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Thomas

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Médecin hospitalier, la quarantaine. Intéressé par la géopolitique, la prévention santé et le développement durable, pionnier de la transparence et de la liberté d’expression, adversaire déclaré des DRM et des systèmes liberticides en général.

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  • Premier article le 02/03/2007
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Derniers commentaires



  • Thomas Thomas 23 août 2007 12:34

    Le critère « ça marche » aurait gagné à être approfondi. Le plus important en effet, ce n’est pas de savoir qui on est ou ce que l’on pense être (un site à succès par exemple) mais qui nous reconnaît comme tel (à l’échelle d’AV, ça vaut aussi pour les auteurs).

    En l’occurrence, le fait que nombre d’articles d’AV sont repris sur Yahoo et référencés dans Google news est un signe fort.

    Ensuite, il serait intéressant de se procurer les statistiques de consultation (nombre de visiteurs uniques, ...) et de les mettre en perspectives avec d’autres sites d’information. Le hic, c’est que rares sont les sites qui publient ces données.

    Enfin, si AV ne draine pas de critique, il serait important de savoir s’il suscite des louanges. Parce que l’absence de critique extérieure peut être un indice d’indifférence. Comme disait je crois Mark Twain, la seule chose pire que faire parler de soi en mal, c’est n’en pas faire parler du tout.

    Ne cédons pas à l’autocongratulation, attendons plutôt qu’on parle de nous.



  • Thomas Thomas 21 août 2007 16:07

    Article intéressant même si vous mélangez allègrement l’eau source de vie et l’eau source d’énergie, l’arme que constitue la privation d’eau et celle de l’inondation.

    Bien avant 2050 et la barre des 1E10 habitants, le réchauffement climatique risque fort d’aggraver ces conflits et en faire naître d’autres, certains pays se voyant privés d’eau et contraints d’obtenir de nouvelles sources (de gré ou de force), certaines populations se voyant contraintes à l’exode par millions.

    Par exemple, la disparition programmée du lac Tchad qui approvisionne 20 millions d’habitants répartis dans 4 pays) risque de déplacer les populations qui vivent autour et déstabiliser grandement la région. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

    En outre, la pression exercée par les populations qui meurent de soif sera beaucoup plus intense que celle des populations qui ne sont « que » économiquement déshéritées.



  • Thomas Thomas 17 août 2007 11:11

    @candidat007

    > on sait bien que l’on a toujours quelque chose à se reprocher

    Ah bon ? Personnellement, je ne vois pas quoi. Et si la maréchaussée tente de m’interpeller, je trouverai sans doute plus simple et plus logique d’obtempérer que de m’enfuir. Dans mon cas, il s’agira forcément d’une broutille ou d’une erreur.

    Est-ce que vous prenez la fuite quand vous voyez des contrôleurs dans le métro alors que vous avez un titre de transport valable en poche ? Vous montrez votre ticket et l’affaire est entendue en moins de 5 secondes.

    Quant à notre taux d’agents de sécurité, je serais fort intéressé par les chiffres européens auxquels vous faites référence.

    L’usage disproportionné de la force (ou plus précisément du nombre) peut aussi avoir un effet dissuasif dans certaines situations. Autant un déliquant peut être tenté de faire feu sur une poignée de policiers, autant face à une quinzaine, il est plus sage de baisser les armes d’emblée.

    Enfin, l’exemple du Royaume-Uni tient de l’exception puisqu’il n’a, à ma connaissance, fait d’émules qu’en Nouvelle-Zélande. C’est une curiosité folklorique (qui en dit long toutefois sur la mentalité des habitants) car 99% des pays du monde ont une police armée.



  • Thomas Thomas 17 août 2007 01:10

    > Réduire toutes les responsabilités aux responsabilités individuelles, c’est une vision sociale vraiment réductrice.

    En même temps, comment peut-on transférer de la responsabilité au collectif sans la retirer à l’individu ? Que le « chacun sa merde » soit une vision réductrice, je n’en doute pas, mais le curseur n’est-il pas actuellement poussé un peu loin vers la responsabilité collective ? Qui plus est, n’est-il pas encore en train de se déplacer ?

    La responsabilité individuelle exclusive serait pénible à vivre mais la responsabilité collective exclusive serait tout bonnement invivable puisqu’on pourrait tuer son prochain en rejetant la faute sur la société (je n’envisage ces cas triviaux que pour illustrer le propos).



  • Thomas Thomas 16 août 2007 23:44

    Article très bien construit (pourrait être plus aéré). À défaut d’être à proprement parler instructif (nous avons tous de tels faits divers en tête), il illustre bien une tendance profonde de notre société.

    D’une part, ceux qui vivent depuis longtemps en France n’échappent pas à notre culture judéo-chrétienne qui nous a pétris de culpabilité. Voilà pour les prédispositions. Les générations plus fraîchement établies y sont sans doute moins sensibles.

    Ensuite, il y a cette tendance arrivée tout droit des USA qui veut que face à chaque évènement fâcheux, on recherche immédiatement et activement à en attribuer la responsabilité à autrui, sur le principe que la victime ne peut jamais être victime de son propre fait. Partant de ce postulat obtus, tout devient possible et si la responsabilité de la victime ne peut être invoquée, il ne reste plus que celle de ceux qui étaient présents, témoins, acteurs, voire, en leur absence, ceux qui auraient fréquenté la scène auparavant et auraient omis de prendre des mesures préventives, ...

    Ce schéma de pensée est vicieux car il incite à prendre tous les risques quand on sait avec certitude que l’on est en dehors de la loi, et à n’en prendre aucun lorsqu’on sait également avec certitude que l’on a le droit avec soi !

    Louis Pauwels avait parlé en 1986 du « SIDA mental » pour signifier la perte des défenses immunitaires intellectuelles, pour qualifier les manifestants lycéens. La formule m’a toujours semblé excessive et déplacée. En revanche, elle illustre à merveille l’état d’esprit qui règne aujourd’hui.

    Toutefois, il y a au moins un fait divers en 2002 qui constitue un contre-exemple : Bayrou collant une claque à un gamin qui lui faisait les poches. Car enfin, son statut social ne constituait-il pas une provocation délibérée à l’endroit d’une population défavorisée ? Cette poche non fermée n’indiquait-elle pas une volonté délibérée de corrompre l’esprit fragile d’un enfant ? Cette gifle n’était-elle pas une réaction démesurée susceptible d’enclencher un cycle de violence ? smiley

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