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  • Steini 5 février 2014 14:41

    N’est-il pas honteux qu’en plein 21ème siècle, au soi-disant « Pays des Droits de l’Homme », les locuteurs Bretons, Corses, Basques ou Alsaciens en soient toujours encore réduits à devoir batailler bec et ongles pour le respect de leurs droits linguistiques les plus fondamentaux !!!
    « Une langue que l’on n’enseigne pas est une langue que l’on tue, tuer une langue est un crime » releva fort justement l’historien Jullian.
    Comme pratiquement tous les Alsaciens, j’ai subi une scolarité complète sans jamais y avoir rencontré une seule fois notre propre langue ostracisée et pourchassée jusque dans les cours de récréation.

    De la Maternelle à l’Université, de la salle de lecture à la cour de récréation, les jeunes doivent baigner dans un univers exclusivement francophone destiné à les couper définitivement de leur propre langue maternelle. Imaginez la réaction d’indignation de nos hypocrites jacobins s’il en était de même au Québec, en Wallonie ou en Romandie !

    En France, défendre ses droits linguistiques les plus fondamentaux est considéré comme une magnifique vertu lorsqu’il s’agit des ’Acadiens’, des Québécois, des Wallons, des Romands ou des Valdotins, et comme un horrible vice lorsqu’il s’agit des des Bretons, des Corses, des Basques, des Catalans, des Occitans, des Flamands, ou des Alsaciens-Mosellans. Ainsi va la morale au pays de l’impérialisme panfrancophone érigé en religion d’état. Aujourd’hui, toutes les langues régionales de France sont menacées d’éradication pure et simple par l’assimilation scolaire obligatoire des enfants. Ce qui n’empêche nullement le pays des belles déclarations de donner des leçons de savoir-vivre au monde entier, notamment sur la manière dont les Canadiens anglophones ont impérativement à respecter et à officialiser le « droit inaliénable » des dialectophones Québécois, - et même des patoisants Acadiens ! -, à une « société distincte du reste du Canada anglophone », basée sur le particularisme régional de « l’exception culturelle francophone » ! Lorsque la France n’y attise pas carrément le séparatisme ethno-linguistique : « Vive le Québec libre ! » La France tient un discours ici, et son coutraire là-bas, en fonction des lubies de l’impérialisme pan-francophone.



  • Steini 5 février 2014 14:37

    Le problème avec les ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) hostiles à la Charte Européenne des langues régionales, qu’ils soient de droite ou de gauche, ou plus exactement du Grand Orient de France (Guaino, Mélenchon etc), c’est qu’ils tiennent un discours totalitaire ici, au nom de diktats anti-démocratiques (cf : « la République est Une et indivisible », sinon quoi, la guillotine pour les récalcitrants ?) et son exact contraire là-bas (un discours émancipateur voire séparatiste en faveur des minorités régionales francophones à l’étranger), le tout en fonction des lubies du chauvinisme panfrancophone.

    A les entendre, imposer l’usage et l’hégémonie de la langue anglaise aux locuteurs Acadiens ou Québécois relèverait de « l’impérialisme Anglo-Saxon », tandis qu’imposer l’usage et l’hégémonie de la langue française aux locuteurs Bretons, Corses, Basques, Catalans, Occitans, Flamands ou Alsaciens-Mosellans relèverait de « l’intégration républicaine ». Dans le genre foutage de G... on fait difficilement pire !

    La « République » est honteusement dévoyée pour servir de faux-nez à l’impérialisme et au colonialisme pan-francophone.

    Curieusement, ces ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) sont tous ultra-favorables à la co-officialité des langues régionales lorsqu’il s’agit de défendre les droits linguistiques spécifiques et collectifs des minorités régionales francophones à l’étranger (dialectophones Québécois, patoisants Acadiens, Wallons, Romands, Valdotains etc) et ils y sont hyper-hostiles lorsqu’il s’agit de s’opposer à ceux des Bretons, des Corses, des Basques, des Occitans, des Catalans, des Flamands ou des Alsaciens-Mosellans. Quelle hypocrisie, quelle duplicité idéologique !

    Ils soutiennent tous en choeur le séparatisme ethno-linguistique au Québec (« vive le Québec libre ! ») et même le rattachisme Wallon (« la Wallonie manque à la France ! ») tout en condamnant avec véhémence ce même séparatisme lorsqu’il est Catalan, Corse ou Breton etc.

    M. Mélenchon s’oppose à la réunification de la Bretagne au nom de « la lutte contre les communautarismes », tout en appelant de ses voeux le rattachement de la Wallonie à la France page 118 de son dernier livre intitulé « Qu’ils s’en aillent tous ! », ...au nom de ce qu’il ’oublie’ complétement d’appeler le communautarisme panfrancophone et l’irrédentisme Grand-Gaulois !

    Cette duplicité idéologique est intolérable. La France doit d’abord donner elle-même l’exemple du respect de la pluralité linguistique sur son propre sol avant de l’exiger du Canada, de la Belgique, de la Suisse et de l’Italie en faveur des minorités régionales francophones qui s’y trouvent. Il faut un minimum de cohérence et d’honnêteté intellectuelle ! Les relations internationales sont basées sur la réciprocité, sinon c’est du chauvinisme et de l’impérialisme panfrancophone...



  • Steini 5 février 2014 14:31

    Le problème avec les ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) hostiles à la Charte Européenne des langues régionales, qu’ils soient de droite ou de gauche, ou plus exactement du Grand Orient de France (Guaino, Mélenchon etc), c’est qu’ils tiennent un discours totalitaire ici, au nom de diktats anti-démocratiques (cf : « la République est Une et indivisible », sinon quoi, la guillotine pour les récalcitrants ?) et son exact contraire là-bas (un discours émancipateur voire séparatiste en faveur des minorités régionales francophones à l’étranger), le tout en fonction des lubies du chauvinisme panfrancophone.

    A les entendre, imposer l’usage et l’hégémonie de la langue anglaise aux locuteurs Acadiens ou Québécois relèverait de « l’impérialisme Anglo-Saxon », tandis qu’imposer l’usage et l’hégémonie de la langue française aux locuteurs Bretons, Corses, Basques, Catalans, Occitans, Flamands ou Alsaciens-Mosellans relèverait de « l’intégration républicaine ». Dans le genre foutage de G... on fait difficilement pire !

    La « République » est honteusement dévoyée pour servir de faux-nez à l’impérialisme et au colonialisme pan-francophone.

    Curieusement, ces ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) sont tous ultra-favorables à la co-officialité des langues régionales lorsqu’il s’agit de défendre les droits linguistiques spécifiques et collectifs des minorités régionales francophones à l’étranger (dialectophones Québécois, patoisants Acadiens, Wallons, Romands, Valdotains etc) et ils y sont hyper-hostiles lorsqu’il s’agit de s’opposer à ceux des Bretons, des Corses, des Basques, des Occitans, des Catalans, des Flamands ou des Alsaciens-Mosellans. Quelle hypocrisie, quelle duplicité idéologique !

    Ils soutiennent tous en choeur le séparatisme ethno-linguistique au Québec (« vive le Québec libre ! ») et même le rattachisme Wallon (« la Wallonie manque à la France ! ») tout en condamnant avec véhémence ce même séparatisme lorsqu’il est Catalan, Corse ou Breton etc.

    M. Mélenchon s’oppose à la réunification de la Bretagne au nom de « la lutte contre les communautarismes », tout en appelant de ses voeux le rattachement de la Wallonie à la France page 118 de son dernier livre intitulé « Qu’ils s’en aillent tous ! », ...au nom de ce qu’il ’oublie’ complétement d’appeler le communautarisme panfrancophone et l’irrédentisme Grand-Gaulois !

    Cette duplicité idéologique est intolérable. La France doit d’abord donner elle-même l’exemple du respect de la pluralité linguistique sur son propre sol avant de l’exiger du Canada, de la Belgique, de la Suisse et de l’Italie en faveur des minorités régionales francophones qui s’y trouvent. Il faut un minimum de cohérence et d’honnêteté intellectuelle ! Les relations internationales sont basées sur la réciprocité, sinon c’est du chauvinisme et de l’impérialisme panfrancophone...



  • Steini 5 février 2014 14:28

    N’est-il pas honteux qu’en plein 21ème siècle, au soi-disant « Pays des Droits de l’Homme », les locuteurs Bretons, Corses, Basques ou Alsaciens en soient toujours encore réduits à devoir batailler bec et ongles pour le respect de leurs droits linguistiques les plus fondamentaux !!!
    « Une langue que l’on n’enseigne pas est une langue que l’on tue, tuer une langue est un crime » releva fort justement l’historien Jullian.
    Comme pratiquement tous les Alsaciens, j’ai subi une scolarité complète sans jamais y avoir rencontré une seule fois notre propre langue ostracisée et pourchassée jusque dans les cours de récréation.

    De la Maternelle à l’Université, de la salle de lecture à la cour de récréation, les jeunes doivent baigner dans un univers exclusivement francophone destiné à les couper définitivement de leur propre langue maternelle. Imaginez l’indignation de nos hypocrites jacobins s’il en était de même au Québec, en Wallonie ou en Romandie !

    En France, défendre ses droits linguistiques les plus fondamentaux est considéré comme une magnifique vertu lorsqu’il s’agit des ’Acadiens’, des Québécois, des Wallons, des Romands ou des Valdotins, et comme un horrible vice lorsqu’il s’agit des des Bretons, des Corses, des Basques, des Catalans, des Occitans, des Flamands, ou des Alsaciens-Mosellans. Ainsi va la morale au pays de l’impérialisme panfrancophone érigé en religion d’état. Aujourd’hui, toutes les langues régionales de France sont menacées d’éradication pure et simple par l’assimilation scolaire obligatoire des enfants. Ce qui n’empêche nullement le pays des belles déclarations de donner des leçons de savoir-vivre au monde entier, notamment sur la manière dont les Canadiens anglophones ont eux impérativement à respecter et à officialiser le « droit inaliénable » des dialectophones Québécois, - et même des patoisants Acadiens ! -, à une « société distincte du reste du Canada anglophone », basée sur le particularisme régional de « l’exception culturelle francophone » ! Lorsque la France n’y attise pas carrément le séparatisme ethno-linguistique : « Vive le Québec libre ! » La France tient un discours ici, et son coutraire là-bas, en fonction des lubies de l’impérialisme pan-francophone.



  • Steini 5 février 2014 14:21

    Le problème avec les ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) hostiles à la Charte Européenne des langues régionales, qu’ils soient de droite ou de gauche, ou plus exactement du Grand Orient de France (Guaino, Mélenchon etc), c’est qu’ils tiennent un discours totalitaire ici, au nom de diktats anti-démocratiques (cf : « la République est Une et indivisible », sinon quoi, la guillotine pour les récalcitrants ?) et son exact contraire là-bas (un discours émancipateur voire séparatiste en faveur des minorités régionales francophones à l’étranger), le tout en fonction des lubies du chauvinisme panfrancophone.

    A les entendre, imposer l’usage et l’hégémonie de la langue anglaise aux locuteurs Acadiens ou Québécois relèverait de « l’impérialisme Anglo-Saxon », tandis qu’imposer l’usage et l’hégémonie de la langue française aux locuteurs Bretons, Corses, Basques, Catalans, Occitans, Flamands ou Alsaciens-Mosellans relèverait de « l’intégration républicaine ». Dans le genre foutage de G... on fait difficilement pire !

    La « République » est honteusement dévoyée pour servir de faux-nez à l’impérialisme et au colonialisme pan-francophone.

    Curieusement, ces ultra-nationalistes jacobins (pléonasme) sont tous ultra-favorables à la co-officialité des langues régionales lorsqu’il s’agit de défendre les droits linguistiques spécifiques et collectifs des minorités régionales francophones à l’étranger (dialectophones Québécois, patoisants Acadiens, Wallons, Romands, Valdotains etc) et ils y sont hyper-hostiles lorsqu’il s’agit de s’opposer à ceux des Bretons, des Corses, des Basques, des Occitans, des Catalans, des Flamands ou des Alsaciens-Mosellans. Quelle hypocrisie, quelle duplicité idéologique !

    Ils soutiennent tous en choeur le séparatisme ethno-linguistique au Québec (« vive le Québec libre ! ») et même le rattachisme Wallon (« la Wallonie manque à la France ! ») tout en condamnant avec véhémence ce même séparatisme lorsqu’il est Catalan, Corse ou Breton etc.

    M. Mélenchon s’oppose à la réunification de la Bretagne au nom de « la lutte contre les communautarismes », tout en appelant de ses voeux le rattachement de la Wallonie à la France page 118 de son dernier livre intitulé « Qu’ils s’en aillent tous ! », ...au nom de ce qu’il ’oublie’ complétement d’appeler le communautarisme panfrancophone et l’irrédentisme Grand-Gaulois !

    Cette duplicité idéologique est intolérable. La France doit d’abord donner elle-même l’exemple du respect de la pluralité linguistique sur son propre sol avant de l’exiger du Canada, de la Belgique, de la Suisse et de l’Italie en faveur des minorités régionales francophones qui s’y trouvent. Il faut un minimum de cohérence et d’honnêteté intellectuelle ! Les relations internationales sont basées sur la réciprocité, sinon c’est du chauvinisme et de l’impérialisme panfrancophone...

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