• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de clothilde

sur


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

clothilde 10 juillet 2007 01:00

Un autre rapport controversé de témoin est venu de l’ouvrier d’entretien, William Rodriguez qui travaillait dans la tour nord le 9/11. Dans une interview au New York Magazine, [5] il déclara avoir entendu en premier une énorme explosion alors qu’il était au second sous-sols du gratte-ciel et témoigna de l’aspect des victimes, la peau brûlée de leurs bras par le feu dans la cage d’ascenseur. Après l’explosion au second sous-sol il en entendit une autre au dessus. C’était le Boeing 767. Williams fut le dernier rescapé survivant au Ground Zero du WTC. Il fut salué comme héros et invité à visiter George Bush et la Maison Blanche. Plus tard, quand il tenta de donner de la publicité à son histoire d’explosion au second sous-sol, il fut rejeté par les autorités américaines. Il a maintenant entamé une poursuite judiciaire contre ces mêmes autorités sous le Statut RICO, une action judiciaire conçue à l’origine pour poursuivre les familles de la Mafia.

A côté des rapports de témoins décrivant une démolition contrôlée des tours jumelles avec des explosifs, des critiques de l’administration Bush croient il y a plusieurs ensembles de circonstances entourant le 9/11 qui donnent de bonnes raisons de suspecter la véracité de l’histoire officielle. C’est un fait qu’aucun des quatre avions détournés ne fut arrêté par les avions de combat. Cela combiné au fait que la majorité de l’Armée de l’Air étaient engagés dans des exercices militaires, donna poids au soupçon que la force de défense aérienne américaine avait donné l’ordre de « se retirer » de sorte que les attaques terroriste puissent se dérouler sans encombre. Une autre événement suspect est que le WTC 7 — aussi connu sous le nom de Bâtiment 7 — un gratte-ciel de 47 étages, s’effondra sans avoir été heurté par les avions. Réciproquement, les bâtiments adjacents sont toujours intacts.

Alors qu’elle arrive à tout prévenir des attaques, l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) prétend avoir surveillé des conversations, entièrement traduites en été 2001 — en temps réel — entre Mohamed Atta et Khalid Shaikh Mohamed, ayant soulevé des inquiétudes. Dans l’une des conversations, Khalid a soi-disant donné à Atta le feu vert pour les attaques ; La NSA devait donc être prévenue.

En rapport avec les enquêtes qui auraient pu mener à l’arrestation des pirates de l’air, l’agent Colleen Rowley du FBI prétend que les directeurs du FBI ont intentionnellement empêché ses investigations sur Zacarias Moussaoui — alors qu’il fréquentait l’école de vol de Minneapolis. Ils ont fait cela en dépit des avertissements reçus des renseignements français. Rowley croit que, si le FBI avait approuvé son enquête, il aurait pu découvrir les plans de Moussaoui comme ceux de plusieurs autres pirates de l’air inscrits dans les écoles de vol. [6] Certains croient que les importantes sommes d’argent transférées des renseignements pakistanais (ISI) à Mohamed Atta les jours avant le 9/11 sont la preuve de la coopération entre l’ISI, la CIA, et Al-Qaida. [7]


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès