vous dites : "Collectivement nous sommes des
ignares économiques" et aussi" Nous avons laissé une poignée de fossoyeurs choisir Hayek
contre Keynes "
ou Madelin
contre Giscard, ou Mr Hard contre Mr Soft, en simplifiant.
Eh bien, si vous le permettez, je ne résiste pas à apporter
une petite précision, vue sous l’angle de l’économie physique, c’est à
dire à mon sens la vraie face opposée à Keynes-Hayek.( et Malthus ?!! )
« L’économie physique, telle que le philosophe allemand
Wilhelm Gottfried Leibniz en posa le premier les principes entre 1671 et
1716, repose sur la distinction fondamentale entre l’homme et les autres
espèces vivantes : nous sommes seuls capables d’accroître notre
potentiel de densité démographique relatif - notre capacité de peuplement -
par des actes volontaires de découverte. »
Keynes le monétariste préconise une politique
économiquetrès compatible avec le
système oligarchique, dans laquelle la notion d’argent devient une fin en
soi, l’indicateur exclusif de bonne santé économique, au mépris de quelque
chose qui mesurerait notre, disons, bien être, et surtout celui de la
génération suivante. (équipement en infrastructures, long terme )
Chez Keynes, l’être humain – le rat humain - est là
comme par accident, faisant tourner l’argent en rond et soi disant l’économie
en même temps.
L’usure, l’acceptation de ce principe d’empire, est
naturel chez Keynes.
L’émission monétaire est confiée à la banque centrale, qui
parfois injecte des jetons dans ce système soit disant pour relancer
« l’économie », mais en réalité les bulles,énorme arnaque intellectuelle.
Que j’illustrerais comme ceci : cela consiste à jeter
du grain dans un poulailler où les volatiles sont soit gros coq,soit poussin, selon leur capacité à faire du
profit rapidement ou pas.
Les poussins représentent donc l’économie réelle aux
profits lents, et les coqs représentent ceux que seul le profit à court
terme intéresse :les banques d’affaires, hedge fund, le système de la
city, dont la vocation est l’oubli, voire la négation du principe de Leibniz
Bonjour l’équilibre au repas des volatiles, non ?
C’est quoi ces règles du jeu ?
C’est pourtant ce qui nous arrive depuis bien longtemps …
Par exemple, Keynes ne va jamais sauver l’Afrique !! Enfin,
p’tête que si ?!!! ah ? J’écoute !
Au contraire de la conception monétariste Bobo-Keynésienne, Hamilton
( vers 1800 ) a conçu un SYSTEME de CREDIT dont la vocation EST
l’application du principe de Leibniz.
C’est à dire un système voué à l’amélioration des conditions
de vie de TOUS et non un système aspirant l’argent là où le court terme
capture l’avenir.
L’état émet la monnaie, avec comme contre partie
systématique, une amélioration sous une forme ou une autre des infrastructures,
de ce qui permet de faire « mieux » avec « moins » quand
on repasse 30 ans plus tard. On ici est aux antipodes de Keynes.
Par exemple Hamilton a réuni toutes les dettes des états US.
Il a dit, il y a un gros tas de dettes, c’est pas grave, osons faire encore plus de dettes mais qui permettent de rembourser tellement plus vite. (amélioration des infrastructures etc )
Voilà le principe. Principe rarement mis en œuvre dans l’histoire... Principe inlassablement défendus par LaRouche et Cheminade
Lincoln, Roosevelt, et un peu Kennedy et de Gaule ont
appliqué ces principes. Voyez quelle était la conception de la richesse chez Roosevelt.
C’est à mon avis la tragédie de la crise actuelle, d’oublier
de poser le problème en ces termes : monétarisme ( QE3, QEn, QEi, argent de faux monnayeur, hyper-inflation
)
contre économie physique ( système de crédit, infrastructures, avenir )
- Ne soyez pas tristes disait un professeur de médecine, sur son lit de mort, à ses élèves venus lui rendre visite, ne soyez pas triste, je vous laisse avec les trois meilleurs médecins du monde ! - ??? - Ben oui : l’eau, la diète et le mouvement !
« C’était pas le sujet... » Peut être le problème se situe-t-il précisément là ? C’ EST, en quelque sorte, le sujet ! Sinon, beuglons tous ensemble « NON NON NON ! il le faut urgemment et nous aurons raison de le faire, mais après on fait quoi ? Chacun retourne à sa case départ ? Bon le temps gagné par un bras de fer contre le TSCG peut servir à cristalliser un vaste mouvement plus soudé autour d’un grand NIET. Parfait. Ensuite, avec leur système de Ponzi, dont les éléments toxiques atteignent sept, huit ou dix, dizaines de milliers de milliards d’€ et de $, et qui sont remontés comme par magie à la BCE, qui sont à l’origine d’idées géniales comme le TSCG, avec tout ça, on fait quoi ? On descend dans la rue dire NON toujours plus fort, on »gagne« et le problème est réglé ?
L’abrogation du Glass Steagall en 1999 aux USA a permis a l’argent de l’économie physique (le seul argent légitime et au service des peuples ) d’être mélangé et contaminé par ces avalanches d’argent casino, et les TSCG, MES, FESF ne sont que les conséquences, les ombres, les projections, les fruits, de ce processus. Dire NON à une ombre nocive, c’est très bien, remonter à ce qui la créer, c’est mieux.
»avant que 10% des gens comprennent le lien avec le TSCG" Cela peut être un problème, effectivement, mais : lien ou pas lien ??? N’est-ce pas la question CLEF de réaliser ce lien ? Avant, après le 30 septembre, comme vous voulez, mais ouvrir les yeux sur ce qui nous tombe dessus, et pourquoi !
La compréhension plus globale du processus nous amènera à apporter des réponses plus justes à bien d’autres occasions, et malheureusement Dieu sait s’il y en aura. S’attaquer à la source du phénomène conduira, n’en doutons pas, à résoudre de futurs problèmes, qui eux aussi ne seront que l’éternelle continuation logique de cette conception oligarchique de l’économie, dont les paradigmes impliquent la capitulation d’une idée grande de l’être humain.
Brrr, ça fait un peu dernière bataille avant de ratifier la dictature ce TSCG C’est évident, personne n’a envie de cette grosse merde, ce n’est pas ici qu’on le niera et ça fait très zizir. Bien ! Fort bien !
Et l’alternative ?
Elle existe, mais serait-ce un gros mot de l’évoquer ? Pardon, mais vue la place qui lui a été donnée ici !
Si rassembler autour d’un refus se fait naturellement ( NON au TSCG ), et légitimement, en revanche s’accorder autour d’un socle commun, un OUI à une certaine idée de l’avenir et de comment faire, sera beaucoup plus ardu.
Je pense même que les solutions proposées par les uns et les autres seront très indicatives sur qui est compatible avec quel camp
Parler TSCG, c’est évoquer « leur » solution à cette pyramide de Ponzi en faillite qu’est devenu le système bancaire, on est bien d’accord ? Les « briques » qui composent cette pyramide, on parle de 800 mille milliards de $, sont infectées par cette fameuse argent toxique, et une grosse capote bien étanche s’impose : scinder d’urgence les banques en deux, (Glass Steagall ) et laisser crever la partie casino si son bilan l’exige. C’est : soit on paie leur fausse monnaie, on paie, on paie et on crève, soit c’est eux, et le système monétariste qui va avec.
Ca fait quatre ans que CHEMINADE nous propose, que dis-je nous alerte au sujet de, cette alternative, hautement dangereuse pour Nozélites.
Alternative qui a fait ses preuves dans l’histoire : FD Roosevelt en 1933, a évité le fascisme aux USA, c’est du lourd. IL FAUT CONNAITRE la guerre que FD Roosevelt a mené contre le fascisme financier : Commission Pecora, Glass Steagall, et new deal s’inspirant du principe de système de crédit pensé par Hamilton. ( Càd en gros, le crédit, oui, mais au service de l’équipement de la génération suivante, pas aux mains des prédatrices et létales banques d’affaires )
Alternative délaissée, à la même époque, par l’Europe de Laval, Brünig, Hittler, on connait la suite.
NON au TSCG ! NON au TSCG ! Allez, reprenons ! Évidemment, NON ! Allons ! Mais soyons cohérents, et proposons « autre chose ». Autre chose, un vraiBretton Woods, çàd celui qu’on aurait vu si Roosevelt avait vécu 20 ans de plus, le temps de démanteler l’empire ... Vaste histoire, snif !
Réalisez-vous qu’avec un bon Glass Steagall, ben ... le TSCG n’a - mécaniquement - plus de raison d’être ?
Or n’est-ce pas ce qui préoccupe le lecteur de ce fil, qui jamais cette idée n’évoqua, grrrr !
« C’est pourtant facile d’assurer la santé gratuite pour tous. Il suffit d’empêcher les gens de tomber malade. »
Ah ah ah ah ah ah !
Même en se voulant bête, on peut dire des choses censées !
Effectivement, je pense que les maladies sont du pain béni pour le système ! N’a-t-il pour fâcheux paradigme de tout considérer comme un marché ??? ( Aaaah les merveilleuses p’tites bonbonnes d’O2 « fraîcheur des bois » vendues dans toutes les bonnes pharmacies en 2050 ^^ )
Une maladie est un marché, et il ne faut pas laisser le bétail supposer que les 3/4 de celles-ci pourraient être éradiquées, notamment par une meilleure hygiène alimentaire. Puissent ceux qui ne le pensent pas accepter d’entendre le discours de Montagnier.
Les connaissances millénaires des Yogi relatives à la santé ne sont pas bonnes pour un système monétariste keynésien, qui demande à ce que le pognon circule, circule, circule, et le plus vite possible, même si cette agitation n’apporte rien du point de vue de l’économie physique. Que le bétail humain bouffe plus sain, ce n’est pas ce qui les préoccupe, il se pourrait que ça empêche les gens de tomber malade, or, de ceci ils se moquent, et le marché des solutions pharmaceutiktik s’ouvre, s’ouvre, et c’est tout bénef. Ails et citrons, c’est p’être très efficace contre la crève ( si si souvenez-vous en, l’hiver arrive ! ) mais ça ne fait pas tourner l’économie ... keynésienne. En revanche, du point de vue de l’économie physique, donc vu par le prisme du principe de moindre action, il n’y a pas photo !
Cancer et nutrition, Obésité et hamburger, carences en vitamines et autres précieux nutriments dans les produits, très « aux normes », de l’alimentaire industriel : dans quelle façon de penser, au sein de quel système ces questions pourront-elles être envisagées plus haut, à leur racine ? Pas dans un empire ...Mais dans une entité qui pense le « je » comme un « nous » et inversement
Une fois de plus, lorsqu’on accepte les paradigmes de l’ ECONOMIE PHYSIQUE, « tout » peut prendre un nouvel équilibre : L’économie physique - physique ? Y’en a d’autres ?? Ah bon ?!! - c’est ça, pour Leibniz :
« l’économie vise à l’amélioration du potentiel de densité démographique relative » Point barre ! Le reste est disons pollution, sophisme, égarement.
L’argent, dans cette conception, n’est qu’un moyen de permettre cette capacité toujours plus grande à accueillir les générations suivantes dans de meilleures conditions, et ne saurait d’aucune manière être le but en soi,contrairement aux fondements de l’école Keynésienne, de ce fait intrinsèquement fasciste. ( eh oui ! )
« Le principe de moindre action », dont le « papa spirituel » est encore ce bon Leibniz, peut alors redevenir LE critère opérationnel, en toute chose ( Par exemple, pour le déplacement de la masse, 7 milliards d’âmes incarnées ça bouge et implique des choses, eh bien au nom de ce principe, on privilégie la glisse, donc l’eau ET le coussin d’air ou la lévitation magnétique, car c’est ainsi que ça « frotte » le moins, mais pardon je m’égare )
Vu comme ça, on admettra que trouver des solutions pour essayer de moins « empoisonner » la populace par le biais de la nourriture industrielle est une question que suscite ce « principe de moindre action », et que ne suscitera jamais ce système de pyramide de Ponzi Keynésien actuel. On peut faire de la politique ou parler de ceci cela, mais au sein de quelle matrice de pensée ?
Ce qui pourrait alors enfin tomber au rang des évidences, voire prendre la priorité sur la pseudo piste de l’industrie pharmaceutique, ne pourra, encore une fois, jamais être conçu dans un système monétariste, qui par nature sacrifie le long terme pour une « illusion immédiate ».