« Vanité des vanités, dit L'Ecclésiaste, Tout est vanité. »
« Discussion : n, A method of confirming others in their errors »(Ambrose Bierce)
« Meuh »(La vache qui rit, dans son discours de Potsdam, 1974)
On m'a donné le choix entre le suicide et l'inscription sur ce site. J'ai choisi la première option, mais le pistolet s'est enrayé.
Non, vous vous contentez de le penser. Vous croyez que j’ai oublié le nombre de message que vous avez fait effacer ? Ou vos chouineries incessantes pour qu’Agoravox vous accorde le droit de replier les messages.
Que vous ne disiez pas une telle chose, c’est parfaitement en ligne avec votre hypocrisie de petit être mesquin renfermé dans de sempiternelles récriminations anglophobes.
Doubler un film, c’est détruire le travail qu’un acteur, un scénariste et/ou un dialoguiste ont fourni pour ce film en remplaçant une partie de ce travail par un travail de plus mauvaise facture, généralement fourni par de mauvais acteurs et des traducteurs et dialoguistes qui doivent jongler avec les contraintes temporelles et rythmiques de deux langues souvent très différentes.
Le sous-titrage est toujours préférable au doublage parce que même si les sous-titres ne restituent jamais l’impact original d’un film, ils lui retirent moins. C’est ça qui fait la supériorité du sous-titre : ne rien retirer au matériel d’origine.
Bon, on m’objectera que ça enlève une petite partie de l’image, mais franchement, ça fait moins de ravages que le charcutage auquel on soumet les film pour les passer en 16/9.
Je ne dis pas qu’il faut interdire le doublage, au fond, peu m’importe que ça existe, tant qu’on ne me l’impose pas. En revanche, qu’il soit dit que le doublage est un signe indubitable de mauvais goût, de paresse intellectuelle et de chauvinisme.