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Commentaire de louphi

sur Les « 10 bonnes raisons » contre le mariage et l'adoption pour les couples homos du Cardinal André Vingt-Trois


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louphi 19 septembre 2012 00:08

Giuseppe Di Bella

C’est vrai que l’homosexualité militante a toujours pataugé et pataugera toujours dans des contradictions inextricables. L’homosexualité en soi est une cause indéfendable sur le plan sociétal. Sur le plan politique, c’est une cause qui a déjà historiquement fait ses preuves dan un environnement esclavagiste, façon gréco-romaine. Aujourd’hui, l’homosexualité sert à bâtir des oligarchies financières. Les partis politiques clientélistes essentiellement de gauche, les socialistes, le Front de Gauche, les écologistes, en tête, sont les porte-voix politiques de ces oligarchies homosexuelles. Seulement, cela menace le monopole de l’oligarchie mastodonte féodal-impérialiste abrahamique plus que deux fois millénaire. Si le monothéisme abrahamique vient au secours de l’institution du mariage civile, ce n’est pas pour sauver le mariage civil comme il est présenté dans les dix arguments de l’épiscopat. C’est avant tout pour garantir son exclusivité sur le marché du mariage. On n’est donc pas dupe. Le monothéisme abrahamique, première oligarchie de l’impérialisme mondial, vient défendre le mariage civil contre le militantisme homosexuel pour redorer son blason.

Le mariage est une institution civile produite par l’hétérosexualité. Le mariage est la marque de fabrique exclusive de l’hétérosexualité. Or, l’hétérosexualité est la valeur qui fonde la société à l’exclusion de toutes les autres valeurs sociétales. Le mariage, institution civile, mérite d’être protégé. Par contre, l’homosexualité est une forme de sexualité, non pas contre-nature, mais biologiquement et socialement préjudiciable à la SOCIETE. Biologiquement préjudiciable par son infécondité. Socialement préjudiciable car reposant sur le principe de la séparation des sexes, l’apartheid sexuel. L’homosexualité est donc un virus qui vit dans le corps de la société. Ce n’est pas un virus biologique même s’il est porté par un corps biologique. C’est un virus comportemental qui peut être porté par un corps biologiquement sain. Il n’y aura probablement pas une substance chimique permettant d’éradiquer un virus comportemental. Faute de pouvoir l’éradiquer, la société peut s’en accommoder autant que faire se peut, tant qu’il reste marginal, épisodique, individuel. Ce virus comportemental peut alors être considéré comme inoffensif. Il n’est pas question de jeter au bûcher les personnes atteintes de ce virus comportemental. Notre société doit pouvoir contenir ce virus comportemental par l’éducation et l’encadrement moral adéquat dès le bas âge. D’autres sociétés ne s’en sont pas si mal sorties.

Mais, lorsque des individus élaborent des doctrines, s’organisent, se financent, dans le but de propager ce virus comportemental, de l’élever au rang d’une institution de la société, cela s’appelle le militantisme homosexuel ou homosexualité militante. On sort alors du cadre de l’homosexualité. On entre dans le cadre de l’économie, de la morale et surtout de la politique. L’homosexualité militante est une attaque délibérée contre le soubassement de la société. En tant que simple groupement humain, la société moderne ne peut accepter le militantisme homosexuel sans accepter du même coup sa dégénérescence à terme.


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