A Jesrad,
Les bienfaits de la regulation marchande sont d’aligner les prix des biens avec les prix en valeur aux yeux du marche (et a cause de l’inflation et de la differente appreciation des risques ca change tout le temps).
On pourrait dire que comme tout commercant qui se respecte il y a une valeur ajoutee a acheter un bien a un prix A et a le vendre a un prix B, c’est mettre les marches en relation dans l’espace.
On pourrait dire qu’il y a une valeur ajoutee a conserver un bien dans l’anticipation d’une penurie proche, ce bein etant achete a sa valeur d’utilite par le client, il n’est pas floue. Ce serait mettre deux marches en relation dans le temps.
Quelle est la situation d’aujourd’hui ?
Le marche n’est absolument pas atomistique (une des ontition de la concurrence pure et parfaite). Au contraire, les grand mouvement speculatoires ne sont pas proportionnes aux fluctuations en economie reelle.
Les gros donnent le mouvement, les petits suivent tant qu’ils peuvent.
Mais les gros ont une arme que n’ont pas les autres : la possibilite de lancer des mouvements gregaires. Et la possibilite de suivre plus vite que tout le monde les mouvement gregaires lances par les autres gros (delits d’inities, meilleurs outils informatiques, bref asymetrie d’information).
Le gros des benefices se fait ainsi, pas en affinnant au plus juste la valeur d’un bien ou d’un titre.
Pour en revenir a l’or, c’est comme s’il etait plus rentable de suivre les divagations du plus gros possesseur d’or que d’analyser les besoins en or de l’economie et les capacites de production d’or et d’etablir ses prix en consequence.
Autre exemple pour la nourriture. Marche qui etait saisonnier. Un tres gros a presque la moitie des stocks de ble qui suffisent a peine a la population. Il laisse ses concurrents vendre, et quand il est seul il fixe un prix de monopole. Et se gave tant qu’il veut.