Christophe,
votre remarque est capital bien que je ne la partage pas car elle confond une pratique minoritaire avec un groupe minoritaire.
je pense qu’il faudrait distinguer une minorité d’une autre.
en fait vous confonfez (ou distinguez mal) la cas par exemple d’un homosexuel ( à titre d’exemple) pour qui s’affirmer revient à se penser contre la norme sexuel majoritaire .aucun doute ici et c’est bien l’hétérosexualité qui parait relatif bien que majoritaire à l’aune de la lutte des homosexuels.
votre remarque serait entièrement juste s’il s’agissait d’illustrer cet exemple ,elle cesse donc de fonctionner des lors que nous avons à faire à des individus qui sont d’abord considérés comme étrangers à la société.l’homosexulatié bien que minoritaire n’est pas la norme d’une minorité étrangère ainsi que la cause féminine ,autre exemple d’une identité minoritaire.
il exite souvent des débats majoritairés/minoritairés mais qui en fait n’opposent que des individus issus du meme socle culturel voire civilisationnel.c’est la cas avec nos homo ,les femnistes ,mais pas avec le cas qui ns concerne , lui nous oblige à reconsidérer autrement le rapport majorité/minorité que ne permet pas de penser le cas homosexuel.c’est d’ailleurs cette raison précise que l’auteur rappelle avec force.c’est le paradoxe devant lequel les sociétés européennes se trouvent face au cas lillois et qui peut se formuler ainsi :
les "mususlmans" qui vivent ds des sociétés musulmanes évoulent au rythme des débats sociétaux que ttes sociétés supposent (meme si c’est lent)alors que les musulmans d’Europe semblent ,elles, stagner en raison de leur exclusion du débat social.
donc, il ne faudrait pas que sous- prétexte d’elargir la gamme de liberté de la société majoritaire( dont vous faites jimagine partie)) les minorités "ethniques" se voient exclus du "progrès".
remarquons le silence pesant dans cette histoire des "autorités musulamne " ne serait -ce que pour préciser le pt de vue de l’islam classique à propos de la virginité.silence qui confirme bien ce que l’auteur pointait en filigrane.
où est le pt de vue des musulmans qui vivent dans la société française, s’il devait en exister un, sur ce sujet ???
à la limite si ce que vous disiez devait trouver une confirmation ,on pourrait alors se poser cette autre question, mais où sont les convertis à l’islam qui conditionnent la validité de leur mariage à la virginité de leur future épouse ? ou , peut -être ,des musulmanes défendant encore la virginité avant le mariage dans la société française ?
pkoi entendons-nous toujours les mêmes qd il y va des minorités visibles ?