« Il y a eu des procès contre des négationnistes du génocide arménien (le consul de Turquie à Paris, Bernard Lewis, Gilles Weinstein). Les tribunaux n’ont jamais pu les punir. »
Et pourquoi voudriez vous les punir ?
Parce qu’ils ont dit quelque chose qui ne vous plaisez pas ?
A part se décribiliser, je ne vois pas ce qu’il font de mal.
« Les négationnistes de la Shoah sont condamnables. »
Et cette loi a bien sur supprimé tous les anti-sémites et tous les négationistes ....
Par contre, ce qu’elle a supprimé, c’est le débat ...
D’ailleurs, Le Pen n’a jamais fait autant de voix depuis qu’il existe ces lois : il a été contraint de changer son discourt, et ainsi de paraître plus soft.
« Or, une société ne peut pas fonctionner correctement quand il n’y a pas de limites aux libertés qu’elle défend. »
La liberté c’est mal. La police politique et le déli d’opinion doivent être rétablis.
« La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen pose ce principe, d’ailleurs : la liberté s’arrête là où commence celle d’autrui. Doit-on laisser quelqu’un nier un génocide pour défendre la liberté ? Est-ce cela, l’humanisme ? »
Es-ce que le fait de dire quelque chose empiète sur la liberté d’autruit ?
Il faut arrêter d’interpreter les droits de l’homme comme on l’entend.
La liberté d’expression est importante et ne doit pas être contrôlée sans aucune manière : c’est la garantie d’une vrai démocratie, où toutes les idées doivent pourvoir se confronter.
Dans tous les cas, déclarer une idée bonne et une idée mauvaise ne doit pas être du resort de l’état : fondamentalement, les idées sont du resort des individus, qui ont chacun leur conviction intime.
On ne peut pas contrôler cette conviction (même si l’URSS y arrivait plus ou moins à coup de propagande non stop), et essayer de la contrôler à coup de lois est dangereux et n’est pas synonyme d’une démocratie.
Je proposerais une loi qui plaira surement a beaucoup de nos gauchiste : Créer le déli de négationnisme du bienfait de la technologie.
Toute remise en cause de la technologie et de ses bienfaits seront passibles de deux ans d’emprisonnement et 150 000e d’amende.