Je ne comprends pas le but de cet article.
Croire qu’une économie libérale serait stable est une utopie ; les désiquilibres apparaitraient assez vite. Un vrai libéralisme (donc pur et ...utopique comme vous le signalez) n’est en rien incompatible avec le capitalisme. Une concurrence libre et non faussée aménera forcément des acteurs économiques au premier plan (celui qui aura la meilleure stratégie, meilleur financement etc etc ) , qui du fait de leur capitalisation sur de longues périodes seront plus péreint et plus forts que les acteurs émergeants,
Je dirais même que le libéralisme économique amène inévitablement l’avénement du capitalisme et le soutient.
Pour que ce ne soit pas le cas, alors il faut des règles du jeu particulières fixées par un garant (l’Etat ou d’autres collectifs) qui corrigent les déséquilibres aprés un certain temps. Alors là, si les règles sont suffisament contraignantes pour le capitaliste et limitent sa domination, on se rapproche effectivement d’un systéme plus social, que l’on peut nommer social-libéralisme mais certainement pas socialisme.
Car le socialisme, en plus, induit que les moyens de productions soient contrôlés (voir appartiennent) par ceux qui produisent (salariés, direction, tous à égalité) et non par de quelconque investisseurs X éloignées de la réalité de l’entreprise, uniquement intéressés par les dividende distribués ou le cours du titre. Et le libéralisme économique contemporain ne mène en rien à ça (et ne me ressortez pas les écrits d’Adam Smith...trop parfaits, et le Monde a évolué depuis)......sinon montrez moi !
Le libéralisme a du bon, je le reconnais. Mais dans certians secteurs économiques bien définit, avec des règles stricte corrigeant les effetfs négatifs (comme l’accumulation capitalistique par certains acteurs, des règles sociales garanties...). Ce système ne peut en outre marcher que dans une zone ou toutes les régions ont un niveau de développement similaire, sinon le désiquilibre bénéficie forcément au plus fort