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Thierry LEITZ

42 ans, travailleur indépendant épris de liberté, s’intéresse à tout mais n’est fan de personne en particulier. Aime la lecture, l’écriture, le sports, l’économie à visage humain, la nature. Pense qu’il faut savoir critiquer les faits et pensées deshumanisantes, ne pas avaliser l’injustice au prétexte qu’elle abonde.

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  • Thierry LEITZ 2 avril 2010 14:19

    Eric,

    Vous avez le mérite de soulever le problème d’une alternative à un système qui secrète sa propre fin. Le système écofinancier mondialisé qu’on peut remplacer par « capitalisme »
    dans votre article arrive à son apogée, et donc à son déclin.

    En effet la croissance ne peut être « sans fin ». Pour croître, il faut partir de bas et s’élever. Les pays occidentaux sont déjà « en-haut » (avec des inégalités certes), les pays émergeants voient leurs coûts augmenter, les plus pauvres sont seulement exploités, tant qu’ils le permettent via la corruption d’Etat et/ou la tyrannie.

    Le noeud du problème est plus dans la répartition des richesses produites (la VA) que sa seule évolution (la croissance). Avec plus d’égalité, il peut y avoir un progrès social de nature à garantir une niveau de développement satisfaisant pour tous.

    Comme votre conclusion est pertinente, je le cite ici :

    « La transition vers une société post-capitaliste, sans croissance mais centrée sur la satisfaction des besoins humains, le temps libre et la reproduction écologique est à bien des égards souhaitable. Elle nécessite cependant l’émergence d’une coalition sociale et politique capable d’imposer une réduction drastique des inégalités et de remettre au coeur des activités économiques la production et la gestion des biens communs. »

    C’est pas gagné, mais merci pour cet article. smiley



  • Thierry LEITZ 2 avril 2010 13:50

    Bernard,

    En effet, un peu de tolérance ne ferait pas de mal. A force de vouloir se faire entendre pour que tous sachent qu’on a raison, on en tombe dans un dogmatisme qui exclut.

    Le GIEC vorifère, Allègre vocifère, les pronucléaires vomissent sur les antinucléaires pendant que les politiques jouent à qui sera plus vert que Hulot...

    Le tout sur des sujets mal maîtrisés relatifs à des dimensions et des durées qui excèdent nos expériences. A priori chaque opinion doit être entendue paisiblement.

    Tolérance, pluralisme et modestie.

    Les dogmatiques catho du moyen-âge disaient aux combattants croisés : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens. » Sans commentaire.

    La raison nous dommanderait plutôt ceci : « Laissez-les tous, Dieu reconnaitra les siens », les athées n’ayant rien d’autre à craindre que de devenir à leur tour intolérants envers ceux qu’ils excluent du cercle de la raison pour « délit de croyance »... smiley

    Voltaire combattait le fanatisme par les idées, la tolérance et le respect de l’homme. Il serait surpris de notre époque où les progrès en connaissances n’ont pas leur reflet dans les comportements...



  • Thierry LEITZ 26 mars 2010 11:02

    La finansphère est face à un problème : la politique qu’elle aime, les français en souffrent et n’en veulent plus. NS qui l’incarne a perdu sa popularité (pour être élu). Alors quel nouveau champion pour faire « peuple » et en même temps défendre les intérêts de la finansphère ?

    DDV, plus populaire, de droite, classe et bel esprit peut se faire aimer, maintenant que l’autre est bas... Il donnera des gages à la finansphère et saura endormir le bon peuple par des discours vibrants d’émotion et de justesse.

    Affaire à suivre. Mais je reste dubitatif sur sa vraie volonté réformatrice tournée vers le bien de tous... Même si un aristo qui aime le peuple (DDV) vaut mieux que l’inverse(NS), on doit pouvoir faire encore mieux... en démocratie ! smiley



  • Thierry LEITZ 26 mars 2010 10:44

    Qui remettra en cause l’infâme gaspillage dans la « défense » qui est la caractéristique des pays mal gérés, avec comme champions du monde les E-U et à un niveau très moindre la Grèce qui claque des sommes indécentes dans les joujoux guerriers depuis des lustres...

    Qui va se colleter les lobbies de l’armement, Dassault en tête ? Qui va oser dire que 40 milliards d’euros par an pour une guerre autant improbable que perdue d’avance -si le Courage n’habite pas chaque citoyen- c’est honteux, et c’est ce qui nous a plongé depuis 1960 dans la faillite économique effacée à coups d’émissions de dette au profit des rentiers ?

    Notre rang mondial ? Quelle foutaise ! Qui se préoccuppe du rang, à part les chefs d’Etats dont la vie ne ressemble en rien à la notre et qui confondent EGO et intérêt public ?

    Je ne suis pas près de renoncer à l’abstention. Car, ce qui est souhaitable, l’impôt progressif, efficace et BIEN employé, cela n’est pas près d’être réalisé. Y compris par DDV, même s’il a parlé juste à l’ONU en 2003 quand NS aurait suivi GWB comme une groupie... De plus, son beau discours n’a pas servi face à l’obstination des E-U, alors, la tribune de l’ONU, on s’en passe. Si c’est juste une occasion de passer aux TV du monde, RAS, les 180 pays qui ne sont pas au « conseil de sécurité » sont-ils les plus malheureux du monde ? Rêvent-ils d’en être ? Bidonnage, enfumage, c’est à pleurer ! smiley



  • Thierry LEITZ 24 mars 2010 11:28

    Cher Bernard,

    (En passant, « Obama brigand un second mandat »... briguant, plutôt, non ?)

    En effet, l’élection France 2012 pèse peu en regard des enjeux mondiaux avec 3 géants géographiques, démographique ou économiques, et nous, loin derrière objectivement, même si nos quelques sous-marins nous donnent l’illusion de la puissance (çà coûte un bras, d’ailleurs). Une confrontation ne ferait que des perdants, et nous en premier du fait même de l’illusion. smiley
     
    Car nous n’avons pas les moyens d’engager de grandes opérations sur « théatres extérieurs », (déjà que c’est idiot, vu l’ex. des E-U) et quant à l’arme nucléaire, s’il faut y venir, les derniers français seront sous-mariniers, ou dans les TOM. Pas glorieux.

    Avec toutes ses guerres, Louis XIV a surtout ruiné son royaume en concentrant la grandeur sur sa (petite) personne.

    Sous Louis XV, la France a rayonné dans le monde grâce aux Lumières et leurs idées généreuses, par l’esprit, non la force.

    Si l’avenir se réduit à la confrontation des nations et au rapport de force, inutile d’annoncer la fin du monde : nous y sommes. smiley

    Le reste n’est que détails.

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