai hâte de connaître
la suite. Avec l’intuition que tout ça est si profond et opaque qu’on ne saura jamais, à moins que le frère de Dourov ne déballe tout, au péril de sa vie. Ce serait dommage de le perdre (le frère, le matheux-cryptologue/informaticien) car il est paraît-il vraiment doué.
La liberté de pensée et d’expression en Occident se joue en partie sur cette
affaire. Avec le guerre en Ukraine qui peut déraper à tout moment en un conflit
nucléaire nous impliquant, ces deux Russes – Dourov et Poutine – nous causent bien du souci ...
La dérive de l’UE vers un régime de type soviétoïde se
poursuit et se confirme.
Autrefois, quand on expédiait une lettre à un ami, on
pouvait être sûr que la confidentialité du message était respectée par l’Etat.
Hors période de guerre, le courrier n’était pas ouvert.
Aujourd’hui, l’Etat veut avoir accès à tout. L’Etat contrôle
les médias mainstream. Il se bat actuellement pour avoir le contrôle de tout ce
qui n’est pas aligné. C’est pourquoi Dourov est embastillé et Musk menacé.
En même temps, les lois répressives se multiplient. Il est
actuellement interdit de contester un traitement médical approuvé par l’Etat. Motif :
mise en danger de la vie d’autrui. Au prétexte de protéger la vie humaine, on
tue la liberté d’expression et de débat.
Bizarre cette évolution du capitalisme occidental, en
révolution permanente, vers un wokisme généralisé, c’est-à-dire un éclatement de
tout ce qui peut représenter une force d’opposition au marché. Le plus étrange
et contradictoire est que l’Etat est complice de sa propre disparition, car le
marché vise d’abord la mort de l’Etat, son principal concurrent.
Tout ceci fait l’impasse d’une autre force qui peut resurgir
à tout moment : le peuple, l’homme épris de liberté. La dictature du
marché et ses conséquences sociétales sont insupportables, comme toute
dictature. L’avenir peut nous réserver des surprises, en cas d’essoufflement de la sainte « croissance ».
La guerre en Ukraine comporte cette dimension, cette
confrontation entre deux dictatures, celle traditionnelle d’un pouvoir central autoritaire
d’un côté, celle du marché en révolution permanente de l’autre, un marché destructeur
de tout ce qui peut faire union.
Je crains que le marché, qui infiltre la vie, infecte
la société par toutes ses pores, qui écrase toute opposition, toute spiritualité par son « soft power » ne soit finalement
le vainqueur. Mais pas en cas de guerre ouverte et frontale, la direction que l’on prend en ce moment : le « marché » a trop peur de la mort, contrairement aux « autoritaires » encore attachés à quelques valeurs résiduelles telle la « patrie ».
On a le choix entre deux dictatures. Poutine croit que la sienne est la moins insupportable ...
La décision de
l’UE de basculer vers l’électrique plus la montée en puissance de l’industrie
automobile chinoise et de son marché énorme signent la mort de l’industrie automobile
européenne.
L’article ne
propose rien, et donc semble s’accommoder de cette mort.
L’Europe a
su gérer la montée de l’industrie automobile japonaise dans les années 70/2000,
en dressant des barrières (et réciproquement).
Ce sera plus
difficile avec la Chine (= Japonx10). Sans rien faire, on est morts.