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wieeinstlilimarleen

Qui suis-je ? Pour faire simple et court, je suis qu’un Français parmi tant d’autres qui aime sa Nation en tant que poursuite de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Liberté, Égalité, Fraternité, voici une devise qui me sied. Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, voilà un principe qui me plaît. Je suis par conséquent hostile à tout ce qui ôte le cratos des mains du demos, à tout ce qui déconstitue le demos.

Tableau de bord

  • Premier article le 22/05/2006
  • Modérateur depuis le 26/06/2006
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Derniers commentaires



  • wieeinstlilimarleen 31 août 2007 16:34

    Je ne crois pas que l’ensemble des gendarme veuille perdre son statut militaire ni que l’ensemble des policiers veuille que son statut se rapproche ne serait-ce qu’un peu de celui du militaire.

    Si la mise en commun des outils me parait des plus nécessaires, la fusion des deux institutions me parait personnellement inutile et néfaste. Une institution fonctionne aussi par l’adhésion spirituelle de ses fonctionnaires. Quant à la mise en commun des outils, elle est en marche (commandes d’armement, fichiers, logiciels de procédures).



  • wieeinstlilimarleen 31 août 2007 16:31

    Concernant les adjoints de sécurité (ADS), il s’agit en effet de sortes d’emploi-jeunes, ce ne sont pas des fonctionnaires de police mais des auxiliaires de police, APJA comme les policiers municipaux. Néanmoins, le règlement proscrit qu’un équipage de la police nationale ne soit constitué que d’ADS, ou qu’ils soient chefs de bords.

    En ce sens, la qualité de leur formation est secondaire par rapport à celle des policiers municipaux, vu qu’ils ne peuvent, par statut, être appelés à diriger des interventions.

    « ne vous plaignez pas si vous avez un besoin urgent de la police et qu’elle met 45 minutes à arriver et si les voyous profitent de ne pas voir la police . Manifestement la Nationale ne suffit pas à assurer une présence sur le terrain et ses missions premières sont bel et bien la police judiciaire, le maintien de l’ordre et le renseignement. Ce qu’elle fait très bien d’ailleurs et qui n’est pas la vocation de la PM qui est d’arpenter le bitume. »

    Il faut néanmoins signaler que si la police nationale n’a plus les moyens d’être présente, c’est aussi parce que les investissements fait dans les police municipales ne sont pas sans contrepartie. Dire que la police municipale est nécessaire alors que la baisse de la présence de la nationale découle du développement de la municipale est un raisonnement quelque peu délicat. Aussi, la lutte contre la délinquance est à ce jour une mission normalement propre à la police nationale. Personne n’a pour le moment suggérer que les BAC soient attribuées à la police municipale. De même, la mission de police secours (réponse aux appels 17) reste la prérogative de la police nationale. La direction la plus importante en nombre de la police nationale est la direction de la sécurité publique, pas celle des RG/DST, ni celle de la PJ, ni celle des CRS.



  • wieeinstlilimarleen 31 août 2007 16:15

    Vous écrivez que « Lorsque l’on sait que le rôle d’un APJA 21 est de rendre compte de tout crime, délit ou contravention et d’assister dans lexercice de leurs fonctions les Officiers de Police Judiciaires, les PM ont au contraire toute latitude pour relever l’ensemble des infractions à la loi pénale voire de participer à des actes d’enquètes comme des perquisitions en étant réquisitioné par l’Officier de Police Judiciaire. »

    Pour être plus précis, les APJA ne peuvent rédiger de procès verbal, sauf concernant les contraventions au code de la route prévues par la loi. De fait, ils ne peuvent « relever » toutes infractions. Même s’ils peuvent offrir des renseignements, tout comme un simple citoyen.

    Aussi, s’ils peuvent être requis par un OPJ pour réaliser un acte d’enquête, aucun acte d’OPJ ne peut être délégué à un APJA -pas même le contrôle d’identité-, en ce sens, la présence d’un APJA lors d’une perquisition est juridiquement dépourvue de tout intérêt.



  • wieeinstlilimarleen 22 août 2007 15:56

    « qui sait » dites-vous.

    On peut en effet spéculer à tout va. Vouloir traiter le problème de la pédocriminalité signifie, peut-être, vouloir in fine pendre les voleurs de poules.

    Et si on restait sérieux et que l’on jugeait et évaluait le palpable, le concret ?



  • wieeinstlilimarleen 20 août 2007 15:17

    Voir l’histoire comme un grand cheminement vers le progrès est une approche historiographique commode. Reste encore à démontrer qu’aujourd’hui est forcément mieux qu’hier et moins pire que demain.

    Vous parlez de justice civile : il n’en est pas question ici, nous parlons de justice pénale. Quant à dire que la prison était privilégiée aux chatiments corporels, que dire sinon qu’une telle proposition ne nous permettrait guère de comprendre le sens de la rédaction du traité des Délits et des peines de Cesare Beccaria, plaidoyer pour l’enfermement au dépend des châtiments corporels.

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