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Je ne saisis toujours pas pourquoi les instances du football ne donnent aucune sanction contre ces actes. Que ce soit pour une agression verbale ou physique, dès l’instant ou l’agression est commise le match devrait être purement et simplement annulé. L’équipe déclarée perdante et la contraindre a jouer plusieurs de ses matchs a huis clos a domicile, et sans supporter a l’extérieur. Si les pseudos supporters ne savent pas s’autodiscipliné c’est a leur équipe d’en subir les conséquences puisque l’on ne peu pas s’en prendre a eux.
Mais evidemment il y a des interets commerciaux colossaux derrière tout ça et ces interets passent avant le respect d’autrui. Le sport passe avant les valeurs du sport. Inutile de se demander pourquoi ce genre de chose arrive si on ne fait rien pour qu’elle ne se reproduise plus. Quand c’est sous l’ère Jospin/Chirac c’est un scandale, sous l’ère Sarkozy on a rien vu.
@ Christophe
Tout d’abord, sachez que j’apprécie cette discution, mais je vous demande une chose. Ce n’est pas parce que je tente d’expliquer le pourquoi de certaines choses que je le pratique ! Parfois même je tends à essayer d’expliquer ce que je me refuserai de faire ; cela consiste à essayer de comprendre comment et pourquoi des êtres humains peuvent se comporter au regard des faits constatés ; c’est aussi admettre la diversité du monde, que ce que chacun pense individuellement ne peut être pris comme vérité absolue et que chacun se forge autant par lui-même que par les autres. Dans votre propos précédent, vous parliez d’ethnocentrie, mais il faut tout autant dénoncer l’égocentrie ; l’égo n’étant qu’une ethno atomique !
De même comme pour Johan, j’apprécie la discussion avec des personnes qui prennent le temps de lire vos argument et d’émettre leur avis même si il s’en en désacord, pour moi cela fait parti du processus nécéssaire a la construction d’un compromis social autour d’un sujet ne pouvant donner lieu a un argument faisant autorité sur toutes les autres car non porteur en soi d’une vérité absolue. Donc je me garde bien de l’egocentrie en manière de jugement personnel, même si l’émission d’avis trancher peut paraitre dire le contraire. Ce n’est pas le cas et je relativise mon propos et ma pensée, sinon je ne prendrai aucunement la peine de discuter. Et je me contenterais d’un bande d’idiot si vous êtes pas d’accord avec moi. Ou l’ennemi est bête il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui, et dans ma logique toute relative de construction par la proposition de scenarii alternatif, je dénonce la pertinence des confrontations stérile de ce type. Quand a votre positionnement empatique, j’avoue être quelque peu impressionner. C’est vraiment une démarche difficile et qui nécéssite une grande souplesse et ouverture morale, plasticité intelectuelle que je n’ai semble t-il pas. Ca me fait penser a Terence, esclave affranchi par son talent et son éducation on peu dire, qui dit « Rien de ce qui est humain ne m’est étranger »
Il faut tout autant se méfier des mots et de la pondération en terme sémantique des nuances que nous tentons d’insérer dans le discours.
J’en conviens jusqu’a un certain point pour ce qui est du discours, car dans un contexte de dialogue et d’analyse socio sémantique sous un regard pluridisiplinaire cette pondération sémantique est vite mise a nue, pas nécessairement prise a défaut pour autant.
Wywy semble ommettre que dans le texte, il existe justement des pondérateurs et semble bien basculer, à partir d’un terme pris isolément, vers son contraire. Le manque de courage n’est pas de la lâcheté, comme les termes même si précédent l’être et l’avoir devrait laisser penser qu’entre l’être et l’avoir, il existe un nombre quasiment infini de pondération de l’un et de l’autre. C’est peut-être là que nous divergeons.
Certes, le pondérateur dans le cas de la lacheté a su mettre a défaut la vaine tentative, dont je me servais a dessein, mais le pondérateur notera qu’une parnethèse du locuteur pondère elle même plus bas son propos(C’est une fin en queue de poisson, je sais que vous ne me pensez ni lache ni servile). Inutile donc de concentrer le dit propos a cet endroit et de l’y réduire. Quand a l’être et l’avoir mon propos consiste justement a dire que la pondération de l’un sur l’autre est nécéssaire, indispensable, dans une forme de dialectique autre que verbale. Donc si vous êtes en accord sur ce point, nous pouvons admettre qu’il n’y a pas lieu de divergence a avoir sur cet avis. De même que d’être d’avis divergent sur ce point n’est pas une contrainte au discours. Voilà ce que l’on peut qualifier nommément d’auto-pondération sémantique.
Mais tout à fait, mourir de faim n’est en aucas cas une liberté ; d’ailleurs la misère restreint la liberté. Et c’est sans aucun doute l’un des points sur lesquels ceux qui le décident peuvent se battre, car la liberté individuelle n’a de sens qu’au regard de la liberté des autres ; puisque la liberté n’a de sens que dans une société, sans société, c’est la liberté absolue !
Nous voilà semble t-il en accord sur un second point. Je m’en réjouis.
Tout est question d’équilibre, et chacun définit ce qui lui convient en la matière. Mais être n’est pas uniquement une question spirituelle, elle est aussi vue par le biais du lien entre le monde de la pensée et celui de l’action.
Ah voyez nous sommes en accord, qu’elle autre lien plus naturel entre l’homme qui pense son action que l’avoir. Sans ce dernier peu d’action possible, inutile de penser être aviateur si l’on a pas l’outil, et les compétences techniques pour l’être. A moins de lescréer soi même. Je ne favorise pas l’avoir dans ce cas, il m’est juste indispensable pour mettre mon désir d’être en accord avec la réalité de mon être. Etre humain ne peut se constituer sans l’avoir, c’est ainsi une loi naturel fondamentale, inutile d’espérer être si l’on a pas de quoi se nourir. Comme vous le dites et que je disais précédemment tout est une question d’équilibre entre les deux nécéssités. Et chacun évalue son propre équilibre sur ses terres, la se crée les tensions, car chacun est en droit d’obtenir l’avoir pour satisfaire son besoin d’être, mais si une minorité empêche une autre d’obtenir son avoir, pour ce qui lui parait comme une préservation de son propre avoir, on obtient rien d’autre qu’un conflit des êtres.
Finalement, nous sommes assez d’accord sur ce point !
Tout est consommé.
Cette valeur morale est rattaché au fondement philosophique de liberté ; elle en est même l’une des bases. Je reconnais que nous avons tendance à faire usage de termes qui peuvent sembler restreindre la portée des valeurs que nous souhaitons exprimer, mais c’est un principe naturel humain surtout dans le cadre de la communication.
C’est aussi son interet par bien des fois, l’objet de la discussion vise donc a extraire les valeurs que nous donnons a notre discours. Une sorte de destructuration de l’oral, pour recomposer le moral autour de consensus.
Peut-être ! Mais le discours de l’économie libérale n’a rien de libéral au sens premier. Je ne conteste pas le bien fondé du libéralisme économique, je conteste qu’il représente LE libéralisme ; encore ce sens des nuances ! Mais c’est sans aucun doute obtu ! smiley
Tout a fait d’accord avec cela, l’économie libérale n’a rien de libérale. Preuve en est fait de la première nation libérale au monde, ou du moins se disant, les US, il n’existe probablement pas économie plus protectioniste en affaires, le libéralisme a l’américaine ca consiste justement a servir les interets du plus fort a l’echelle de sa société et du monde(USA first, doctrine américaine sur la diplomatie)
Rien que le terme triomphe me semble bien peu nuancé. Oui il y a des critiques irrecevables, comme il existe des critiques recevables. La problèmatique, à mon sens, consiste à ne jamais se satisfaire d’un quelconque triomphe qui, comme vous le dites précédemment, n’est qu’une illusion. D’autre part, il n’est nul besoin de faire en sorte que le libéralisme économique se ferme sur lui-même, c’est déjà le cas et il fait tout pour cela. Bien au contraire, je critique plus cela et prône l’ouverture, vous pourrez le constater en lisant cet article.
Bon article. Mais ce n’est pas tant une adaptation physique a l’économique comme vous le dites, mais une vision économique a travers le prisme de la physique. Comme autrefois il y eut une vision économique a travers le prisme historique, Marx, ou naturaliste, Darwin. J’apprécie sa mise en perspective sur une échelle plus vaste que le champ de vision traditionnelle de l’économie, car elle vise justement a atténuer son discours au vu d’autres facteur qu’elle ne prend pas en compte. Il n’en reste pas moins que c’est une vision très économique apporté au monde. Vous me direz qu’on ne peut y échapper, et que la vision économique n’est pas un mal en soi, c’est vrai on ne peut pas y échapper entièrement car on doit nécessairement y revenir, si on parvient a le faire et c’est vrai qu’elle n’est pas un mal en soi. L’élaboration d’un nouveau paradigme est surment nécéssaire, mais quand au modalité d’élaboration, je juge qu’il serait pertinent de ne pas le confronter uniquement au sein d’un débat frontal et théorique. Mais aussi de le mettre en situation de réel, par l’élaboration de projets pragmatique vérifiant viabilité de l’ensemble micro-économique pour advenir a la maitrise du macro économique. Toujours la preuve et le réel, pour appuyer le propos. Encore cette histoire d’être et avoir.
Je crois que le lien que je vous ai fourni devrait répondre à votre remarque. Mais en effet, la préoccupation qui m’anime est plus axée sur l’intégration d’une science économique dans un ensemble constitutif de notre environnement de vie. L’activité économique est naturelle chez l’homme, donc il serait idiot de rejeter ce fait, enfin il me semble.
Oui et c’est justement qu’il est idiot de le rejeter dans son ensemble, rejeter les initiatives économique, qui n’a pas vocation a exploiter. Sa destructuration vise par ailleurs a la restructurer dans un ensemble naturel prenant en compte son environnement. L’activité économique étant incontournable qu’on le veuille ou pas a la constitution de l’avoir et de l’être, nous devons apprendre a en familiariser les acteurs. Acteurs qui pourront penser leur action par la suite. Même si je reconnais ne pas être complètement informer. Mon action consistera a proposer. Non pas a s’opposer ou a s’imposer.
La plus grosses différence entre les faits et votre analogie, c’est que la guerre est un choix, une volonté d’une des partie, donc une responsabilité directe donc non atténuée. Pour ce qui concerne les transports, le choix repose sur une grève ou non pour défendre ou non ses intérêts. C’est la grève qui engendre la contingence des usagers. Dès lors, qui est responsable de cette grève ; certes les grévistes en ont une part, mais sont-ils les seuls ?
Je ne vois pas la différence entre les deux analogies, car dans les deux cas l’affrontement est un choix. Pour qu’il y ait guerre il faut que l’une des partie se sachant agresser et réponde a cette agression. La responsabilité des morts n’est pas atténué par le fait que ce soit telle ou telle partie qui est primau responsable. Le choix de s’affronter sur le terrain est un choix pris a part enttière, il n’existe pas de responsabilité atténuée plus qu’une autre, la responsabilité est commune et partagée. Ou on fait le choix de rentrer dans la logique du conflit et du pire et on l’assume dans son entier, ou on fait le choix de ne pas se laisser embarquée dans cette logique et la on peu s’en dire non responsable. Car n’oublions pas que selon l’ordre relativiste, chacun s’estime dans son droit, dès lors qui serait le vrai coupable. Donc je n’ai jamais dit que les grevistes étaient seuls responsables de la grève, mais que ceux ci ne se dédouanne pas en pretextant « mais c’est eux qui ont commencé ». De même qu’il ne sert a rien de s’en prendre a un agent des transports en commun qui travaille et se fait agresser par les usagers mécontent. Il n’y est pour rien, il n’est pas redevable des actes des autres. Donc établir une hiérarchie de l’acte mènent aussi a établir une hiérarchisation des auteurs de l’acte. On peut certes établir une hiérarchisation des actes différents. Toutefois a l’intérieur d’un même acte, on ne pourra pas. Qui vole un oeuf vole un boeuf, voler un oeuf fait moins de dégat, mais cela reste un vol. L’analogie entre un affrontement sur un champ de bataille qui fait des victimes étrangères a cette guerre faite avec un affrontement sur un terrain social fait aussi des victimes étrangères a cette lutte, l’analogie se tient.
Bien au contraire, je ne fonctionne pas toujours de cette façon, je l’évite autant que faire ce peu ! Mais vous êtes en train de contredire toutes les études anthropologiques, vous considérez que l’homme peut influencer son environnement de vie mais que l’environnement de vie n’influence pas l’homme. Pourtant la relation est bijective ; nous portons une part de liberté individuelle et une part de conformisme.
Tant mieux si vous l’évitez. Néanmoins, ce n’est absolument pas un truchement sémantique de ma part, mais un point essentiel. Je n’ai jamais dit que son environnment de vie n’influencait pas l’homme qui y vivait. Je dis qu’il ne devait pas se définir qu’a partir de celui-ci, mais comme il ne sait pas s’en défaire, il se définie et se redéfinie sans cesse autour. Le souci de cet environnement la(économique), c’est qu’il l’a choisi et s’y est enfermé, donc il peu s’en défaire. Donc il peut se définir sans lui et sans ses règles, qui sont juste des lois non naturelle interdépendante, qui relèvent précisemment d’un choix collectif et individuel. L’économie n’est q’un système de loi créer par les hommes, ne l’oublions pas, un simple outil de calcul. Son ethymologie ne laisse pas de doute a ce sujet : Oikos(maison) nomos(lois,règles) Et les premiers Sapiens qui posait regard sur le monde, ne se définissait pas en terme de règles économique, elles n’éxistaient pas. On peut avoir une vision économique sur absolument tous les sujets lié a un comportement humain. Mais on ne peut définir l’objet de l’ analyse économique par les sujets qu’elle etudie. Car ces sujets peuvent être étudié autrement que par l’analyse économique. L’économie thermodynamique le reflète bien, c’est un elargissement de la vision économique a plus de variables. Dans ce contexte, si nous pouvons élargir notre vision économique, nous pouvons aussi la réduire, le nier ce serait nier sa propre capacité a évoluer. Hors l’économie évolue. L’action de dé-penser l’économie va de sens. Je ne vais pas rentrer plus dans le débat propre aux économistes et qui est passionnant.
Donc, si je comprends bien, si combattre votre ennemi poserait problème à des faibles, vous jetteriez tout autant les armes. Encore une fois, essayez de le voir par une indirection, pas par une action directe.
Justement je ne peu pas, car si je m’affranchi de cette loi morale, de ne pas impliquer un innocent dans ma lutte, pourquoi mon prochain ne se prévalerait-il pas d’agir de même. Si vous dites la vous justifiez de fait les dérives les plus odieuses. Comme l’action violente. La logique est strictement la même. La je crois que c’est un point de désacord profond. Car ce n’est pas parce que d’autres s’en affranchisse que je dois en faire de même.
Pourquoi, vous commettez des actes sans en mesurer la portée, les conséquences a priori ? C’est un principe premier de la notion de responsabilité, car une fois l’acte commis, il faut assumer les conséquence que sa forme aura provoquée. En effet, avant d’agir, je tends à mesurer les conséquence et donc la portée de mes actes. J’ai même longuement sensibilisé les adolescents des Collèges en ce sens ; car l’adolescent commet quelques fois des actes dont il ne mesure pas les conséquences et cela conduit parfois à la catastrophe.
La vous m’avez pris a défaut et je suis tenu de recomposer le discours. il est vrai qu’avant d’agir la nécéssité de mesurer les conséquences et la portée de son acte est nécéssaire. Mais je persiste a dire qu’il ne faut pas pour autant l’y réduire. Donc oui diminuez l’acte a son seul effet est une réduction. Si vous convenez que l’acte bienfaisant se vaut tout autant qu’il soit moindre qu’un autre. Vous devez convenir qu’un acte malfaisant se vaut tout autant même si il est moindre qu’un autre. De ce fait pour juger de la valeur d’un acte il faut en mesurer la portée, mais aussi l’intentionalité. D’ailleurs c’est ce que font nos juristes.
Non, vous réagissez aussi par opposition ; ils vous prennent en otage !
Oui mais la honnêtement, un peu de bonne foi. La réaction est nécessairement une action par opposition. La réaction n’est pas intrèsinquement, confrontatrice ni accusatrice.
Mais vous accusez quand même, non ? ? ?
Vous faites une réponse de normand ? Quand bien même je l’accuserais de me contraidre, qui ca ennuie ? si il sait le recovoir mon assentiment en bien, pourquoi pas en mal ?
Nous faisons tous face à ce qui nous est imposé. Vous admettez vous-mêmes que nous influençons notre environnement de vie en fonction des contraintes qui nous sont posées. Nous adaptons tous notre façon d’agir en fonction à la fois de ce nous pensons et de ce qui nous est permis de faire. Cela n’a rien de servil car la liberté absolue est une pure utopie.
Navré mais vous retoquer une coquille vide, ce n’était pas a prendre au premier degré, sauf la partie entre parenthèse.
Merci pour la discussion stimilante et l’accolade.
@Johan
Tout d’abord merci pour ces échanges, j’apprécie la teneur du dialogue dans son ensemble. Car je le juge constructif sur bien des aspects. Cela vaut mieux que de se jeter mutuellement des vérités a la figure, du moins ce que l’on juge comme telles. Ensuite merci pour le lien concernant votre article que j’ai attentivement lu. J’ai donc pu constater que nous sommes d’accord sur l’essentiel. Je considère depuis un certain temps déjà, que le mode d’action syndicaliste, aussi que certaine forme d’action politique est complètement dépassée. Et je prône, enfin je le prône pas vraiment, je le crois juste, qu’il est nécéssaire d’évoluer vers un mode d’action plus constructif. Et la démarche proactive d’une collectivité est précisemment en quoi je me reconnais. Avant tout établissement de dogme économique dominant.
La démarche du syndicat agricole de vendre au consommateur leurs produits en est un exemple parfait. Même symbolique, pour moi cette démarche est autrement plus génératrice de consensus. Qu’un bête blocage des autoroutes par un syndicat d’agriculteur. Car le seul qui y perd dans l’histoire, c’est le distributeur qui achète a bas cout au producteur, en se faisant une marge bénéficiaire supérieur au producteur lui même. Pour revenir a la grève dans les transports, ce que je demande aux grevistes n’est pas arrêté de faire grève, si il juge justifié cette grève pour la préservation de leur conditions. Noté par ailleurs qu’a aucun moment je n’ai critiqué les fondamentaux de cette grève. Mais juste son mode d’action qui joue en sa propre défaveur dans la bataille d’opinion. Mais pour une fois je vais aussi me permettre de critiquer les raisons en plus de la méthode.
Quelle est la stratégie gouvernementale dans cette histoire ? De laisser pourrir la situation pour augmenter le ressentiment des classes moyennes, et des travailleurs pauvres qui n’ont d’autres moyen pour se déplacer que les transports, quitte a aller droit au réferundum. Et les travailleurs du rail foncent tête baissé dedans. De plus les syndicats se décridibilisent de plus en plus auprès des travailleurs. Pensez vous que cela augmentera leur nombre d’adhésion, dans un pays déjà sous représenté, les syndicalistes eux même participent au démentèlement de la représentation syndicale. Pure folie, car il est la et la seul le but recherché démolir la crédibilité des syndicats de manière durable. Et les plus riche, pourront ainsi continuer a s’enrichir. Car des syndicats complètement décrdibiliser ca aboutit a quoi ? Ca aboutit a offrir carte blanche au gouvernant pour aller vers la destructuration des institutions garantissant la solidarité interpersonnelle. Se servir de la solidarité intraprofessionnelle, pour assécher les syndicats, puis démonter la solidarité interpersonnelle voilà le but, faites courir le taureau jusqu’a épuisement, puis couper lui les oreilles et la queue tranquillement.
Pour reprendre les mots de Christophe, l’économie doit être prise dans son ensemble, y compris dans son environnement. La je sais que je vais me contredire, car je vais émettre une analyse économique. L’environnement économique est aussi une composante de l’environnement global. La véritable volonté de Sarkozy et des élites libérales hypnotisés par le modèle américain, enfin je suppose, est l’instauration d’un système social a l’anglo saxonne a la « Be rich or die ». La préservation d’un système par répartition doit nécessairement passée par des variables d’ajustement. La population vieillissante de la société, l’arrivée sur le marché de la génération obèse des Baby Boomers, celle qui a poussée ses parents a la retraite, et qui met ses enfants au chomage. Doit bien être financé par quelqu’un, empêcher cet ajustement, qui n’est pas une action irréversible dans le temps. C’est poussé les non bénéficiaire de régime spéciaux a la complémentaire de retraite privée pour assurer celle-ci.
Et la ce serait vraiment pour le cout désolidariser plus encore la société, car quand on regarde les choses avec plus de circonspection, on est forcé d’admettre que si l’économie mondiale est rentrée dans une logique d’inflation de la rentabilité, destructrice d’emploi, c’était surtout du fait de l’arrivée massive sur les marchés financiers dont l’opacité n’est plus a prouvée, des fonds de pension anglo-saxon qui réclamait toujours plus de bénéfices. je crois que j’avais lu quelque part que près de 40% des capitaux du CAC40, qui porte décidement bien son nom, était possédé par ces Hedge Funds. En quelque sorte on paye le démentelement par les élites américaine du Social Security Act de Roosevelt de 1935 mise en place postérieurement a la dépression de 1930, et l’incapacité chronique de leur gouvernant, ou incapacité voulue, a anticiper l’allongement de la durée de vie et l’arrivée massive de la génération baby boom sur le marché des retraites.
Si le nombre de cotisant lié a la part de population en age de travailler et travaillant diminuant de facon continue, on ira droit vers une banqueroute du système. Alors là tout sera permis. Pour sauver le système de la crise on calquera notre modèle sur le modèle anglo-saxon car en france on ne sait pas faire autre chose. Les crises financière a répétition ont quand même fait leur preuve que basé un système de protection sociale sur son fonctionnement est quasi suicidaire, sauf pour les mieux informés, éduqués, les plus riches en somme. Et encore une fois on renforce le système en le combattant de la mauvaise manière. Si telle est la logique voulue par tous, soit. Certains pensent que la meilleur facon de faire sauter le système est justement de le poussé a son paroxysme. Nous allons droit a la financiarisation de tous les niveaux de la société. Pour empêcher cela, il faut se battre sur l’essentiel, pas sur des variables d’ajustement, qui ne tiennent même pas en compte d’autres variable comme le gain de productivité.
Ca ne m’ennuie nullement de travailler 5 ans de plus pour payer la retraite de ma mère, parce que même si elle a bossé moins longtemps, elle a bossé dure et elle mérite une retraite digne. Ce que je juge juste et équitable envers ma mère, je le juge aussi juste pour mes autres aïeux. Tant pis si je dois en patir de cette facon, pour préserver cette solidarité intergénérationnelle, je suis prêt a faire des sacrifices, ils ont en bien fait eux. Donc préserver un modèle social solidaire, mille fois oui, mais pas le faire comme un mulet, on est tombé dans le creux de la vague vous et moi on fait parti de cette génération qui bénéficiera de moins.
Cordialement
@Johan
Oh quand a moi même si j’ai par moment des sursauts de succeptibilité. Je ne suis pas rancunier, j’en ai vu bien d’autres des provocations et chaque fois que je me suis laissé embarqué dedans, j’étais le seul perdant. Alors j’ai appris a gerer mes émotions, de les changer en une action positive.
Quand au mot de Maupassant, je l’aime beaucoup. Il y a du vrai, mais comme pour tout on ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac, Maupassant lui même devait l’admettre. En tout cas, ca me rappel une anecdote. Après ma période d’essai, les responsables de mon restaurant plus ses trois managers m’ont pris a part, pour un debrieffing des semaines passées. Bien qu’ils étaient très satisfait de mon travail, il me reprochait, de ne pas être plus communicatif avec mes collègues, ce que beaucoup interprétaient par de l’arrogance. Surpris ma première réaction fut de rire. Donc je leur expliquait que c’était tout le contraire, que compte tenu de ma faible expérience, de ma totalité absence de preuve de qualification due aux diplomes, je n’avais pas interet a la ramener et contester ce que l’on me disait. Que j’étais impressionner par mes collègues plus qualifiés que moi, que j’essayais de me concentrer sur ce qu’ils disaient pour ne pas commettre d’erreur et ne pas devenir une charge qu’on finirait par remplacer. Que si je ne parlais pas, c’était parce que je préférais écouter les conseils des autres.
Puis je ne partage pas votre vision manichéenne et a l’emporte pièce des choses. Etre créateur d’une entreprise ne fait, et ne fera pas nécessairement de vous un exploitant. Je considère qu’offrir la possibilté a des gens de vivre de leur propre travail même maigre que soit les revenus qu’il lui apporte en contrepartie est a méprisez et catégorisez de la sorte. Donc en effet je ne cherche pas améliorer le sort des autres exploités dans l’immédiat, cause noble que je respecte, car je me prépare pour quand je le pourrais. En effet aujourd’hui, je pense l’être moi même, dès lors comment puis-je dire a d’autres, ce qu’il faut faire, si je n’arrive même pas a sortir de ma propre condition par mes propres moyens. De quel autorité disposerai-je pour parler ? D’aucune. Je n’ai que ma propre expérience, mon propre vécu pour juger de cela, et je la sait encore trop pauvre pour m’affranchir de cette condition. Donc oui je suis lache de ne pas vouloir obtenir tout tout de suite. Je suis lache de ne pas aspirer a de révolution rouge, bleu, orange, carré rond. Car les révolutions pour ce que j’en sais non servie qu’a remplacer des privilégiées par d’autres privilégiées.
Et bien sur que je trouve indigne qu’un diplomé soit payé si mal, je trouve cela d’autant plus outrageant, car il a bossé dur pour obtenir son diplome et n’a pas la juste récompense qu’il mérite. Mais que puis-je faire ? l’empecher d’aller travailler pour qu’il puisse toucher meilleurs rétribution. C’est contreproductif en tout point, pendant que je fais cela je ne subviens pas a mes besoins, je l’empeche de subvenir aux siens, je le rend encore plus dépendant de celui qu’il exploite et ne lui apporte aucune garantie que ce que je fais menera a quelque chose. Brillante affaire ... ou bien je vote et apporte mon soutien a des hommes représentant le mieux mes interets et agissant de la manière la plus constructive pour les défendre. Je me bats moi même au quotidien, pour me sortir de ma condition, et avec l’espoir d’un jour y arriver et d’aider d’autres a le faire.
Bien sur que non je n’en veux pas au cheminot, je juge simplement qu’ils se trompent radicalement de méthode. Comment voulez obtenir l’aval de quelqu’un en le nuisant, êtes vous sadique. Je te piétinne la tête et dit merci. Je le subis parce que je n’ai pas le choix, si j’ai le choix je ne le subirais plus. C’est comme l’irrespect chronique de mon employeur, je le subis parce que je n’ai pas le choix, mais je fais en sorte d’obtenir ce choix. Je ne mesure pas mes privilèges a l’aune de celles du voisin. Je ne peux décemment pas reprocher a un bien né, d’être bien né. Il a pas choisi, je ne peux pas l’en blamer. Ce n’est pas parce qu’il est bien né et moi moins bien que je dois passer mon temps a obtenir de lui une partie de ce qu’il possède, cela vire a l’obssession. Déjà si je partage l’idée que la possession a outrance est un bienfait pour mon être, ce qui n’est pas le cas. Alors j’agirais pour arriver a sa réalisation.
Certes la notion d’interdépendance est fondamental en économie, mais interdépendance cela implique qu’il y ait un choix. Dans le cas du boulanger, si son client n’a que le pain du boulanger pour se nourir et n’a d’autres choix, oui le boulanger le prend en otage. Ne voyez vous pas que c’est ce que je m’efforce de dire. Qu’a partir de l’instant ou vous empecher tout choix a autrui de ne pas le faire subir vos revendications, vos colère bonne ou mauvaise, vous devenez son a bourreau. Hors beaucoup n’ont pas d’autres choix que de travailler ou de crevé. L’idée que la grève doit nuire pour être réelement efficace est une idiotie. La grève pourrait servir a bénéficier a la majorité, plutot qu’a lui nuire. Voilà l’essence de la démarche asymétrique. Cela me fait penser a ces etudiants qui ont crée un site ou l’argent de la publiscité recolté sert a lancé des campagnes de distribution d’argent. Au lieu de barbouiller les publicités dans la rues, ce qui est marrant mais peu productif, sauf en terme de création artistique avant gardiste. ils se servent du système, pour l’exploiter dans l’interet du plus grand nombre. Et ainsi ils en démontrent l’absurdité.
Quand au reste je vais abréger, ma réponse car je suis vraiment fatigué, je dirais juste que oui je suis d’accord avec vous, nous avons besoin de syndicat, de délégué, de prud’hommes, mais ces organismes sont la pour faire respescter les normes social dans une ensemble plus vaste que leur secteur professionnel. Pour ce qui est des progrès sociaux je les jugent inapte a satisfaire cette demande vu leur mode de fonctionnement et préfere me tourner vers des entités collectives capable de répondre a ces besoins, l’entreprise est aussi une entité collective capable d’y repondre si on la patience nécéssaire pour y mettre au point ses propres modes de fonctionnement.
Cordialement.
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