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Thomas Guénolé

Thomas Guénolé

Né le 13 septembre 1982.
Vit à Paris et a grandi à Nice.
Diplômé de Sciences Po Paris, promotion 2005.
Diplômé d’EM Lyon, promotion 2008. 

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 04/05/2007
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  Le fichier Edvige écrit à Bayrou

Le fichier Edvige écrit à Bayrou

1541 visites 27 sep. 2008 | 0 réaction | Thomas Guénolé  







Derniers commentaires



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 19 août 2007 14:44

    Chère Ingrid,

    Lorsque vous écrivez ceci :

    << Pardon, cher « Diplômé de Sciences Po Paris, promotion 2005. Militant de l’ex-UDF et futur Parti Démocrate, etc... » mais vous semblez être de ceux qui croient que ce qu’on apprend à Sciences Po est quelque chose de très profond parce que des « sommités » de la pensée unique y enseignent et parce que son directeur est invité au cercle de Bliderberg. >>

    vous êtes dans la méchanceté gratuite, le préjugé et le mépris, alors que je n’ai pas souvenir de m’être montré impoli, condescendant ou même simplement désagréable au fil de cette discussion.

    Je trouve donc dommage que dans une discussion caractérisée par la diversité des opinions et la courtoisie des échanges, vous basculiez inutilement dans l’invective.



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 19 août 2007 12:16

    Je partage votre analyse sur le fait qu’alimenter la croissance par le surendettement des ménages est une connerie, vu que cela provoque inéluctablement un retour de bâton, une « correction », qui annule l’augmentation artificielle des ressources ainsi obtenue.

    Cela étant, plus que le surendettement, je crois que le problème fondamental du système financier est ceci : le retour sur investissement moyen obtenu par les entreprises côtées en bourse est de 5%, alors que les investisseurs boursiers exigent systématiquement un retour sur investissement de 15%. L’écart entre ces deux données provoque donc logiquement soit l’asphyxie des entreprises côtées qui n’arrivent pas à suivre, soit des phénomènes de hausse purement spéculative qui provoquent en retour des « corrections » brutales.



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 19 août 2007 12:08

    Dans un premier temps j’ai préféré ne pas systématiquement répondre aux commentaires qui s’éloignent carrément du sujet de cet article. Mais il y a un moment où il faut quand même recentrer la discussion.

    Je n’ai rien contre les intervenants qui prophétisent l’écroulement du capitalisme financier : dès lors qu’elles sont argumentées, leurs opinions sont par définition respectables.

    Cela étant, un certain nombre d’intervenants multiplient les commentaires pour faire un lien entre la crise financière actuelle, qui est passagère, et des catastrophes de l’envergure du krach de 1929, ou encore pour mélanger cette crise avec la guerre en Irak ou les attentats du 11-septembre, ou encore pour assimiler le fait de ne pas partager leur opinion à de l’intoxication par un grand complot médiatique.

    Je voudrais donc simplement leur signaler trois choses :

    - il y a une différence fondamentale entre souhaiter l’écroulement du capitalisme financier parce qu’on en désapprouve les fondements, et démontrer qu’effectivement la crise actuelle est le début d’un écroulement ; or à ce jour, aucun des éléments de la crise financière actuelle ne permet de pronostiquer objectivement un « krach » de grande ampleur ;
    - intellectuellement, on ne peut mélanger deux choses qui n’ont rien à voir (par exemple la crise financière actuelle et la guerre en Irak) que si l’on démontre logiquement qu’il y a un lien entre ces deux choses ;
    - il est parfaitement possible d’être en profond désaccord avec les intervenants qui pronostiquent l’écroulement du capitalisme financier, sans être pour autant un intoxiqué par telle ou telle propagande ou un suppôt de Satan. smiley



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 18 août 2007 15:38

    Réponse point par point :

    - Si les ménages du premier domino ne remboursent pas à long terme et à faible intérêt, c’est parce que les établissements de crédit qui leur ont fait leur prêt ne leur en donnent pas la possibilité. Du point de vue d’un établissement de crédit, quand de trop nombreux ménages ne peuvent finalement pas rembourser, mieux vaut en effet encaisser une partie des pertes et saisir tout de suite ce qui peut être saisi chez les ménages, plutôt que de prendre le risque de modifier les termes du prêt en cours de route.

    - Si les ménages du second premier domino n’utilisent pas une autre « caution » que leur bien immobilier, a priori c’est simplement parce qu’ils n’ont rien d’autre qui puisse servir de « caution. »

    - Si les banques centrales n’interviennent pas dès le 5e domino, c’est parce que par définition l’intervention des banques centrales est dans le système financier le dernier recours. Il faut vraiment qu’elles ne puissent pas faire autrement pour qu’elles se décident à intervenir, sans quoi elles passeraient leur temps à intervenir au moindre coup dur en Bourse, ce qui annulerait rapidement l’impact de leurs interventions parce qu’il serait trop fréquent.



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 18 août 2007 15:31

    Non, a priori à l’époque il s’agissait juste pour le gouvernement Clinton de réussir à boucler son budget. smiley

    De manière générale, plus l’explication avancée se rapproche d’une manoeuvre des méchants contre les gentils, plus on s’éloigne de l’explication nécessaire et suffisante, qui est rationnellement la meilleure.

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