Pourquoi sans cesse accuser les non communistes d’être nazis. Cela fait 60 ans que cela dure. Moi je ne vois que les faits :
À partir de novembre 1934, François Mitterrand milite pendant environ un an aux Volontaires nationaux, mouvement de jeunesse de la droite nationaliste des Croix-de-feu du Colonel de La Rocque3. Il participe aux manifestations contre « l’invasion métèque » en février 1935 puis à celles contre le professeur de droit Gaston Jèze, après la nomination de ce dernier comme conseiller juridique du Négus d’Éthiopie, en janvier 19364. Il cultive par la suite des relations d’amitiés ou de famille avec des membres de La Cagoule5. Il est un temps critique littéraire et écrit sur la société contemporaine et la politique dans la Revue Montalembert et dans le quotidien L’Écho de Paris d’Henry de Kérillis, proche du Parti social français. Il y écrit notamment un article regrettant que le quartier latin se soit laissé envahir par le « dehors ». « Désormais, le quartier Latin est ce complexe de couleurs et de sons si désaccordés qu’on a l’impression de retrouver cette tour de Babel à laquelle nous ne voulions pas croire6. »
Installé à Vichy en janvier 1942, bien que recherché par les Allemands comme prisonnier évadé, il occupe un emploi contractuel d’abord à la Légion française des combattants (LFC) puis en mai 1942, au Commissariat général aux prisonniers de guerres et rapatriés et aux familles de prisonniers de guerre (sous les ordres de Maurice Pinot) dont la compétence est principalement civique et sociale17. En janvier 1943, le commissariat prendra cependant une orientation pro-nazie18. François Mitterrand, alors chef de service de l’Information du commissariat pour la zone sud, démissionne.
Il garde un poste à la tête des centres d’entraide et c’est à ce titre qu’il reçoit l’Ordre de la Francisque en mars-avril 194319. Pour recevoir cette distinction honorifique, il est parrainé par deux membres de La Cagoule (Gabriel Jeantet, membre du cabinet du maréchal Pétain, et Simon Arbelloti)20, et prête le serment suivant : « Je fais don de ma personne au Maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre. » ,21,22,23. Cette décoration lui sera reprochée par ses adversaires tout au long sa carrière politique, depuis lescommunistes (dès 1948) jusqu’aux gaullistes (dès 1954) et la SFIO (dès 1958)24.
Pour certains, à la lecture du livre de Pierre Péan, il ne fait aucun doute que François Mitterrand a été maréchaliste et plein de confiance et d’admiration pour l’homme Pétain, notamment à la lecture d’une de ses lettres à sa sœur, rédigée le 13 mars1942 et dans laquelle il écrit : « j’ai vu le maréchal au théâtre [...] il est magnifique d’allure, son visage est celui d’une statue de marbre. »
Dans une lettre du 22 avril 1942, il avoue n’être pas particulièrement inquiet du retour aux affaires, en avril 1942, de Pierre Laval, qui doit selon lui faire ses preuves, mais il condamne la fonctionnarisation de la Légion française des combattants (LFC), lui préférant le modèle du Service d’ordre légionnaire (SOL), que vient de mettre en place Joseph Darnand.
Darnand... J’ai lu que Mitterrand partage son bureau avec le dirigeant national des jeunes de la Milice.
Ces amis fidèles de l’époque vont financer en partie sa campagne de 1981. René Bousquet dirige un cercle de proches
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Bousquet  ;Chouette copain, Secrétaire général à la police du régime de Vichy du 18 avril 1942 au 31 décembre 1943, où il s’est occupé du sort des pauvres enfants juifs.
Mitterrand est l’objet d’un véritable culte à gauche.
Né dans une famille protestante1,2 et militante de gauche, Lionel Jospin est issu du second mariage de Robert Jospin, enseignant pacifiste membre du parti socialiste SFIO
Contrairement à vous je pense qu’on est pas responsable des faits et gestes de ses parents. Mais pourquoi parler de 1945 pour Marine. Que dirait-on si Le Pen-père avait le passé du père de Jospin ?
Parcours pendant la Seconde Guerre mondiale[modifier]
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Robert Jospin réside en zone occupée. Différentes sources l’associent aux structures collaboratrices de gauche, la Ligue de la pensée française, une organisation néopacifiste présidée par René Château, qui fonctionne avec l’autorisation des services allemands et le journal Germinal2.
Cette ligue ne défend pas une idéologie fasciste mais, avec la participation de dirigeants du Rassemblement national populaire de Marcel Déat, elle soutient sans trop d’ambiguïté la politique de Pierre Laval, qui a toujours pris soin de se ménager quelques appuis parmi les anciens socialistes pacifistes dans ses combats contre l’amiral Darlan et contre l’entourage maurrassien du maréchal Pétain. La ligue de la pensée française regroupe des proches de Marcel Déat mais parfois rebutés par l’alignement systématique du RNP sur le parti national-socialiste allemand3.
Germinal[modifier]
En avril 1944, les stratèges de l’ambassade d’Allemagne à Paris décident de lancer une nouvelle publication, Germinal, destinée à fédérer certains « collaborateurs de gauche ». Financé par le trust allemand Hibberlen, qui édite déjà La France au travail, L’Œuvre et Nouveaux Temps. Le premier numéro de Germinal paraît dans les kiosques le 28 avril 1944. Sous son titre, ce bandeau : « Hebdomadaire de la pensée socialiste française ». Tous les rédacteurs sollicités, ou presque, sont des enseignants et d’anciens membres de la SFIO passés par le pacifisme.
Parmi eux : Robert Jospin, Claude Jamet, ancien secrétaire fédéral de la SFIO et ancien professeur, Paul Rives, député socialiste de l’Allier (1932-1942), et le plus connu, Ludovic Zoretti, universitaire, ancien responsable de la CGT et de la SFIO, où il fut l’adversaire acharné de Léon Blum, « le belliciste ».
Germinal ne comptera que quinze numéros. Très vite, Robert Jospin s’en éloigne en expliquant dans une lettre à son rédacteur en chef, Claude Jamet : « J’ai essayé tout ce dimanche de travailler au papier dont nous avions parlé. Je n’ai pas pu. Je ne crois pas la chose convenable, compte tenu de ce qu’ont été nos erreurs et peut-être nos crimes. »
À Meudon, où réside sa famille, le 27 mai 1944, Robert Jospin accepte d’être nommé conseiller municipal par le préfet lavaliste de Seine-et-Oise.
Le 24 août, Meudon est libérée par les FFI, et le maire et ses conseillers sont « épurés » et remplacés par des résistants du comité local de libération.
Après la guerre[modifier]
Quelques semaines après la Libération, les nouveaux dirigeants de la SFIO décident de l’exclusion de Robert Jospin. Il devra attendre dix ans pour avoir le droit d’y militer à nouveau. Il rejoint alors logiquement le Parti socialiste démocratique de Paul Faure, structure d’accueil des socialistes épurés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Jospin  ;
« Le nazisme fut une abomination. Il m’arrive de regretter de ne pas être née à cette période, pour avoir pu le combattre. » C’est en ces termes que Marine Le Pen a répondu à des questions de journalistes, mercredi 1er février 2012 :
Mais même le Général a été traité de fasciste, comme on le voit sur cette affiche du PCF.
Les parents de Marine et ceux de son compagnon et bras droit Louis Aliot n’ont rien fait qui ressemble aux agissements de Mitterrand à cette époque ou le père de Jospin (même si j’ai beaucoup de respect pour Lionel Jospin).
Jean-Marie Le Pen devient pupille de la nation par jugement du tribunal civil de Lorient du 23 décembre 1942, son père ayant trouvé la mort après que le bateau dans lequel il se trouvait a remonté une mine allemande en août 1942 (son nom figure d’ailleurs sur le monument aux morts de La Trinité-sur-Mer).
En novembre 1944, à 16 ans, il demande au colonel Henri de La Vaissière (alias Valin) à s’engager dans les FFI (Forces françaises de l’intérieur), qui préfère refuser : « Désormais, ordre est donné de s’assurer que nos volontaires ont bien dix-huit ans révolus. Tu es pupille de la nation : songe à ta mère1 ! »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen  ;
Louis Aliot est né d’un père originaire d’Ax-les-Thermes en Ariège et d’une mère rapatriée d’Algérie du quartier de Bab El-Oued à Alger, issue d’une famille ayant basculé de la gauche vers la droite nationaliste dans une période difficile marquée par la tragédie algérienne et le rapatriement. Son père et son grand-père paternel étaient tous deux plâtriers6. Le père de sa mère était un Juif d’Algérie, originaire de Médéa7, qui fut naturalisé français par le décret Crémieuxde 18708,9. Il affirme par ailleurs que sa grand-mère maternelle s’occupait des archives du Parti communiste français à Bab El-Oued10. http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Aliot  ;
Vous vouliez une réponse de Beaurepaire, vous l’avez et ce n’est pas du charabia d’analphabète comme vos propos.