« L’inside Job » du 11/9/2001 : Questions Réponses avec un Physicien
Questions & Réponses avec Frédéric Henry-Couannier, un physicien conspirationniste :
Pourquoi ne publiez vous pas vos analyses sur le 11/9 dans des revues à comité de lecture ?
La théorie de l'Inside Job du 11/9, coup monté de l'intérieur, a un corolaire évident : les criminels sont encore au pouvoir et ont les moyens de contrôler tous les organes gouvernementaux mais aussi tout ce qui a une quelconque importance dans le domaine de la diffusion de l'information. Ce contrôle s'effectue en particulier par une propagande permanente visant à assimiler le conspirationnisme à un délire paranoïaque et révisionniste idéologiquement nauséabond et à créer un tabou dans la conscience collective. Les grands médias mais aussi les revues scientifiques sont soumis à cette pression et il est illusoire d'espérer publier quoi que ce soit de plus ou moins conspirationniste dans une revue à comité de lecture ayant un certain prestige.
Internet ne pouvant être verrouillé de la sorte, le deuxième non moins évident corollaire est que des professionnels de la désinformation ont pour mission de complètement investir et saturer le terrain du conspirationnisme sur la toile afin d'y noyer les arguments pertinents, susceptibles de convaincre des experts, sous un flot d'idioties à peine croyables et considérations ésotériques amalgamées : théories holographiques d'absence d'avions, armes à champs scalaires, complot des Illuminati ... etc...
La liste des preuves d'une destruction planifiée non conventionnelle des tours jumelles que je vais dresser résulte donc d'un tri de longue haleine entre le vrai, le faux et l'idiot et surtout d'analyses indépendantes que j'ai effectuées ces dernières années.
Les rapports officiels soutiennent la version officielle en ce qu'ils prétendent établir que les dégâts occasionnés par les impacts d'avions et les incendies qui suivirent aux étages où les protections au feu de l'acier ont été arrachées rendirent l'initiation de l'effondrement inévitable.
La référence incontournable en la matière est le rapport du NIST de plusieurs milliers de pages qui détaille les résultats d'une étude de plus d'une centaine d'ingénieurs extrêmement compétents, ayant bénéficié d'un budget de 16 M$, 3 années d'étude et des moyens de simulation informatique très au delà de ceux de toutes les autres études indépendantes réunies. Ces ingénieurs ont eu pour mission de faire toute la lumière sur les effondrements des tours du WTC. Par conséquent il est assez raisonnable de considérer que si les effondrements étaient inévitables, le rapport du NIST devait l'établir sans ambiguïté, sinon il y a un problème.
La première surprise est que le scénario d'effondrement exclusif soutenu par le NIST, est radicalement différent de celui soutenu précédemment par une autre étude officielle, celle de la FEMA (600k$ de budget) mais diffère aussi de ceux de toutes les autres études d'ingénieurs indépendants qui pensaient que l'affaiblissement des colonnes d'acier par le feu suffirait à produire les conditions inévitables de l'effondrement. Pour rendre l'effondrement possible les ingénieurs du NIST ont dû en effet imaginer un mécanisme inédit : les poutres soutenant les planchers ployant à haute température ont dû tirer sur les colonnes externes jusqu'à les tordre vers l'intérieur, courbure d'ailleurs visible sur les faces opposées aux impacts dans les deux tours.
Malheureusement les ingénieurs reconnaissent que dans leurs simulations détaillées des planchers le tirage attendu, crucial pour expliquer l'initiation de l'effondrement, ne s'est pas produit, car les attaches des poutres aux colonnes ont lâché d'abord. Ils donnent alors une longue série d'explications pour nous convaincre que ce résultat négatif n'est que la conséquence de l'imperfection de leurs simulations et confiants dans le fait que tout fonctionnerait comme prévu avec des simulations plus complètes, ils introduisent à la main les forces de tirage pour produire la destruction des colonnes externes. Ils analysent ensuite le report des charges qui en résulte et se contentent de dire qu'au bout d'un certain nombre de colonnes externes ainsi tordues vers l'intérieur une instabilité s'est probablement propagée entrainant la ruine complète des tours.
Force est de constater que toute la démonstration du NIST ne reposant que sur un pari, celle-ci n'est pas probante et que même si elle l'était, il n'est pas permis à des chercheurs indépendants de la vérifier, les codes de simulations du NIST n'ayant pas été publiés. Nous ne pouvons bien évidemment pas faire confiance sur parole à des équipes dépendant directement de l'exécutif US et dont nombre de leaders travaillent pour l'armée. Par contre, je remarque qu'il aurait été très simple avec des incendiaires ou autres technologies permettant de porter l'acier à des températures bien supérieures à celles accessibles par les incendies de bureau et de Kérozène, d'obtenir l'initiation certaine de l'effondrement d'apparence naturelle, surtout si les soudures et boulons fixant les poutres aux colonnes avaient été préalablement sabotées et/ou si des câbles actionnés à distance par des vérins ont tiré sur les colonnes externes pour les détruire.
Pour en avoir le cœur net j'ai décidé d'analyser toutes les caractéristiques des effondrements qui suivirent l'initiation, ce que le NIST n'a pas fait, afin de tester si elles étaient compatibles avec la thèse d'un effondrement sous le seul effet de la gravité.
Le sont elles ?
Il n'y a pas d'anomalies flagrantes à relever en ce qui concerne les trois premières secondes d'effondrement ni même les temps d'effondrement global. Par contre, durant les quelques secondes transitoires où l'effondrement se situe à mi-parcours on établit facilement que le front de destruction le plus en avance progresse plus vite que la chute libre dans le cas de la tour Sud : le profil des expulsions de débris est orienté vers le haut, autrement dit les débris en chute libre sont en retard sur le front de destruction. Dans le cas de la tour Nord le front de destruction est à peine en retard sur les débris en chute libre, ce qui est aussi une violation manifeste des lois de la physique dans ce cas car l'effondrement théorique le plus rapide que l'on puisse imaginer, prenant en compte la conservation de l'impulsion, devrait être nettement plus lent que ce que l'on observe. En fait, si le front de destruction local le plus en avance observé était bien dû à l'effondrement de portions de planchers les uns sur les autres, ce qui est déjà difficilement concevable, des résistances considérables ont dû se manifester pour déchirer tous ces planchers en béton armé. Or j'ai pu montrer au contraire que ce front de destruction se propage à la vitesse d'une pile d'étages s'effondrant à résistances nulles de la structure inférieure.
Ce que nous voyons n'est donc en fait pas un effondrement mais une succession d'éjections violentes de tonnes de béton pulvérisé et d'acier par une processus de désintégration planifiée des étages successifs de haut en bas. Signalons qu'un effet de piston (une idée ridicule de certains défenseurs de la VO) ne chasserait bien évidemment pas des débris solides et poussières par le bas, de nombreux étages en avance sur le front de destruction !
J'ai pu établir qu'un débris de dizaines de tonnes a été projeté à 45 degrés vers le haut à une vitesse incroyable de 90 km/h au tout début de l'effondrement, donc à un stade où la base d'un effondrement en pile d'étages n'aurait de toutes façons pas atteint une vitesse de plus de 30km/h. Un immense pan de colonnes qui représentait une dizaine d'étages et un tiers de façade (100 tonnes : la masse d'un Boeing 757) a été projeté à 90km/h à une distance de deux longueurs de terrain de foot du pied de la tour Nord. Plusieurs observations et analyses aboutissent à la même conclusion : il n'y a pas eu de pile d'étages atteignant le sol, l'essentiel de la masse de béton ayant été pulvérisée en plein ciel et les colonnes d'acier projetées avec une violence incroyable dans toutes les directions comme les vidéos déjà le suggéraient fortement.
Quelles sont ces observations ?
- L'extrême dispersion des débris en comparaison de ceux d'une démolition contrôlée comme celle de l'immeuble Hudson par exemple. La pile de débris au WTC ne dépassait pas 3% de la hauteur initiale des tours au dessus du sol.
- Des survivants qui auraient dû être écrasés sous une pile de 90 étages mais se sont retrouvés au lieu de cela au sommet d'un champ de débris, les étages ou ils descendaient les escaliers en courant ayant été apparemment épargnés par la séquence de désintégrations qui avait transformé en poussière tous les planchers au dessus d'eux.
- Un signal sismique enregistré 1000 fois moins puissant que celui qu'aurait inévitablement produit une pile d'étages percutant les fondations à 180km/h, mais par contre correspondant bien à la chute d'un grand nombre de petits débris d'acier, étalée dans le temps.
- Une disparition de la quasi totalité (en tout cas beaucoup plus de la moitié) du béton dans le champ de ruines mais par contre, de 5 à près de 20 cm d'épaisseur de fine poussière étalée sur tout Manhattan. Sur cette base, même des estimations de défenseurs de la VO aboutissent à plus de 30% du béton des dalles de béton armé des étages, pulvérisé en poussières d'un dixième de millimètre, alors que la théorie du fractionnement par les chocs entre dalles n'en prédisait qu'un pourcentage dérisoire comme dans les démolitions contrôlées usuelles qui ne pulvérisent pas l'essentiel du béton, loin s'en faut.
Vous soutenez donc qu'il y a eu une démolition contrôlée par des explosifs, c'est cela ?
Absolument pas ! Si l'on exclue les armes nucléaires (pas de radioactivité à GZ ni de taux de tritium compatibles avec l'usage d'armes à fusion), les explosions les plus puissantes à ce jour pour détruire de grands volumes de structures sont celles de thermobariques comme la MOAB (Mother Of All Bombs). Ceux-ci produisent des sons d'explosion audibles à des kilomètres à la ronde sans même être capables d'atteindre un degré de pulvérisation de structures de béton comparable à ce qui a été observé au WTC. Au contraire, les tours ont été désintégrées par un processus produisant des hautes températures mais dans un silence incroyable relativement au niveau de destruction constaté : pas d'énormes bangs acoustiques ce qui semble contradictoire. C'est pourquoi les experts en explosifs de la recherche publique sont complètement désarmés face aux observations du 11 septembre qui ne correspondent à rien qu'ils puissent interpréter avec leurs connaissances et expérience en matière d'explosifs. J'ai montré que toutes les caractéristiques de cette destruction sont celles d'un domaine de physique fondamentale très prometteur qui a été discrédité médiatiquement dans les années 90, celui de la fusion froide, discrédité pour que les recherches puissent être poursuivies en secret dans les laboratoires militaires US aboutissant à ce que nous avons vu le 11/9.
Vous dites qu'il ne s'agit pas d'une démolition explosive alors que la plupart des sites conspirationnistes parlent de dizaines de témoignages d'explosions.
Ces témoignages de multiples bruits et flashes d'explosions après les impacts d'avions et même avant sont à prendre très au sérieux car on montre aisément qu'ils ne peuvent s'expliquer ni par les incendies, ni le Kérosène déversé dans les puits d'ascenseurs, ni les impacts d'ascenseurs en chute libre dont les câbles auraient été sectionnés par les avions. On sait que ces explosions ont en fait permis de détruire des portes coupe feu, des extincteurs, et la quasi totalité des ascenseurs pour empêcher les pompiers d'intervenir efficacement sur les étages en feu et pour que les incendies puissent perdurer le temps nécessaire pour rendre crédible un effondrement suite à l'affaiblissement de la structure par la chaleur. D'autres explosions souterraines beaucoup plus puissantes qui ont précédé de très peu les effondrements, ont fait trembler le sol pour secouer les tours, pichenette ultime pour déclencher l'initiation d'effondrement aux niveaux des étages impactés qui n'attendaient que cela, affaiblis qu'ils étaient par des hautes températures, vérins et sabotages des fixations entre colonnes et poutres. D'autres explosions qui ont parcouru la structure juste avant et pendant l' « effondrement » n'expliquent pas le niveau de destruction atteint et avaient plutôt des puissances typiques de détonateurs.
Quels types de preuves avez vous de l'exploitation d'une nouvelle physique au WTC ?
Premièrement, la pulvérisation de l'essentiel du béton dans un silence relatif incroyable est un fait incompréhensible dans les cadres admis.
Ensuite nous disposons de très nombreux témoignages y compris de pompiers en vidéo faisant état de ruisseaux de métal fondu rouge-orange à Ground Zero comme dans une fonderie, témoignages corroborés par des photos et une vidéo d'un écoulement de métal fondu à très haute température (de l'ordre de 1400°C d'après sa couleur) avant l'effondrement de la tour Sud.
Le métal fondu était de l'acier car on a bel et bien retrouvé dans les ruines des flaques d'acier précédemment fondu solidifiées et d'énormes conglomérats d'éléments de structure d'acier fondus et de béton fusionnés par la chaleur (baptisés météorites), en fait des mille-feuilles de portions de plusieurs étages fusionnés. Or l'acier fond vers 1500°C tandis que les incendies de bureau n'ont culminé qu'à 1100 degrés d'après le NIST. Ces données seules n'impliquent pas nécessairement de la nouvelle physique mais on commence à s'interroger lorsqu'on apprend que les températures extrêmes se sont entretenues pendant des semaines à Ground Zero, malgré d'incroyables quantité d'eau déversées dans le bassin des fondations.
Les choses se précisent lorsque on étudie les résultats d'analyse de la poussière du WTC par de nombreux laboratoires qui ont non seulement confirmé les températures incroyables atteintes mais aussi montré que ces températures n'ont pas été atteintes seulement localement mais ont bel et bien concerné la quasi totalité des étages détruits. Ainsi dans certains échantillons prélevés dans Manhattan c'est jusqu'à 5% en masse de la poussière qui était constituée de myriades de gouttelettes de fer précédemment fondu, et on apprend que la poussière du WTC est constituée de 40% en masse de ce que les laboratoires ont identifié à de la laine de roche ce qui représente des dizaines de milliers de tonnes, quantité complètement aberrante pour un matériau extrêmement léger utilisé dans les constructions pour l'isolation. Lorsqu'on sait que la laine de roche, est constituée de fibres de scories, de celles qui sont produites dans les irruptions volcaniques lorsque des gaz passent au travers de roche en fusion riche en silicium, et à la lumière des autres preuves de températures fantastiques atteintes (liquéfiant du molybdène à 2600°C, vaporisant des alumino-silicates à 2760°C et du plomb à 1740°) une autre interprétation s'impose : des dizaines de milliers de tonnes de béton ont été désagrégées par la chaleur, en produisant des fibres de scories.
Le fait que le nuage de poussière dense et extraordinairement expansif soit demeuré à une température vivable dans ce contexte est un des aspects les plus énigmatiques que j'explique par des processus de nouvelle physique (ceux-la même à l'œuvre dans les expériences de « fusion froide ») que je décris en détails sur mon site. Les structures de béton et d'acier ont été soumises à un intense bombardement de micro foudres en boule (appelées également Ectons, Eves, Amas chargés, monopoles ou encore rayonnements étranges par leurs multiples et indépendants co-découvreurs). Cette nouvelle phénoménologie découle en fait d'un nouveau cadre théorique que j'ai proposé et publié en 2004, celui de la théorie de la gravité obscure que je vulgarise également sur mon site internet, www.darksideofgravity.com où bien entendu vos lecteurs sont invités à prendre connaissance des détails des démonstrations.
Que pensez vous de la découverte récemment publiée de nanothermite dans la poussière du WTC ?
J'ai également observé dans la poussière du WTC ces fameux chips rouges ayant toutes les caractéristiques y compris la composition chimique de ceux décrits par les auteurs de cette publication. Mais, même chauffés bien au delà de 400°C, aucun des miens n'a réagi en produisant du fer fondu ce qui serait la signature d'une réaction thermitique. Cependant même si j'avais obtenu cette réaction j'aurais du nécessairement me poser quelques questions avant de conclure. Sachant en effet que les tours ont été détruites par des technologies exploitant de la nouvelle physique, ne doit on pas s'attendre à ce que pour protéger le secret de ces technologies, les criminels tentent de brouiller les pistes des chercheurs indépendants qui s'interrogeraient sur la provenance de ces innombrables chips métalliques dans la poussière ? Est il plus probable dans ce contexte que les échantillons envoyés aux chercheurs indépendants aient été préalablement saupoudrés de nanothermite toute fraiche et prête à réagir, ou qu'au contraire les chercheurs aient réussi à faire réagir des nanoparticules d'aluminium de plus de 8 ans d'âge (véritablement stupéfiant !) de micro-chips rouge-gris récoltés dans la poussière du WTC ? Bref, alors qu'il existe de nombreuses autres preuves pour lesquelles les données de base sont fiables et accessibles à tous, les vidéos des effondrement diffusées en direct par exemple, on tente de focaliser notre attention sur une étude sous prétexte qu'elle a donné lieu à une publication dans une revue à comité de lecture. Or cette étude est invérifiable en toute indépendance puisque force est de constater que la poussière du WTC n'est pas accessible en libre service : en ce qui me concerne, le seul fait de déclarer m'intéresser à une autre piste que la nanothermite, notamment des processus de nouvelle physique, a eu pour conséquence que les auteurs ont décidé de me sanctionner d'un embargo immédiat et définitif sur la poussière du WTC. Curieux comportement pour de soit disant chercheurs ! D'ailleurs quelle serait la probabilité que puissent être acceptées pour publication dans une revue à comité de lecture des découvertes établissant de façon vraiment convaincante l'utilisation d'explosifs en grande quantité au WTC ? S'il s'agissait par contre d'une opération de sabordage, de discrédit planifié, tout s'explique beaucoup mieux. Quoi qu'il en soit, j'ai déjà donné les raisons pour lesquelles des explosifs (sans compter que la nanothermite qui ne libère pas de gaz serait un très mauvais explosif) ou incendiaires quels qu'ils soient, n'expliqueraient pas les principales caractéristiques de la destruction des tours ... alors, pourquoi s'attarder sur cette hypothèse à la fois inadéquate et invérifiable ?
Vous expliquez que les caractéristiques de la destruction des tours ne peuvent être interprétées par des experts en démolition ou en explosifs, ce qui a contribué à rendre l'opération possible … d'un autre coté, même si le but était la destruction totale des tours pourquoi ne pas avoir opté pour un plan plus discret consistant simplement à fragiliser de nombreux points clefs de la structure plutôt que de littéralement désintégrer les 110 étages.
Il est possible que nous ayons affaire à une démonstration de force visant à intimider d'autres nations avancées, mais on peut aussi imaginer que les apprentis sorciers n'ayant qu'une maitrise empirique et pas suffisamment théorique des nouvelles technologies utilisées, n'aient pas pris en compte certains facteurs et que les réactions se soient amplifiées bien au delà de ce qui était prévu.
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