Bonjour. Vous semblez pencher pour une démolition non conventionnelle à base de technologies secrètes. Pourquoi pas, mais pourquoi ne pas envisager des solutions plus simples, à base de prédécoupes de colonnes par exemple ? Plus simple même qu’une découpe chimique des colonnes déclenchée à distance, ne pourrait-on pas envisager une prédécoupe de chaque colonne, à un étage proche de ceux de la collision, avec un système qui les maintient dans l’axe vertical jusqu’au moment de l’effondrement. C’est votre idée « surtout si les soudures et boulons fixant les poutres aux colonnes avaient été préalablement sabotées » qui m’y fait penser. Dans ce cas nul besoin d’hypothèses plutôt coûteuses à base de fusion froide ou de foudre en boule. Pour la première je suppose que c’est la liquéfaction de métal constatée dans les gravats qui vous y a mené, mais n’y a-t’il vraiment pas de phénomène explicatif plus simple ? Pour la seconde vous dites « Le fait que le nuage de poussière dense et extraordinairement expansif soit demeuré à une température vivable (...) » mais est-ce que vous prenez bien en compte la spécificité du béton, léger, qui fût coulé pour former les dalles ? Je pense que votre site propose des réponses argumentées à ces questions mais cela serait utile de préciser ici en quoi des hypothèses plus simples ne sembleraient pas viables. Par exemple, selon sa composition on peut penser que le béton léger des planchers s’effrite facilement ce qui expliquerait très simplement ces nuages de poussière. Cordlt.