"Les principaux problèmes de la startup sont :
- le recrutement de personnels compétents qui sera peu rémunéré ;
- les futurs salariés devront être motivés (ce qui signifie : peu regardant sur les heures supplémentaires non payées) ;"
Bref, une vie que l’on peut mener lorsqu’on est jeune et célibataire, ou à défaut sans enfants.
Au bout de dix ans le constat est amer voir cuisant.
- On a passé sa jeunesse à bosser (on y croyait alors on s’est donné à fond).
- On est toujours pas riche (le boss roule en porshe mais a toujours une bonne raison de repousser les promos. De temps en temps quand il sent que la coupe est pleine alors il jette une prime, comme un os à ronger). Bah, on gagne quand même de quoi payer en 25 ans un pavillion dans un lotissement de province.
- Faute d’argent, il n’y a même pas de reconnaissance du travail accompli. Pas un merci, rien ! T’as du boulot alors estime-toi heureux !
- On finit donc par lever le pied très sérieusement. Et comme maintenant on a des gosses, on s’accroche au poste et on devient un boulet, ce que le boss fait savoir quotidiennement (du passé faisons table rase).
Conclusion : la seule façon certaine d’avoir un retour sur inverstissement de travail dans une startup c’est d’en être le boss.