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Commentaire de bakerstreet

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bakerstreet bakerstreet 12 novembre 2015 00:59

@alinea
Si je vous fatigue, considérez alors que je n’écris plus pour vous. Mais néanmoins, comment ne pas réagir, quand vous livrez des éléments intéressants : « Les États nous bassinent avec le réchauffement climatique, je trouve ça louche puisque c’est leurs politiques qui ont induit cette société qui pollue. »

Première remarque : Il n’y a pas que les état unis qui nous bassinent, mais toute la communauté internationale
Deuxième remarque : Vous avez un différent avec les states, donc vous refusez de les croire quand ils crient au feu...Attention, car le feu est bien réel, quel que soit le nom du pompier qui crie !...Le faisceau logique des faits est à peu le même que celui que je développais tout à l’heure sur l’entrée en guerre des USA contre les nazis...Auriez vous refusé d’accueillir un parachutiste américain, sous prétexte que les banques américaines et anglaises avaient financé Hitler, que vous auriez trouvé cela incohérent, en rapport avec leur politique passée,et que vous pouviez donc légitimement douté de leur changement de cap ?....
A un certain moment, la logique ne vous aide plus, mais nous dessert. De même vos sentiments, et votre envie de régler des comptes, qui peut totalement aveugler ! Il faut admettre les faits, ne pas les tordre selon nos émotions, nous faire le jouet des sectaires !. 
Nous sommes dans des sociétés raisonnant à très courtes vues, courant vers des objectifs définis. Mais parfois un point de basculement apparaît, qui les oblige à orienter leurs forces vers d’autres buts, pour différentes raisons, économiques, militaires ou sociales. 
Les alliances d’hier disparaissent, de nouvelles obligations s’imposent !Ici, nous sommes arrivé à un point omega. Et le problème est simple et horriblement compliqué : S’adapter pour survivre, et sauver ce qui peut l’être, les générations futures. La gravité de l’équation, n’a sans doute pas été intégré par la plupart des dirigeants qui vont se presser au portillon, formatés encore par leur réélection, des impératifs économiques d’un autre temps, celui du PIB infiniment exponentiel. 
Nous sommes au début de la guerre de 100 ans ! En espérant qu’on en verra le bout !
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