Debout sur deux destriers
Sciences dures et Humanités
Maintenant le grand écart
En avançant sans radar
Fait l'acteur dans des pièces montées par Damien Fontaine et Juliane Stern, dans des cathédrales et églises, St Jean à Lyon, St Sulpice à Paris, ou à Toulouse Bordeaux Nancy Metz.
Finies les petites bricoles à la Morano, les Lagarde
« Qu´est-ce qu´il fait, qu´est-ce qu´il a, qui c´est celui-là ?
Complètement toqué, ce mec-là, complètement gaga Il a une drôle de tête ce type-là Qu´est-ce qu´il fait, qu´est-ce qu´il a ? »
les Morin « le président à 0% ».
Le jeu est complètement relancé, les cartes redistribuées.
Derrière des rodomontades, les partisans de S cachent mal leur panique. Et les medias sont privés de l’interminable feuilleton, S le retour 1, S le retour 2, S le retour 3. Avec la douzaine d’épées de Damoclès qui planent au dessus de lui, risque pas d’émerger avant longtemps, les C Buisson sont toujours dans la nature.
Tout les plans sont chamboulés.
Avec l’alliance centriste, Bayrou, Arthuis, voilà une place forte qu’il sera difficile de déloger.
Dsl cet article est tellement tendancieux que n’ai pas lu les 7 précédents. Au contact direct avec des Ukrainiens travaillant en France, on a une vision quelque peu et même très différente.On peut supposer qu’il a été évoqué le premier ministre précédent, V. Ianoukovytch.Sa biographie est édifiante. études par correspondance, tout le temps dans la rue, fait de la prison pour vols et bagarres, un vrai modèle pour un futur démocrate. Et cette mentalité minable de petit bourgeois arrivé et très enrichi, la même que celle de Pablo Escobar le narco trafiquant, avec cet amour immodéré des bêtes au point de leur faire un lieu d’accueil dans sa propriété murée, à l’abri des regards.Son équipe était du même tonneau, son premier ministre a été le premier à fuir préventivement, avant la destitution. Les Ukrainiens les traitaient de criminels.
Dans les pays de l’Est la validation des élections est uniquement une mesure technique, nullement une garantie de démocratie.Il y aurait énormément à dire sur la confrontation Obama//Poutine.
Il y a lieu de considérer les administrations respectives, et leurs options passées. Obama est le contraire d’un va-t-en-guerre.
« Comment accorder crédit à une nation qui a envahi un pays, l’Irak, sous un faux prétexte, la présence d’armes de destruction massive, qui faussement en accuse un autre, la Syrie, d’utiliser des armes chimiques, qui en détruit un troisième, ... »
C’est l’héritage considérable de la période Bush, qui n’a jamais pris une décision par lui-même, l’entourage idéologique neo cons se substituant à lui, surtout à partir du 11 sept 2001 qui a marqué une rupture fondamentale.
« la Libye, après s’être accommodé de son dirigeant pendant des décennies, et qui organise un coup d’état dans un quatrième, l’Ukraine. »
La Libye et son dirigeant invité à Paris, c’est Sarkozy.
La position marquée sur l’Ukraine mettant en cause ad hominem le dirigeant russe date du crash du MY17 c’est donc tout récent.
« Le crash de l’avion de Malaysia Airlines en Ukraine pourrait s’assimiler à »un crime de guerre« , selon la commissaire de l’ONU pour les droits de l’homme, Navi Pillay. »