ce « B » est encore très enfantin et bien possessif,
on en retrouve une trace en fin de signature ;
l’adolescence comme le parcours scolaire semblent avoir été problématiques.
le trait du « V » qui monte nous raconte une grande (sur-)estime de soi ;
mais toutes ces croix qui surchargent la signature du monsieur
semblent rendre conte de toute une crucifixion, barricadée.
il est donc peu de chance que par accident nous nous payions l’écoute de Vincent :
se barrant lui-même trois ou quatre fois,
la pire scène à boum imaginable ne saurait l’atteindre.